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- Dans le même temps que les dangers grandissent, l'impuissance grandit aussi (1)
- Principe de la délégation de fonction : ce dont le cerveau ne s'occupe pas, il délèque la fonction, sur une autre espèce, sur son environnement, ou sur une machine (1)
- Dans le monde digital, la connaissance se voit empêchée par la quantité d'information. (1)
- Dans notre société , nous sommes toujours dans un vécu décorporéisé. Par exemple, dans un peuple alphabétisé, 60 à 70% de la connaissance est indirecte, c'est à dire que je n'ai pas besoin de faire l'expérience de quelque chose pour le connaître. Dans les sociétés digitalisées, c'est jusqu'à 90%. Avec l'invention de l'écriture et la lecture, les corps se sont adaptés. Mais cela a duré 5000 ans. Or, en 30 ans, le monde entier s'est digitalisé. (1)
- La karma (1)
- Mon agir dans la scoiété doit prendre en compte la non-accélérabilité : je dois attendre les mécanismes de régulation du système, à tous les niveaux : écologique, social, individuel, biologique, culturel... Il faut laisser le temps au temps (1)
- En même temps que notre société reconnaît les limites de la raison, elle connaît une délégation massive de la fonction de la rationalité vers la machine (1)
- La question n'est pas d'être technophobe ou technophile, la question est : que faisons-nous avec la puissance de la machine ? Par exemple, la fonction de prédectabilité d'une machine peut entrer dans un diagnostic, le problème est quand elle remplace le diagnostic. Le problème est la responsabilité ou l'absence de responsabilité des humains (1)
- Les innovations sont a-sensées, a-sémantiques (1)
- Symptôme majeur de ce que Foucauld appelait l'époque de l'homme : l'apparition de nouveaux sujets de droits, divers animaux (singes, vaches, dauphins dans certains pays), la mer... (1)
- La rationalité (1)
- L'axe général de la rationalité aujourd'hui se déplace vers des modèles complexes (1)
- A notre époque, on a remplacé la recherche de causalité par la recherche de corrélation. On a perdu l'exigence du sens : que signifie telle chose ? Pour la machine, une chose ne signifie rien, le sens est l'apanage du vivant. (1)
- La complexité : je ne peux pas prévoir la conséquence de mes actes (1)
- Un ensemble complexe est un ensemble qui de par son fonctionnement n'est pas entièrement représentable, compréhensible. (1)
- L'encyclopédisme (1)
- Le dictionnaire (1)
- Le mot encyclopédie et le mot dictionnaire apparaissent au même moment : milieu du XVIème siècle (1)
- Il est très dur de trouver deux langues qui aient eu autant d'emprunts réciproques que l'anglais et le français. (1)
- L'anglais est sans conteste la plus romane des langues germaniques : Pendant les trois siècles où l'Angleterre parle français (après la conquête de Guillaume le Conquérant), l'anglais en tant que langue change complètement de nature : alors que la syntaxe et le vocabulaire courant est germanique, tout le vocabulaire du savoir, de la culture, de l'organisation sociale est latino-français. Par exemple, Walter Scott écrit dans ses livres que tout ce qui était humble, modeste, rural était saxon et tout ce qui était chic, agréable et prétentieux était français (1)
- Beaucoup d'anglicismes du français viennent en fait de mots français qui sont passé en anglais, pour revenir au français. Par exemple, le mot sport vient en fait de desport en français qui désigne au Moyen Age la distraction physique : marche, chasse... Autre exemple : le tennis vient de l'anglais, mais aveant cela il vient du term "Tenez" que l'on disait au jeu de paume quand on lançait la balle. (1)
- M. Raffarin qui défendait la positive attitude plutôt que l'attitude positive. Quand on mélange deux langues, on est ridicule. (1)
- L'académie espagnole (l'équivalent de l'académie française en Espagne) a fait de la langue écrite espagnole la langue la plus phonétique des langues européennes et donc la plus facile à apprendre. (1)
- Comment agir dans la complexité ? (1)
- La modernité nous engage à nous penser dans une certaine non prédictibilité, méconnaissance, non représentativité. (1)
- Le progrès sans limite de la technique (1)
- La conscience se développe que la fuite en avant productiviste et technologique représente un véritable danger pour nos civilisations, et pourtant, on n'arrive pas à trouver ne serait-ce que le début d'une parade (1)
- Agir, cela peut être résister à ce vertige d'hyperactivité, puisque tout se passe comme si, entre dépression et passage à l'acte, nous n'avions plus de clefs pour agir, pour comprendre - comprendre au sens de connaissance comme praxis, comme ce qui nous lie au monde, et non au sens d'une augmentation de l'information qui finit par nous noyer dans la conviction triste de notre impuissance (1)
- L'interpénétration plénière de tous les sens (1)
- Que c'est subtil et merveilleux ! Les choses s'interpénètrent les unes les autres sans s'interpénétrer (1)
- Il y a mille pouvoirs pénétrant le coeur qui portent l'Oeil (1)
- La prédication de la loi faite par l'inanimé n'est autre que la totalité des énoncés des éveillés et des patriarche (1)
- Réfléchissez à fond et plus largement sur ce qu'est l'Oeil (1)
- Tantôt le subit tantôt le graduel et voir le fruit se réaliser comme présence (1)
- A la question posée par un moine : "Qu'est-ce que la prédication de la loi faite par l'inanimé ?", le maître répond : "Ne pas jaser." (1)
- Jusqu'aux confins de tous les futurs et de l'avenir infini (1)
- Le caractère japonais shin est un idéogramme qui représente le coeur en tant qu'organe. Il désigne à la fois l'esprit et le coeur. Contrairement à la tradition occidentale qui veut établir une nette distinction entre l'esprit et le coeur, entre la pensée et les sentiments et les émotions, la mentalité extrême-orientale considère que la faculté intellectuelle s'exerce aussi bien dans le coeur que dans la tête. Le coeur est considéré comme organe à la fois des affects et de l'intellect. On pense avec le coeur, l'esprit et le coeur n'étant pas dissociés. (1)
- La vertu acquise du non-confectionné, la vertu acquise du non-faire (1)
- Le corps et le coeur de la Voie de l'Eveillé sont les herbes, les arbres, les tuiles, les cailloux ; ils sont le vent, la pluie, l'eau et le feu. Transformer ceux-ci en Voie de l'Eveillé n'est autre que le déploiement du coeur de l'Eveil. Déployer un seul déploiement du coeur de l'Eveil à cent, à mille, à dix mille reprises. (1)
- Il faut étudier à fond tous les existants tête par tête (1)
- C'est en recueillant la Vacuité dans la Vacuité qu'on fait de soi un éveillé (1)
- Trouvez le refuge dans la vraie Loi et étudiez la Loi de l'éveillé en suivant les écritures bouddhiques et les bons maîtres (1)
- C'est l'arrêt de la pensée et la fixation de l'esprit qui sont les existants non-confectionnés. La non-naissance et le non-faire, voilà la réalité ! (1)
- La fixation de l'esprit (1)
- L'Oeil qui sait entendre la résonance de l'univers au delà de la frontière entre l'animé et l'inanimé (1)
- Qui connaît une seule poussière connaît l'univers entier. Qui pénètre un seul existant pénètre les dix mille existants. Un ancien dit : "Au premier moment de ta naissance, tu as déjà pris part au rugissement du lion" (1)
- La puissance des actes qui s'accumule (1)
- La "Loi non discriminante" est une Loi absolue, non analytique, qui embrasse en profondeur le long mouvement de la méditation (1)
- Lorsque la loi de cause à fruit est déjà clairement distinguée dans son aspect originel, elle n'est autre que le non-faire, la non-naissance, la non-permanence ; elle est sans ombre ni chute, puisqu'elle se dépouille d'elle-même ! (1)
- Ainsité (1)
- Dôgen affirme l'identité réciproque du temps et de l'existence ; le temps est l'existence, et l'existence est le temps (1)
- Un ancien éveillé dit : "Ne faites pas de mauvaises actions,/ Pratiquez les bonnes actions,/ Laissez d'elle-même se purifier cette conscience,/ Ceci n'est autre que l'enseignement de tous les éveillés. (1)
- C'est à nous de discerner quelles sont les bonnes et mauvaises actions suivant les relations circonstancielles de chaque moment (1)
- Les commentaires de l'édition traduite du Shôbôgenzô forment un tout cohérent avec le texte même de Dôgen. Elles lui seront ici catégorisées conjointement. (1)
- Quoique la cause ne soit pas avant et le fruit ne soit pas après, par la cause qui atteint sa plénitude, le fruit atteint sa plénitude (1)
- "Laissez d'elle-même se purifier cette conscience". Le "Laisser d'elle-même" est le non-faire, le "se purifier" est le non-faire (1)
- Dans la pratique (méditation), il y a toujours la réalisation des bonnes actions comme présence (1)
- Faire le bien n'est pas à mesurer (1)
- Tout en étant la pratique, les bonnes actions ne sont pas à moi, ni connues par moi (1)
- L'Aspect réel est l'Aspect réel du tel quel, et le tel quel est le corps et le coeur de ce présent ! C'est avec ce corps et avec ce coeu qu'il faut déployer le coeur de l'Eveil. Ne détestez pas patauger dans l'eau et marcher sur les cailloux. Confectionner, en trituranr un seul brin d'herbe, le corps doré de l'Eveillé de six shakus, et dresser, en triturant une seule poussière, le mausolée d'un ancien éveillé, tel doit être le déploiement du coeur de l'Eveil. Cela n'est autre que de voir et écouter l'Eveillé, de voir et écouter la Loi, de faire de soi un éveillé et de faire la pratique de l'Eveillé. (1)
- Confectionner, en triturant un seul brin d'herbe, le corps doré de l'Eveillé de six shakus, et dresser, en triturant une seule poussière, le mausolée d'un ancien éveillé, tel doit être le déploiement du coeur de l'Eveil (1)
- Etre aimé, c'est être compris (1)
- L'amour véritable consiste à comprendre l'autre personne (1)
- La prajnaparamita (1)
- la Prajanparamita, la compréhension, la vision profonde, est la paramita qui peut nous emmener vers l'autre rive (1)
- Le sens tel qu'il est conçu chez Dôgen est essentiellement de l'ordre de la production, l'ordre du paraître. C'est pourquoi il doit naître ici et maintenant dans cet univers de la résonance qui est l'écriture, par la trituration d'une fleur. [...] Le sens doit se réaliser comme présence à ce-juste-moment-tel-quel où la pureté de la méditation assise sans formes ni couleurs - comme l'Oeil sans objet - transperce le recto. L'ordre atemporel du zazen dans sa radicalité du rien réalisera alors de parfaites épousailles avec l'ordre temporel de la Loi du phénomène, sans mélange ni confusion. Le sens n'est ni du côté du recto ni du côté du verso, ni du côté du texte (l'objet) ni du côté du lecteur (le sujet) ; il est de l'ordre de la rencontre et de la résonance. (1)
- Le terme la réalisation du kôan comme présence doit s'appliquer à tous les noms. (1)
- Le don dont on parle dans les six paramita est le don de la compréhension (1)
- La douleur en nous peut être transformée par une autre sorte d'énergie (1)
- Il faut ouvrir, élargir son coeur, et ainsi on peut accepter des choses qui ne sont pas acceptables pour les autres, c'est la patience (1)
- La vie quotidienne (1)
- La terre (1)
- Ton coeur doit être comme la terre, avec une capacité de recevoir et de transformer très grande (1)
- La patience est le volume de votre coeur (1)
- Plus le texte est trituré, commenté, interprété et traduit, plus sa valeur augmente (1)
- Le coeur de l'Eveil remplit l'univers de la résonance, puisque l'Eveil consiste précisément à s'éveiller à l'écho constant que la Nature se fait à elle-même. Tel est le sens du mot de l'Eveillé-Shâkyamuni : "Lorsqu'est apparue l'étoile du matin, j'ai réalisé la Voie avec la vaste terre et tous les êtres vivants." (1)
- Sachez-le aussi, l'égarement est la chose qui n'existe pas. Sachez-le aussi, l'éveil est la chose qui n'existe pas. (1)
- Ni le rejet ni la préférence (1)
- Etre assis tout simplement et se dépouiller du corps et du coeur (1)
- Selon la légende, la fleur d'Udumbara éclôt une fois tous les trois mille ans, et désigne métaphoriquement la manifestation des éveillés, événement rarissime dans ce monde terrestre. [...] A ce moment-là, assis au milieu d'un million de fidèles rassemblés sur le Mont du Pic du Vautour dans le pays de l'Ouest, l'Eveillé-Shâkyamuni tritura une fleur d'Udumbara et cligna l'Oeil. A ce moment-là, l'honorable Kâçyapa lui adressa un sourire. L'Eveillé-Shâkyamuni dit alors : "J'ai en moi la vraie Loi, Trésor de l'Oeil - le coeur sublime du Nirvâna. Je transmets ceux-ci à Kâçyapa." (1)
- Trituration (1)
- Jouer avec l'Oeil, goûter le déploiement du coeur de l'Eveil, et s'en servir (1)
- Réfléchissez sur vous-même ; ce que vous ne voudriez pas pour vous-mêmes sera toujours le vôtre. Prenez-en conscience aussi : ces voix du printemps et de l'automne dont vous voudriez qu'elles soient les vôtres ne le sont pas. Vos idées ne sont ni accumulées ni ne demeurent en vous. (1)
- Lorsque vous clarifiez le fait que les formes-couleurs que vous repoussez ne sont pas à être colorées selon votre préférence, c'est alors que ne se cache plus le visage et les yeux originels de l'homme qui simplement pratique la Voie au quotidien. (1)
- LOrsque la non-compréhension revient au milieu de la compréhension, celle-là ne contrecarre pas celle-ci, de même que celle-ci ne brise pas celle-là. [...] La compréhension doit être le moment où se présente la concentration de soi, la voix étant déjà entrée dans les oreilles. (1)
- L'univers de la résonance, qui est la Nature, embrasse tout jusqu'à nos pensées, nos paroles et nos actes, et ces derniers, selon le concept du karma, ne cesseraient de résonner, même après leur disparition matérielle, en produisant des répercussions insondables et sans limites au niveau du temps et au niveau de l'espace. (1)
- Disons pour l'instant que la Voie n'est pas une affaire du savoir ou du non-savoir. (1)
- L'Oeil omniscient (1)
- La vaste terre entière n'est autre que le corps humain réel, elle n'est autre que la porte de délivrance ; elle n'est autre qu'un Oeil de l'Eveillé de la lumière, elle n'est autre que notre corps de la Loi (1)
- Ce que disent les montanges (1)
- Etudier à fond l'écoulement et le non-écoulement. Etudier à fond la montagne (1)
- Dans le Shôbôgenzô, la poésie et la philosophie, la surface et la profondeur ne font qu'une (1)
- La langue japonaise omet volontiers, lorsqu'ils sont évidents aux locuteurs, le sujet et les compléments de toutes sortes (compléments d'objet direct, second ou indirect, complément circonstanciels de lieu ou de temps etc.) (1)
- Chez Dôgen, le langage est conçu comme matière à exploiter, et le mot est perçu comme chose parmi les choses du monde (1)
- Le chinois ancien ne connaît pas la copule "être"; le rapport du sujet et du prédicat est indiqué par une simple juxtaposition (1)
- Le français, langue sans pareille pour sa clarté et sa précision. (1)
- Le chinois, comme le japonais, n'est pas une langue flexionnelle ; les relations des mots et de chaque partie de la phrase, sont indiqués, non par le genre, la marque du singulier ou du pluriel, la déclinaison, la conjugaison, etc., mais seulement par la position des mots (1)
- Tel qu'il se présente originalement, le Shôbôgenzô est constitué de calligraphies qui ne comportent aucune ponctuation, ni de virgule, ni de point final, ni de guillemets (1)
- L'univers du phénomène qui n'est ni vrai ni faux, tout comme le rêve, par son perpétuel mouvement de l'apparaître et du disparaître (1)
- Limpide et pure, la méditation doit se pratiquer avec l'esprit de la gratuité et de la non-obtention et se situer dans la sphère de la vacuité (1)
- La gratuité, la non-obtention (1)
- Le terme "kôjô" en japonais désigne la montée vers l'état absolu de l'Eveil où sont abolies toute opposition et toutes pensées discriminantes. (1)
- "Une fleur éclôt, et le monde se lève." A l'éclosion d'une seule fleur, le monde entier se transforme, puisque ce monde est un monde de la résonance (1)
- C'est auprès de la nature que l'homme doit apprendre la liberté du non-faire (1)
- Le plan de l'ouvrage défie le principe même d'une cohérence systématique, linéaire, didactique ou circulaire telle qu'elle s'est développée en occident. (1)
- La théorie (1)
- La recherche au niveau de l'intelligence collective à support numérique a pris historiquement deux directions concurrentes : les modèles neuronaux (Chat GPT...), et les modèles symboliques (shema.org, wikidata, cidoc crm pour les musées...). Le développement des systèmes symboliques demande de la main d'oeuvre experte (il faut les faire à la main), de l'argent et du temps, pèche au niveau de l'interopérabilité entre systèmes. Les modèles neuronaux parce que probabilistes (paterns...) génèrent des erreurs, sont opaques. Les modèles d'intelligence artificielle symboliques sont des systèmes de classifications avec des relations entre les classes (étiquettes, tags, ontologies, knowledge graphs...). C'est un système d'organisation des données qui va favoriser leur exploration, leur restitution quand on en a besoin et le raisonnement automatique.. (1)
- Une idée serait de combiner les modèles neuronaux et les modèles symboliques. (1)
- Comment utiliser l'intelligence artificielle pour augmenter l'intelligence collective ? (1)
- Ces mots simples (1)
- Bien employés, les livres sont les meilleures des choses ; mal employés, ils sont parmi les pires. Mais quelle est la bonne façon de s'en servir ? Quelle est la fin que tous les moyens devraient concourir à réaliser ? Ils ne servent à rien d'autre qu'à inspirer. J'aimerais mieux ne jamais voir un livre que d'être projeté par son attraction hors de mon orbite et transformé en satellite plutôt qu'en système. L'unique chose valable du monde est l'âme active [...] Il faut être inventeur pour bien lire. Comme dit le proverbe, «celui qui veut rapporter chez lui les richesses des Indes doit transporter ces richesses hors des Indes». Il existe donc une lecture créatrice aussi bien qu'une écriture créatrice. Quand l'esprit est fortifié par le labeur et l'invention, la page de n'importe quel livre s'éclaire d'allusions multiples. Chaque phrase est doublement significative, et notre auteur rend un sens aussi vaste que le monde. (1)
- La lecture (1)
- Pierre Lévy a inventé un langage, l'IEML, qui permet de raisonner et qui pourrait servir de modèle pour une mutualisation des différents systèmes de données. (1)
- Je t'en prie, Jivaro, vide vite mon cerveau. Je t'en prie Jivaro, réduis ma tête à zéro (1)
- Brute de raison (1)
- La science (1)
- Mélancolie optimiste (1)
- La psychologie bouddhiste ou la science de l'esprit (1)
- Le ciné, la télé, et même le LSD, n'arrivent plus, Jivaro, à me faire décoller (1)
- Kufû, la pratique ingénieuse (1)
- Dans quel dessein pratiques-tu la méditation assise ? (En pratiquant la méditation assise, que dessines-tu ?). A tête reposée, étudiez à fond et pratiquez avec ingéniosité cette question (1)
- A obtenir l'équilibre, on voit l'équilibre (1)
- L'équilibre (1)
- "Je méditais et méditais" (1)
- Mise en parallèle de l'inexistence du rêve et de la vacuité de l'objet perçu (1)
- Autour du "flow" (1)
- Malgré sa nature dépourvue de l'être-là réel, le rêve est soumis, comme tout autre phénomène, à la loi des actes (1)
- Le mot japonais shizen : la "nature", veut dire littéralement "de soi-même ainsi", "ce qui va de soi", "ce qui advient spontanément". La tradition taoïste développera, à partir de ce mot, les notions de pure spontanéité et de non-agir, notions tournées vers l'état originel de fusion et de non-dépendance totale. (1)
- Dôgen signale que la pratique ne doit pas être conçue comme quelque chose tournée vers l'avenir (1)
- Du fait qu'elle coule toujours vers le bas, l'eau est ce vers quoi tout le reste conflue, appelant ainsi l'image de la vallée. Dans son humilité, elle est pourtant ce qui donne vie à toute chose, symbole en cela du féminin, du Yin qui conquiert le Yang par attraction plutôt que par contrainte. De la figure du féminin, on en arrive à celle de la mère. (1)
- Tous les existants sont en dernier lieu la délivrance de soi ; ils sont sans nulle demeure (1)
- L'eau ne résiste à rien et suit le cours naturel des choses. Ainsi, dans la pensée chinoise, la métaphore de l'eau est souvent associée au Dao et à l'idéal taoïste de non-agir (1)
- L'eau coagulée est plus dure que le diamant. Qui pourrait la briser ? Fondue, l'eau est plus tendre que le lait. Qui pourrait la briser ? (1)
- Les montagnes sont constamment au repos et constamment en marche. On parle de l'écoulement des montagnes et de l'écoulement du Soi (1)
- L'expression courante muga-muchû veut dire littéralement le "non-moi au milieu du rêve". Il s'agit d'être absorbé, captivé ou transporté dans le total oubli de soi par tout ce qui ravit nos coeurs, telle jeu chez l'enfant, l'art, la conversation, le travail, les sentiments amoureux, etc. (1)
- Si on dit en français "faire des rêves", on dit en japonais "voir des rêves" (1)
- Le mot hyô (le recto) ri (le verso) est le plus souvent employé comme synonyme de funi (le non-dualisme) : "Le recto et le verso ne font qu'un" (hyôri ittai) (1)
- La connaissance consiste à ne pas souiller le phénomène ; ne pas souiller le phénomène est la connaissance. (1)
- Telle est la pratique ingénieuse appelée le dépouillement du corps et du coeur (1)
- Daijaku dit encore : "Tu étudies la méditation assise, c'est pour apprendre à être assis en éveillé" (1)
- Soyez-en donc persuadés une fois pour toute : non seulement votre point de vue n'est pas à déterminer comme le vôtre, mais il doit aussi exister l'enseignement essentiel dans les oeuvres des dix mille domaines. (1)
- Les domaines de la connaissance (1)
- La connaissance de soi n'est autre que les montagnes et les rivières, c'est à dire la Nature qui réalise sa propre image en se faisant écho à elle-même (1)
- Connaître en triturant, avec toutes nos forces, cet univers entier, les montagnes et les rivières (1)
- Tout est bon en tant que tel (1)
- La vertu acquise des éveillés antérieurs vous purifie et vous sauve, elle fait naître en vous une foi pure et l'esprit d'application libérés de toutes entraves. Dès l'instant qu'apparaît cette foi pure, le soi-même et l'autre se font également transformer par elle. Le bénéfice de cette transfornation se répand sur les êtres sensibles et sur les êtres non sensibles. (1)
- Formes-couleurs des montagnes et voix des vallées. C'est elles qui ont une immense langue et énoncent les quatre-vingt-quatre mille poèmes. (1)
- Les trois poisons qui nuisent à la racine du bien sont la convoitise, la colère et l'ignorance (1)
- La vertu acquise de la voix des vallées et des formes-couleurs des montagnes (1)
- La méditation est un acte que l'on fait pour la paix du monde (1)
- Propos sur le bonheur (1)
- Reconnaître les conditions de bonheur déjà disponibles (1)
- Exercice numéro 1 du soutra de la respiration en pleine conscience : reconnaître l'inspir comme inspir, l'expir comme expir (1)
- Exercice numéro 5 du soutra de la respiration en pleine conscience : générer une sensation agréable, une sensation de joie (1)
- Le soutra de la respiration en pleine conscience comprend 16 exercices (1)
- Ecouter sa souffrance et commencer à comprendre sa souffrance (1)
- La compréhension de la souffrance génère de la compassion (1)
- J'inspire, je sais que j'inspire. C'est un jeu d'enfant, mais l'effet est très grand. On arrête la pensée (1)
- Exercice numéro 2 du soutra de la respiration en pleine conscience : suivre l'inspir et l'expir dans tout leur parcours (1)
- La joie et le bonheur peuvent être générés par une inspiration et une expiration dans la pleine conscience (1)
- L'inspir (1)
- On n'a pas besoin de l'argent pour être heureux (1)
- L'attention entière sur l'inspir et l'expir génère de la concentration et de la vision profonde (1)
- Porter une attention entière, sans interruption, sur l'inspir et l'expir (1)
- Si on sait comment souffrir, on souffrira beaucoup moins (1)
- Il faut apprendre l'art de souffrir (1)
- Il ne faut pas lutter contre la douleur, mais simplement la reconnaître. Pratiquer la non-violence totale en ce qui concerne la douleur (1)
- Quand le bébé souffre et pleure, la maman doit être là pour le bébé (1)
- Exercice numéro 7 du soutra de la respiration en pleine conscience : reconnaître une sensation douloureuse (1)
- Exercice numéro 4 du soutra de la respiration en pleine conscience : relâcher la tension du corps (1)
- L'arrêt et la détente aident à guérir (1)
- Etre libéré de ses projets, du futur grâce à la pleine conscience (1)
- Prendre soin de la douleur (1)
- Exercice numéro 8 du soutra de la respiration en pleine conscience : embrasser la souffrance, calmer la douleur (1)
- La non-violence (1)
- Reconnaître sa tristesse et l'embrasser (1)
- Bonjour tristesse, je reconnais la présence de ma tristesse, je ne fais pas violence à ma tristesse (1)
- Il faut apprendre à bercer sa douleur (1)
- Quand le bébé souffre, la maman prend le bébé dans ses bras et le berce (1)
- L'énergie collective de la pleine conscience, de la joie et de la fraternité, est là (1)
- La doctrine de la vacuité : les choses [...] sont vides d'être propre. La vacuité d'être propre des choses implique la vacuité de leur déroulement et de leur coproduction conditionnée. Tout changement, toute évolution et tout mouvement de l'apparaître et du disparaître des choses vides d'être propre ne peuvent être qu'eux-mêmes vides d'être propre. La vacuité, qui n'est ni l'être ni le ne-pas-être, ni à affirmer ni à nier dans son éternelle similitude à elle-même, n'est autre que la nature originelle de toutes choses, et toutes choses sont elles-mêmes de l'ordre de la non-naissance et de la non-disparition. Rien n'apparaît, rien ne disparaît, rien ne diminue, rien n'augmente fondamentalement. (1)
- Examinez et analysez le moment où il ne fait ni jour ni nuit (1)
- La vie est la Totalité dynqmique qui se présente (1)
- La multitude (1)
- Il faut étudier l'enseignement essentiel du nombre : "faire avec la multitude" (1)
- Invisibilité du visible et visibilité de l'invisible (1)
- L'oeil qui voit sans voir et qui entends ce qui n'est pas perceptible à nos oreilles de chair : la résonance de l'univers (1)
- Tous les existants doivent être structurés dès l'origine sous le mode du "comme" et il n'y aurait ay=ucun existant hiors de ce "comme" (1)
- La Totalité dynamique, qui reflète son image en elle-même, comme la lune au milieu de l'eau (1)
- Méditez à fond avec minutie le verbe "obtenir" (1)
- Obtenir (1)
- Tant qu'elle ne sera pas exprimée par le langage sous forme adéquate, la pensée qu'on croit avoir dans le coeur et l'esprit ne serait qu'une chimère (1)
- Il faut étudier le muet et le connaître à fond par la pratique (1)
- Ne haïssez pas le ne-pas-dire. Le ne-pas-dire est la vraie tête et la vraie queue de la parole obtenue (1)
- Lorsqu'on observe la montagne en plein jour, celle-ci cache son secret profond au sein même de sa visibilité. (1)
- Les kôans (1)
- Pour que mûrisse le fruit - de soi-même -, les fleurs ont besoin du soleil, de la pluie, de la terre et du vent. L'écloqion d'une seule fleur nous délivre ainsi l'un des points cardinaux de la doctrine de la vacuité : l'interdépendance et l'interférence de toutes choses en toutes choses. (1)
- "Mûrir de soi-même" n'est autre que le moment favorable où la fleur éclôt et porte le fruit (1)
- Lorsque se produit un effet inattendu sans qu'il n'y ait de rapport apparent entre la cause et cet effet, les Japonais citent volontiers l'aphorisme populaire : "Si le vent souffle fort, le tonnelier se frotte les mains". Voici l'une des explications possibles de cet aphorisme : quand le vent souffle fort, un nuage de poussière se soulève. Comme le nuage de poussière rend malade l'oeil des hommes, le nombre des aveugles augmente? Comme les aveugles aiment jouer su shamisen, une sorte de banjo japonais à trois cordes, la demande du shamizen augmente. Comme la fabrication du shamizen nécessite de la peau de chat, peau à tendre sur la partie supérieure de la caisse de résonnance, on tue nombre de chats pour obtenir leur peau. Comme le nombre de chats diminue, celui des rats augmente. Comme ces rats rongent les tonneaux, la commande de nouveaux tonneaux afflue chez le tonnelier. (1)
- Rien n'existe indépendamment des autres, aucun évènement ne se produit sans qu'il exerce la moindre influence sur le reste des choses (1)
- La non-naissance et la non-disparition (1)


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