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- La prudence (1)
- Tout est à reprendre et ce en partant des intentions et des ambitions d'Aristote qui était la possibilité par le langage de dire quelque chose du monde. (1)
- Les affaires humaines sont au delà de la raison pure, on ne peut pas raisonner en ce monde en terme de bien et de mal ; il faut naviguer en ce monde en se donnant les boussoles qu'on peut, c'est ce qu'Aristote appelle la prudence. (1)
- La philosophie comme l'art et comme la littérature ne progresse pas (1)
- "En matière de philosophie, l'intelligence artificielle ne sert à rien", Raphaël Enthoven (1)
- Qu'est-ce que l'intelligence artificielle (1)
- Penser, est-ce l'affaire exclusive des cerveaux ? (1)
- Ecologie cognitive : programme proposé par Pierre Lévy dans "Les technologies de l'intelligence" : élargir les perspectives des sciences de la cognition : le régime de production et de distribution du savoir ne dépend pas seulement des particularités du système cognitif humain, mais également des modes d'organisation collective et des instruments de communication et de traitement de el'information. L'écologie cognitive devrait se consacrer à l'étude des interactions entre les déterminants biologiques, sociaux et techniques de la connaissance. (1)
- Le savoir sur le savoir (1)
- La théorie de l'information (1)
- La "théorie de l'information" n'est en fait qu'une approche mathématique de la transmission et de la circulation des messages. Elle a donné lieu à des raffinements et à des transpositions parfois très subtils. Cependant, avec les instruments quantitatifs et les concepts qu'elle a élaboré, on n'est jamais parvenu, même de loin, à traiter de la signification, au sens le plus ordinaire de ce terme. (1)
- Stock(s) de sens (1)
- Dans le célèbre film de Charlie Chaplin Les temps modernes (1935), l'ouvrier Charlot est martyrisé par les machines et les chaînes de montage d'une usine et quasi crucifié sur les aiguilles d'une grande horloge (1)
- Raffinons l'architecture du cyberspace (1)
- Le Dr. Bush appelle à une nouvelle relation entre la pensée humaine et la somme de nos connaissances (1)
- Des moments de plaisir (1)
- Le possible (1)
- Notre incapacité à accéder à l'archive est principalement causée par l'artificialité de ces systèmes d'indexation. Quelque soit leur type, les données stockées sont classées par ordre alphabétique ou numérique et l'information est obtenue (quand elle est trouvée) en parcourant leurs sous-classes. Une donnée ne peut être qu'en un seul lieu, sauf s'il en est fait un duplicata'; on doit mettre en place des règles pour normer son emplacement, et ces règles sont encombrantes. Après avoir trouvé un élément, il faut sortir du système et y revenir en utilisant un chemin différent... L'esprit humain ne fonctionne pas de cette façon. Il opère par association. Avec un élément en tête, il passe immédiatement au suivant, suggéré par association d'idées, en accord avec un réseau d'intrications complexes générés par les cellules du cerveau. Il a bien sûr d'autres caractéristiques'; les chemins de pensées qui ne sont pas fréquemment utilisés sont voués à s'effacer, les informations ne sont jamais complètement permanentes, la mémoire est transitoire. Mais la rapidité, la complexité des chemins parcourus, les détails des images mentales, sont plus incroyablement inspirantes que n'importe quoi d'autre dans la nature... Imaginons un appareil de l'avenir à usage individuel, une sorte de classeur et de bibliothèque personnels et mécaniques. Il lui faut un nom et créons-en un au hasard, «'memex'» fera l'affaire. Un memex, c'est un appareil dans lequel une personne stocke tous ses livres, ses archives et sa correspondance, et qui est automatisé de façon à permettre la consultation à une vitesse énorme et avec une grande souplesse. Il s'agit d'un supplément agrandi et intime de sa mémoire. Cet appareil est constitué d'un bureau, et s'il peut probablement être actionné à distance, c'est avant tout un meuble sur lequel travailler. Au dessus, des écrans translucides inclinés permettent la projection de documents pour la lecture. Il y a un clavier et un ensemble de boutons et de leviers. À part cela, il ressemble à un bureau ordinaire. À une extrémité, on trouve les documents stockés. Leur quantité est prise en charge par l'amélioration du microfilm. Seule une petite partie de l'intérieur du memex est dédiée au stockage, le reste est consacré au mécanisme. Même si l'utilisateur introduit 5000 pages par jour, il lui faudrait des centaines d'années pour remplir la base de données, il peut donc être dispendieux et entrer des éléments librement. La plupart des contenus du memex peuvent être achetés sous forme de microfilms prêts à la lecture. Des livres de toutes sortes, des images, des périodiques, des journaux sont ainsi rassemblés au même endroit. La correspondance professionnelle prend le même chemin. Et il reste de quoi entrer des documents directement. Sur le plateau du memex se trouve une plaque transparente. On peut y placer des notes manuscrites, des photographies, des mémos ' toute sorte de chose. Quand un élément est en place, un levier permet de le photographier pour le stocker sur le plus proche espace vierge du film du memex, par un procédé de photographie à émulsion sèche. Bien entendu, le memex offre la possibilité de consulter l'enregistrement via l'index classique. Si l'utilisateur veut consulter un livre précis, il tape le code associé sur le clavier, et la page de titre de l'ouvrage apparaît rapidement sous ses yeux, projetée sur l'un de ses écrans. Les codes les plus utilisés sont retenus par l'usager afin qu'il n'ait que rarement à consulter l'index de référence. Quand il doit le faire, une simple touche permet de l'afficher. De plus, il dispose de leviers supplémentaires. En inclinant l'un de ces leviers vers la droite, il parcourt le livre devant lui, chaque page étant à son tour affichée à une vitesse permettant leur reconnaissance rapide. S'il dévie encore à droite, il parcourt 10 pages à la fois'; plus loin encore, c'est 100 pages à la fois. En inclinant le levier vers la gauche, il obtient le même contrôle vers l'arrière. Un bouton spécial permet d'atteindre directement la première page de l'index. N'importe quel livre de sa bibliothèque peut ainsi être trouvé et consulté bien plus facilement que s'il fallait le prendre sur une étagère. Comme le memex possède plusieurs écrans, l'utilisateur peut laisser un élément d'un côté tout en affichant un autre. Il peut ajouter des notes et des commentaires, tirant profit des applications possibles de la photographie à émulsion sèche. Nous pourrions même lui permettre de les saisir au stylet, à la manière du télautographe des salles d'attentes des gares, exactement comme s'il avait la page physique devant lui. Tout cela est connu, à l'exception de la projection dans le futur des mécanismes et gadgets actuels. Cependant, le memex propose cependant un progrès immédiat, celui d'une indexation associative ' l'idée d'avoir une disposition dans laquelle tout objet peut être convoqué à volonté pour sélectionner immédiatement et automatiquement un autre. C'est la caractéristique distinctive du memex. Le processus permettant de lier deux éléments est essentiel. Quand l'usager construit un chemin, il le nomme, insère son nom dans l'index de référence et le tape au clavier. Devant lui se trouvent les deux éléments à lier, affichés sur les écrans adjacents. En bas de chacun, il y a un certain nombre de cases vierges de code et un curseur pointant l'une d'elles sur chaque élément. L'utilisateur presse une touche et les éléments sont alors reliés de manière durable. Dans chacun des espaces de code apparaît la référence. Invisible, mais aussi dans l'espace du code, un ensemble de points est destiné à la visualisation par cellule photoélectrique. Sur chacun des éléments, ces points désignent grâce à leur position le numéro de référence de l'élément lié. Par la suite, quand l'un de ces éléments est affiché, l'autre peut être instantanément et à tout moment convoqué en appuyant sur un bouton sous la case correspondante. De plus, lorsque de nombreux articles sont ainsi reliés pour former un itinéraire, ils peuvent être passés en revue, rapidement ou pas, en se servant du levier comme pour parcourir un livre. C'est exactement comme si des éléments physiques d'origines diverses avaient été rassemblés pour former un livre. Cependant le memex est plus que cela, puisque n'importe quel élément peut appartenir à de nombreux itinéraires différents. Disons que le propriétaire du memex est intéressé par l'origine et les propriétés de l'arc et sa flèche. Il étudie précisément pourquoi l'arc court turc semblait supérieur à l'arc long anglais durant les affrontements des Croisades. Il a des dizaines de livres et d'articles potentiellement intéressants dans son memex. Il commence par parcourir une encyclopédie, y repère un article intéressant mais peu précis, et le laisse affiché. Ensuite, dans un récit, il trouve un autre élément pertinent, et lie les deux ensemble. Il continue ainsi, construisant un réseau d'éléments sources. Parfois, il insère un commentaire, qu'il soit relié au réseau principal ou afférent à un élément en particulier. Quand il constate que l'élasticité des matériaux disponibles avait une grande influence sur la qualité des arcs, il crée une nouvelle ramification qui l'amène à explorer des manuels sur l'élasticité et les contraintes physiques. Il insère une page d'analyse manuscrite. Il construit ainsi son propre itinéraire parmi le labyrinthe de documents mis à sa disposition. Ses itinéraires ne s'effacent pas. Des années plus tard, lors d'une discussion, il aborde les méthodes étranges par lesquels un peuple résiste aux innovations, même si elles présentent un intérêt vital. Son exemple s'appuie sur le fait que les européens, vexés, n'ont pas adopté l'arc turc. Il a même un corpus sur le sujet. Une touche lui affiche le livre de références. Entrer quelques caractères affiche le début du chemin. Un levier permet de le parcourir, de s'arrêter aux éléments intéressants, d'explorer les pistes secondaires. Le corpus est intéressant, pertinent pour la discussion. Il lance le mécanisme de reproduction, photographie l'ensemble du réseau de documents, et le donne à son ami pour qu'il puisse le stocker dans son propre memex et y être lié au réseau plus générique. Des formes inédites d'encyclopédies vont apparaître, prêtes à l'emploi grâce aux intersections des chemins d'associations de documents qui les traversent, prêtes à être transférées dans le memex pour y être amplifiées. L'avocat a à sa disposition l'association des opinions et des décisions de toute sa carrière, liée à l'expérience de ses amis et des autorités. Le mandataire en brevets peut accéder aux millions de brevets délivrés, avec des réseaux familiers concernant tous les points d'intérêt de son client. Le médecin, perplexe devant les symptômes d'un patient, explore le réseau établi durant l'étude de cas similaires, avec des références annexes aux notions d'anatomie et d'histologie pertinents. Le chimiste, en prise avec la synthèse d'un composé organique, a toute la littérature de la discipline devant lui au laboratoire, des itinéraires visualisant les similarités avec d'autres composés, et en annexe leur comportement physique et chimique. L'historien met en parallèle le vaste récit chronologique d'un peuple et un itinéraire en pointillés qui ne relie que les points éminents, et peut suivre à tout moment un réseau lui permettant de parcourir toute l'histoire de la civilisation à une époque particulière. Cela donne naissance à une nouvelle profession d'explorateurs et créateurs d'itinéraires, dont les représentants prennent plaisir à établir des itinéraires utiles dans l'énorme masse des enregistrements communs. L'héritage d'un maître n'est plus seulement ce qu'il apporte au savoir humain, c'est aussi l'ensemble des réseaux et itinéraires lui ayant servi à échafauder à sa pensée. (1)
- En fait, chaque fois que l'on combine et que l'on enregistre des faits selon des processus établis, l'aspect créatif de la réflexion n'est concerné que par la sélection des données et le processus pour les traiter, et la manipulation qui s'en suit a par nature un caractère répétitif, qui est en passe d'être reléguée à la machine. (1)
- L'automatisation de processus réflexifs (1)
- Je me sens bête, comme le martinet ou l'hirondelle qui, dans le ciel, dessinent en nageant d'immenses arabesques. (1)
- De la bêtise (1)
- La fleur de la solution (1)
- Problème/Solution (1)
- Solution/dis-solution (1)
- Dis-moi si le printemps s'abreuve de tes gestes (1)
- L'efficacité du milieu juste est suprême (1)
- Il te suffit de l'action présente conforme à la nature (1)
- Le temps d'aimer est venu (1)
- La culture considérée comme "bien non essentiel" (1)
- Des ressources extraordinaires (1)
- Un monde beau et poétique (1)
- La politique doit emprunter à l'amour comme barrage à la cruauté (1)
- La cruauté ne cesse de faire reculer la civilisation (1)
- Indignez-vous ! (1)
- La mondialisation libérale et la loi sans pitié du profit spéculatif détruisent tous les efforts collectifs de protection, ici et dans tous les pays du monde (1)
- Le juste milieu (1)
- I'm just sitting here watching the wheels go 'round and 'round. I really love to watch them roll (1)
- L'histoire de l'art a comme la couleur du dollar (1)
- L'histoire de l'art (1)
- Dans les bas fonds on rêve des fonds du FMI, mais au fond on sait que les familles sont souvent proches du RMI (1)
- Est-ce les salauds qu'on adule ? (1)
- C'est la faute au biz (1)
- L'économie c'est toujours plus de loups dans la bergerie (1)
- Y a pas que des gens bons à la tête de l'art (1)
- Epouser le mouvement, se laisser aller dans le courant. (1)
- People say I'm crazy, doing what I'm doing (1)
- People say I'm lazy, dreaming my life away (1)
- La seule façon d'accomplir est d'être. (1)
- Comprendre, c'est déjà aimer (1)
- Le soin apporté à chaque action a une valeur propre (1)
- Le monde (1)
- Refuser la cruauté du monde (1)
- Les idées (1)
- Graines de demain (1)
- Semer les idées (1)
- Le "complotisme" (1)
- Le totalitarisme (1)
- La méfiance sur laquelle l'étiquette de "complotiste" est vite plaquée pour n'avoir pas à répondre de ses actes et de ses choix (1)
- Etre capable d'aller vers ses ennemis pour faire la paix (1)
- La mauvaise politique cherche à diviser pour régner, c'est à dire faire la société à son omage, une société de jaloux. (1)
- L'admiration (1)
- La politique doit se guérir de l'ego (1)
- L'admiration n'est-elle pas l'exact opposé de la jalousie ? J'ai remarqué à de nombreuses reprises que dès que je croisais une personne admirable, mon regard sur le monde s'éclaircissait (1)
- Non au dénigrement (1)
- La jalousie (1)
- Ce qu'Edgar Morin appelle "le totalitarisme technique et financier" (1)
- La gestion des problèmes par la peur pour obtenir le silence et l'obéissance (1)
- L'éveil des consciences (1)
- Chaque pays a son génie en fonction de son histoire et de ses rêves. (1)
- Une contribution à l'éveil des consciences (1)
- Comment l'action politique pourrait reconquérir le coeur des peuples (1)
- Nous avons la responsabilité de donner aux nouvelles générations des raisons de vouloir grandir dans ce monde et de le changer en mieux (1)
- Les nouvelles générations (1)
- La culture fait partie de toute solution à toute nature de problème (1)
- théorie de la solution (1)
- On comprend ce qu'est l'humanisme quand il disparaît (1)
- Un jeune va réussir par la confiance, en lui-même et dans les adultes qui le guident, pas par la violence ou le dénigrement. Il en va de même des peuples. (1)
- Regarder ensemble quelque chose de beau, s'émerveiller, partager une émotion culturelle ou esthétique relient les êtres entre eux (1)
- Le besoin de partage (1)
- La recherche de compréhension (1)
- Le monstre aux yeux verts, synonyme de la jalousie, taxe l'eau su Sahel juste pour remplir son jacuzi (1)
- Les plus grands gangster font du marketing (1)
- "Dieu, c'est à dire la nature" : Spinoza réintègre l'espèce humaine dans la nature... Pour Spinoza, Dieu est partout, il est à la fois cosmopolite, oeucuménique et protéiforme. Il est moi, il est toi, il est l'air que nous respirons et le gazon sur lequel nous marchons. (1)
- As-tu besoin d'un cinq-étoiles Quand t'en as cinq milliards dans l'ciel (1)
- Le christianisme (1)
- Le christianisme connaitra peut-être, après sa refondation franciscaine, une renaissance épicurienne. (1)
- Toqueville : principe prophétique de la " tyrannie douce " (1)
- F. Mitterrand, dans une forêt du Morvan, " Ce serait quand même merveilleux, si tout s'arrêtait à l'instant et que nous puissions vivre jusqu'à la fin des temps le bonheur que nous vivons maintenant ! " (1)
- La marque constante de la sagesse est de voir le miraculeux dans le banal. (1)
- L'unique bien, c'est la vie (1)
- A qui sait attendre, le temps ouvre les portes. (1)
- Vouloir moins afin d?être plus (1)
- Savoir attendre (1)
- Le bonheur est un choix (1)
- Va toujours par le chemin le plus court, et le plus court est le chemin tracé par la nature. (1)
- Le bonheur ne se décrète pas, ne se convoque pas mais se cultive peu à peu dans la durée. (1)
- La cupidité, la matérialisme et le culte des apparences, les trois faces de la même fange où nous sommes en train de nous perdre. (1)
- Une plénitude qui dispense de chercher sans raison. (1)
- Le règne du relativisme triomphant (1)
- Savoir se fondre dns l'univers (1)
- Le christianisme sera un panthéisme ou ne sera plus. (1)
- Le pharisaïsme de notre époque (1)
- La joie pleine (1)
- François d'Assise décrète que les bêtes sont nos frères et nos soeurs. (1)
- L'univers (1)
- L'âme, c'est comme Dieu. Elle ne se prouve ni s'argumente, elle s'expérimente. (1)
- La nécessité du détachement : Détacher notre désir de tous les biens et attendre. L'expérience prouve que cette attente est comblée. On touche alors le bien absolu. (1)
- Vanité de la possession : on ne possède que ce à quoi on renonce. (1)
- La destruction de soi : Nous ne possédons rien au monde car le hasard peut tout nous ôter sinon le pouvoir de dire je. C'est cela qu'il faut donner à Dieu, c'est à dire détruire. Il n'y a absolument aucun autre acte libre qui nous soit permis, sinon la destruction du je. (1)
- Le vide (1)
- L'âme (1)
- La mère de toutes les questions : Etes-vous heureux ? (1)
- Le bonheur est né de l'altruisme et le malheur de l'égoïsme (1)
- Ecologie de l'attention (1)
- Ne pas sous-estimer les petits et grands hasards (1)
- La distraction (1)
- La société du spectacle (1)
- Il faut beaucoup de travail solitaire. Les réunions sont souvent des pertes de temps. Il faut méditer cette déception liée à la vie collective et son travail. (1)
- Il y a un véritable problème de la distraction en société du spectacle qui est aussi une société d'abrutissement. (1)
- Le hasard (1)
- Ne pas sous estimer le cerveau (1)
- Aujourd'hui les affranchis roulent en berline à Paris (1)
- Il rêve de politique pour être un gangster moderne (1)
- La prison (1)
- Heureusement que la santé fleurit à Fresne (1)
- Le cerveau (1)
- Il ne suffit pas de décider de vivre à la mode bio pour régler les problèmes dits environnementaux. (1)
- S'abstenir de réfléchir sous prétexte que d'autres réfléchissent aux solutions n'est pas une solution, n'est pas une issue. C'est la leçon kantienne que nous pouvons trouver dans ce texte magnifique: "Qu'est-ce que les lumières ?" (1)
- Si nous faisions disparaître les mots, nous pourrions toucher l'univers (1)
- Avec un mot, nous pourrions être un (1)
- Les mots sont des mystères (1)
- Les mots sont nos vies (1)
- Il n?y a pas d?autre bonheur que la paix. (1)
- C'est réunis que les charbons brûlent ; c'est en se séparant que les charbons s'éteignent. (1)
- Et pour tous ces mots qui blessent. Il y a ceux qui nous caressent. Qui illuminent, qui touchent l'infini. (1)
- We could with a word become one (1)
- Les solutions n'existent pas toutes faites. Il n'y a pas de rayon « solutions » dans les supermarchés. Les solutions ne sont pas des produits de consommation, c'est pourquoi nous pouvons tous y réfléchir. Il faut rappeler qu'il faut même se méfier des philosophiques solutions, et qu'il nous faut méditer la théorie de la solution. (1)
- Se méfier des solutions philosophiques (1)
- Nous savons donc à quoi employer notre temps maintenant : créer et inventer des solutions pour le futur. (1)
- Words are mysteries (1)
- If one swept the words away One could touch the universe (1)
- Comment rendre évident pour tous que l'autre est un porteur unique de savoir-faire et de créativité ? (1)
- Combinaison, mixage, réordonnancement des signes, le cyberspace interconnecte virtuellement tous les messages numérisés (1)
- L'éphémère (1)
- Le devenir (1)
- Le devenir sans avenir, si nous l'assumons, nous situe dans un mode d'existence où l'éphémère est la loi (1)
- C'est lorsque nous prenons le pli pour un tout autonome, coupé du paysage, que nous commençons à penser en terme d'avenir (que m'est-il promis à moi ?) et que cette croyance nous sépare de notre existence réelle. (1)
- L'existence, alors, ne serait concevable que comme cette tendance à persévérer dans les processus qui la constituent... Notre question est alors : comment pouvons-nous adapter nos pratiques et nos théories aux agencements réels des processus qui nous fondent ? (1)
- Le "devenir sans avenir" peut être l'une des formules illustrant cette possibilité pour tout un chacun de renouer avec les processus qui l'enracinent dans une époque, dans un paysage. (1)
- Toute recherche du non-éphémère, tout forçage de ce qui, parce qu'irréversible, renvoie à une éternité hors du temps place au centre de son dispositif le contraire de ce qu'il désirait au départ (1)
- Le problème principal de notre époque réside dans cette incapacité, tournant le dos à la vie, d'entrer en amitié sincère avec ce qui est éphémère. On considère comme superflu ou dilettante tout agir qui déploie la multiplicité des possibles, qui se donne comme onjectif de désenclaver les processus des impasses où notre époque les a conduits. Nous n'avons pourtant pas d'autres solutions à trouver que celles qui, sans rien promettre à personne, nous réengage dans des processus de vie et d'existence : croire un peu moins à nous-mêmes, à nos identités sclérosées, élargir notre champ d'aperception du monde et de nous-mêmes, comprendre que ce qui arrive, ça nous arrive, repousser les limites de la séparation sur laquelle se fonde notre société... Penser et agir en termes de paysage n'apporte nulle solution, mais de acquis fondamentaux, qui nous réengagent du côté de la vie. (1)
- Le but n'est jamais représenté à notre conscience de manière complète avant le mouvement ; et au fur et à mesure que nous corrigeons notre mouvement en fonction des situations, nous découvrons quelle était effectivement l'intention de notre action. Nous ne pouvons donc penser objectivement en terme de solution. (1)
- Dans nos sociétés, nous somme toujours en train de sacrifier des pans entiers de l'existence au nom d'une solution, parce que nous interprêtons le tout au nom d'une problématique unidimensionnelle utilitariste, en nous condamnant à une séparation des processus qui nous constituent, ce qui nous conduit à l'impuissance. (1)
- Plus je pense par et pour la partie congrue, c'est à dire moi en tant qu'individu, moins j'existe. Il est paradoxal qu'on en soit arrivé à identifier le point de liberté maximal à ce mécanisme : l'ensemble très vaste, voire infini par ses liens, qu'est chaque être humain a été réduit au sous-ensemble aliéné de son identité individuelle. Il ne s'agit donc jamais de libérer l'individu du pouvoir, mais de nous libérer nous-mêmes du pouvoir de l'individu. (1)
- Connaître la nécessité du paysage, c'est comprendre des processus dans lesquels je suis inclus, comprendre quelsue chose de ce par quoi je suis traversé, et, en définitive m'oublier en tant que fausse unité. Les hommes ne sont que les plis du paysage, et il faut voir les nécessités du paysage comme pure intériorité, non pas comme quelque chose qu'on trouverait en regardant loin au dehors. (1)
- A la destruction qu'opère le modèle utilitariste mondialisé, seule s'oppose la vie sous toutes ses formes... Dans chaque lutte, dans chaque résistance, ce qui s'exprime est la vie, tout projet, tout cheminement d'émancipation étant ontologiquement et éthiquement juste parce qu'il déploie la puissance et la joie dans des modes singuliers. (1)
- Voilà le coeur et le sens même de l'engagement : assumer, dans chaque situation éphémère, ce qui va du côté du déploiement de la puissance, de la joie, du partage, dans par et pour chaque situation (1)
- C'est là une des apparences phénoménales du mécanisme sous-jacent de la pensée de la solution : la dénégation des processus réels de la vie, agencés et compréhensibles seulement dans les situations et paysages que nous habitons. La solution va imposer un but abstrait qui tendra à donner une lecture unidimensionnelle de ces multiples réels. (1)
- On constate la tendance vers une uniformisation des images identificatoires du bonheur (nous regardons tous les mêmes images de télévision) (1)
- Qu'est-ce que le paysage désire à travers moi ? Qu'est-ce que les différentes situations désirent à travers moi ? (1)
- Plus nous abandonnons notre point de vue individuel pour adopter celui du paysage, moins nous sommes piégés dans le vouloir de l'individu. (1)
- L'aliénation (1)
- La déconstruction des vouloirs aliénés qui nous enchaînent (1)
- Pour comprendre l'agir, il faut le concevoir sous le mode de mécanismes d'émergences issus d'interactions multiples dans le soubassement. (1)
- On n'arrête pas de trouver des possibilités techniques qui n'étaient pas envisagées dans la recherche initiale et qui produisent à leur tour des normes sociales. Quelque chose "prend la tangente", et les hommes se trouvent piégés par les techniques qu'ils ont créées. (1)
- Les désirs (plutôt que la volonté) fonctionnent sur un questionnement au sujet des situations concrètes. Le désir s'ouvre sur des possibilités infinies. (1)
- Suivant les idées de Spinoza, ce n'est pas nous qui avons des idées, des impulsions ou tendances, ce sont plutôt les idées et les tropismes qui nous traversent, qui existent à travers nous. (1)
- Le problème central de notre société, décliné sous des formes très différentes, réside dans notre incapacité à libérer les processus de la vie, enfermés dans des étiquetages beaucoup trop rigides. Il réside dans le nécessaire abandon de la solution : la seule solution possible est... d'accepter l'absence de toute solution définitive. (1)
- La pensée en termes de solution produit une véritable idéologie. Nos sociétés proposent une série d'images identificatoires du bonheur. Cette série très restreinte prétend être la solution à une myriade de problèmes non finis, que nous pouvons rencontrer au cours de notre vie. (1)
- Dans le sens dominant que lui a donné la culture occidentale, penser équivaut à trouver des solutions à des problèmes ; sinon l'on serait dans une position dilettante. L'homme moderne est un homme qui résout des problèmes et qui pense l'ensemble de sa vie et l'histoire sociale en termes de solutions. (1)
- Le faisceau de déterminations dont nous sommes l'émergeance (1)
- Il s'agit finalement d'aller vers une sorte de pacification, d'accepter, presque avec soulagement, les déterminations qui nous constituent. Les déterminations ne sont pas des contraintes mais des liens qui nous unissent aux paysages. Et c'est bien la connaissance des déterminations qui libère de nouveaux possibles, de nouveaux agirs. La vie, ainsi, n'est pas cette tristesse permanente dans laquelle chaque humain se déchire et déchire son environnement, en tentant de nier sa condition d'être comme un pli du paysage. Bien au contraire, c'est avec le paysage que nous pouvons répondre aux appels qui lui font écho dans notre intérieur. (1)
- Le moi n'est pas simplement haïssable. Il est l'ennemi qui détruit tout , parce qu'il a commencé par nous détruire. (1)
- Un mode d'éprouver la joie de notre être en tant qu'être lié... Et, à ce moment là, nous savons que l'heure est arrivée de dire à notre petit soi frelaté, aliéné et stupide de se pousser, s'agissant maintenant, tout bêtement, de la vie. (1)
- Emotional landscapes (1)
- My sense of continuity has vanished away (1)
- Coincidence makes sense Only with you (1)
- L'objectif est le chemin lui-même (1)
- La pensée de la politique et de la société a en effet très tôt pris la forme de la croyance en une voie royale : la prise du pouvoir central, clé magique préalable et nécessaire et nécessaire pour la résolution de tout problème. Ce faisant, les forces progressiste se sont condamné à un mode de traitement des problèmes piégé dans des questions d'intersubjectivité et de conflits d'intérêts. Elles ont confondu l'assomption des processus objectifs - sociaux, politiques, économiques, écologique, d'éducation, de santé etc, - avec une problématique simpliste, celle des moyens d'arriver au pouvoir. (1)
- Renouer avec nos paysages nous permettra peut-être de sortir du pur pâtir pour aller vers un agir concret et réel. (1)
- All is fulll of love (1)
- You'll be given love, you'll be taken care of (1)
- Pagan poetry (1)
- You're trying too hard. Surrender (1)
- Oh, and when you're one | Really one | Well, you get things done | Like they've never been done | So, hold on (1)
- When you're by yourself | And there's no one else | You just have yourself | And you tell yourself | Just to hold on (1)
- It's all around you (1)
- It's gonna be alright (1)
- La construction au Nord de forteresses fondées sur l'oppression du Sud (1)
- Eprouver de nouveaux possibles (1)
- Les prophètes du nihilisme, aujourd'hui recyclés dans leurs habits postmodernes, ont l'air tellement sérieux quand ils nous annoncent que nous nous sommes trompés, que tout "isme" est fascisme, que toute certitude est dangereuse, que tout est polysémique... Que consensus et molesse, associés au néolibéralisme et à la loi du marché, sont les nouveaux noms de l'éthique... C'est au nom du rien, du nihil, que ces nouveaux maîtres menseurs, au nom de la démocratie, justifient le néocolonialisme. C'est tellement chic le nihilisme ! Cela se marie si bien avec le sommelier et le dîner en ville qu'on ne peut éviter de se sentir très plouc chaque fois que l'on s'apprête à lutter pour la justice, qu'on éprouve la certitude d'une asymétrie radicale dans la situation qu'on vit. Il n'y a pas de vérité, pérorent les poules de luxe de salons, mais la bétise ayant ses limites, on doit comprendre qu'il y a là l'énoncé d'une vérité : le nihilisme et le relativisme culturel constituent la pire des ontologies sclérosées, la pire des métaphysiques. (1)
- L'opérateur d'agir : le paysage (1)
- Nous ne sommes pas une institution bancaire : on n'a pas le droit de nous demander si nos investissements seront ou non "rentables". C'est dans la lutte ekke-même, dans le chemin que l'objectif se déploie en permanence. (1)
- Il s'agit, dans une joyeuse pratique de résistance et construction, d'assumer les processus de nos vies, au delà de la dichotomie disciplinaire espoir/désespoir. (1)
- Il est vrai que tiraillés par notre envie de perdurer dans notre soi, nous avons souvent du mal à nous laisser vivre, dans le sens plus profond du mot, c'est à dire déployer les multiplicités qui peuvent mettre en danger notre identité. Voilà pourquoi cete joie dont nous parlons existe qouvent chez nous sous la forme paradoxale d'une joie mélancolique : mélancolie du passeur, du voyageur, qui éprouve qu'il n'est jamais autant lui-même qu'au moment où il s'oublie, jusqu'au point de se mettre en danger. (1)
- Entrer en amitié avec le processus, voilà ce qu'il s'agit d'atteindre. (1)
- L'époque et le point de vue du paysage impliquent quant à eux un rapport de fragilité avec le réel un rapport ni de dominé (sacré) ni de dominateur (homme) (1)
- La société de l'individu conçoit la question du lien comme relevant d'un extérieur optionnel aux individus (1)
- La connaissance de nos situations, avec les dispositifs matériels qui les accompagnent, rend consubstantiels la connaissance et l'agir : assumer une situation, c'est travailler dans cette situation, sans chercher des principes qui finissent par nous détourner du réel. Le déploiement de la puissance d'une situation est ce qui, du paysage, fait appel en nous... (1)
- La situation (1)


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