Plus le texte est trituré, commenté, interprété et traduit, plus sa valeur augmente
- Plus le texte est trituré, commenté, interprété et traduit, plus sa valeur augmente (1)
Le sens tel qu'il est conçu chez Dôgen est essentiellement de l'ordre de la production, l'ordre du paraître. C'est pourquoi il doit naître ici et maintenant dans cet univers de la résonance qui est l'écriture, par la trituration d'une fleur. [...] Le sens doit se réaliser comme présence à ce-juste-moment-tel-quel où la pureté de la méditation assise sans formes ni couleurs - comme l'Oeil sans objet - transperce le recto. L'ordre atemporel du zazen dans sa radicalité du rien réalisera alors de parfaites épousailles avec l'ordre temporel de la Loi du phénomène, sans mélange ni confusion. Le sens n'est ni du côté du recto ni du côté du verso, ni du côté du texte (l'objet) ni du côté du lecteur (le sujet) ; il est de l'ordre de la rencontre et de la résonance.
- Le sens tel qu'il est conçu chez Dôgen est essentiellement de l'ordre de la production, l'ordre du paraître. C'est pourquoi il doit naître ici et maintenant dans cet univers de la résonance qui est l'écriture, par la trituration d'une fleur. [...] Le sens doit se réaliser comme présence à ce-juste-moment-tel-quel où la pureté de la méditation assise sans formes ni couleurs - comme l'Oeil sans objet - transperce le recto. L'ordre atemporel du zazen dans sa radicalité du rien réalisera alors de parfaites épousailles avec l'ordre temporel de la Loi du phénomène, sans mélange ni confusion. Le sens n'est ni du côté du recto ni du côté du verso, ni du côté du texte (l'objet) ni du côté du lecteur (le sujet) ; il est de l'ordre de la rencontre et de la résonance. (1)
L'univers de la résonance, qui est la Nature, embrasse tout jusqu'à nos pensées, nos paroles et nos actes, et ces derniers, selon le concept du karma, ne cesseraient de résonner, même après leur disparition matérielle, en produisant des répercussions insondables et sans limites au niveau du temps et au niveau de l'espace.
- L'univers de la résonance, qui est la Nature, embrasse tout jusqu'à nos pensées, nos paroles et nos actes, et ces derniers, selon le concept du karma, ne cesseraient de résonner, même après leur disparition matérielle, en produisant des répercussions insondables et sans limites au niveau du temps et au niveau de l'espace. (1)
LOrsque la non-compréhension revient au milieu de la compréhension, celle-là ne contrecarre pas celle-ci, de même que celle-ci ne brise pas celle-là. [...] La compréhension doit être le moment où se présente la concentration de soi, la voix étant déjà entrée dans les oreilles.
- LOrsque la non-compréhension revient au milieu de la compréhension, celle-là ne contrecarre pas celle-ci, de même que celle-ci ne brise pas celle-là. [...] La compréhension doit être le moment où se présente la concentration de soi, la voix étant déjà entrée dans les oreilles. (1)
La vaste terre entière n'est autre que le corps humain réel, elle n'est autre que la porte de délivrance ; elle n'est autre qu'un Oeil de l'Eveillé de la lumière, elle n'est autre que notre corps de la Loi
- La vaste terre entière n'est autre que le corps humain réel, elle n'est autre que la porte de délivrance ; elle n'est autre qu'un Oeil de l'Eveillé de la lumière, elle n'est autre que notre corps de la Loi (1)
L'Oeil omniscient
- L'Oeil omniscient (1)
Disons pour l'instant que la Voie n'est pas une affaire du savoir ou du non-savoir.
- Disons pour l'instant que la Voie n'est pas une affaire du savoir ou du non-savoir. (1)
Le terme la réalisation du kôan comme présence doit s'appliquer à tous les noms.
- Le terme la réalisation du kôan comme présence doit s'appliquer à tous les noms. (1)
la recherche des mots "les moins faux possibles"
- la recherche des mots "les moins faux possibles" (1)
Le tribalisme
- Le tribalisme (1)
La progressivité
- La progressivité (1)
"Nouvelle Renaissance"
- "Nouvelle Renaissance" (1)
Utiliser l'étymologie pour "relier les mots étroitement aux choses"
- Utiliser l'étymologie pour "relier les mots étroitement aux choses" (1)
Tous les existants sont en dernier lieu la délivrance de soi ; ils sont sans nulle demeure
- Tous les existants sont en dernier lieu la délivrance de soi ; ils sont sans nulle demeure (1)
Du fait qu'elle coule toujours vers le bas, l'eau est ce vers quoi tout le reste conflue, appelant ainsi l'image de la vallée. Dans son humilité, elle est pourtant ce qui donne vie à toute chose, symbole en cela du féminin, du Yin qui conquiert le Yang par attraction plutôt que par contrainte. De la figure du féminin, on en arrive à celle de la mère.
- Du fait qu'elle coule toujours vers le bas, l'eau est ce vers quoi tout le reste conflue, appelant ainsi l'image de la vallée. Dans son humilité, elle est pourtant ce qui donne vie à toute chose, symbole en cela du féminin, du Yin qui conquiert le Yang par attraction plutôt que par contrainte. De la figure du féminin, on en arrive à celle de la mère. (1)
Savoir le détail
- Savoir le détail (1)
Le savoir est une arme
- Le savoir est une arme (1)
Savoir réfléchir avant de juger
- Savoir réfléchir avant de juger (1)
Bien savoir les choses
- Bien savoir les choses (1)
Savoir s'il faut commencer
- Savoir s'il faut commencer (1)
Le temps perdu
- Le temps perdu (1)
Déjà savoir
- Déjà savoir (1)
Ne pas savoir se décider
- Ne pas savoir se décider (1)
Connaissance et action
- Connaissance et action (1)
Savoir et action
- Savoir et action (1)
Le plan de l'ouvrage défie le principe même d'une cohérence systématique, linéaire, didactique ou circulaire telle qu'elle s'est développée en occident.
- Le plan de l'ouvrage défie le principe même d'une cohérence systématique, linéaire, didactique ou circulaire telle qu'elle s'est développée en occident. (1)
Le français, langue sans pareille pour sa clarté et sa précision.
- Le français, langue sans pareille pour sa clarté et sa précision. (1)
Le chinois, comme le japonais, n'est pas une langue flexionnelle ; les relations des mots et de chaque partie de la phrase, sont indiqués, non par le genre, la marque du singulier ou du pluriel, la déclinaison, la conjugaison, etc., mais seulement par la position des mots
- Le chinois, comme le japonais, n'est pas une langue flexionnelle ; les relations des mots et de chaque partie de la phrase, sont indiqués, non par le genre, la marque du singulier ou du pluriel, la déclinaison, la conjugaison, etc., mais seulement par la position des mots (1)
La nouveauté incroyable de l'existence d'autrui
- La nouveauté incroyable de l'existence d'autrui (1)
Les êtres sans âme
- Les êtres sans âme (1)
Savoir est difficile
- Savoir est difficile (1)
Veiller sur le trésor des mots
- Veiller sur le trésor des mots (1)
Devenir ce que l'on voit
- Devenir ce que l'on voit (1)
Tu ne sais pas commment tu me fais me sentir
Comme un idiot qui compte le temps perdu
Entre un "On se voit" et un "Aujourd'hui je ne peux pas"
- Tu ne sais pas commment tu me fais me sentir
Comme un idiot qui compte le temps perdu
Entre un "On se voit" et un "Aujourd'hui je ne peux pas" (1)
Je veux être un homme heureux
- Je veux être un homme heureux (1)
J'ai voulu, j'ai couru à l'envers
- J'ai voulu, j'ai couru à l'envers (1)
Evidemment, même si je perds mon temps
- Evidemment, même si je perds mon temps (1)
On dormira le jour
- On dormira le jour (1)
Quand tu seras môme, on t'apprendra le temps d'aimer
- Quand tu seras môme, on t'apprendra le temps d'aimer (1)
Quand vous méditez, vous êtes au courant de tout
- Quand vous méditez, vous êtes au courant de tout (1)
Etre au courant de tout
- Etre au courant de tout (1)
Evidemment on se retrouvera | Comme si on ne s'était jamais perdu
- Evidemment on se retrouvera | Comme si on ne s'était jamais perdu (1)
Les cinq sens
- Les cinq sens (1)
Pour qu'éclate de joie | chaque heure et chaque jour
- Pour qu'éclate de joie | chaque heure et chaque jour (1)
Quand on n'a que l'amour | Pour parler aux canons | Et rien qu'une chanson | Pour convaincre un tambour
- Quand on n'a que l'amour | Pour parler aux canons | Et rien qu'une chanson | Pour convaincre un tambour (1)
Saigne l'Afrique
- Saigne l'Afrique (1)
Cette nuit est un enfer
- Cette nuit est un enfer (1)
L'échec de la rationalité face au divin
- L'échec de la rationalité face au divin (1)
Partout on ne jure que mitraille | Que vengeance | Que punition
- Partout on ne jure que mitraille | Que vengeance | Que punition (1)
Si je t'écris mon camarade | C'est pour parler de la saison | Si je t'écris | C'est que le vent de Foehn et de Lombarde | A abattu | Tous les hérons
- Si je t'écris mon camarade | C'est pour parler de la saison | Si je t'écris | C'est que le vent de Foehn et de Lombarde | A abattu | Tous les hérons (1)
Le chinois ancien ne connaît pas la copule "être"; le rapport du sujet et du prédicat est indiqué par une simple juxtaposition
- Le chinois ancien ne connaît pas la copule "être"; le rapport du sujet et du prédicat est indiqué par une simple juxtaposition (1)
Chez Dôgen, le langage est conçu comme matière à exploiter, et le mot est perçu comme chose parmi les choses du monde
- Chez Dôgen, le langage est conçu comme matière à exploiter, et le mot est perçu comme chose parmi les choses du monde (1)
Si on dit en français "faire des rêves", on dit en japonais "voir des rêves"
- Si on dit en français "faire des rêves", on dit en japonais "voir des rêves" (1)
L'expression courante muga-muchû veut dire littéralement le "non-moi au milieu du rêve". Il s'agit d'être absorbé, captivé ou transporté dans le total oubli de soi par tout ce qui ravit nos coeurs, telle jeu chez l'enfant, l'art, la conversation, le travail, les sentiments amoureux, etc.
- L'expression courante muga-muchû veut dire littéralement le "non-moi au milieu du rêve". Il s'agit d'être absorbé, captivé ou transporté dans le total oubli de soi par tout ce qui ravit nos coeurs, telle jeu chez l'enfant, l'art, la conversation, le travail, les sentiments amoureux, etc. (1)
Autour du "flow"
- Autour du "flow" (1)
La vertu acquise des éveillés antérieurs vous purifie et vous sauve, elle fait naître en vous une foi pure et l'esprit d'application libérés de toutes entraves. Dès l'instant qu'apparaît cette foi pure, le soi-même et l'autre se font également transformer par elle. Le bénéfice de cette transfornation se répand sur les êtres sensibles et sur les êtres non sensibles.
- La vertu acquise des éveillés antérieurs vous purifie et vous sauve, elle fait naître en vous une foi pure et l'esprit d'application libérés de toutes entraves. Dès l'instant qu'apparaît cette foi pure, le soi-même et l'autre se font également transformer par elle. Le bénéfice de cette transfornation se répand sur les êtres sensibles et sur les êtres non sensibles. (1)
Tout est bon en tant que tel
- Tout est bon en tant que tel (1)
La vertu acquise de la voix des vallées et des formes-couleurs des montagnes
- La vertu acquise de la voix des vallées et des formes-couleurs des montagnes (1)
Les trois poisons qui nuisent à la racine du bien sont la convoitise, la colère et l'ignorance
- Les trois poisons qui nuisent à la racine du bien sont la convoitise, la colère et l'ignorance (1)
Formes-couleurs des montagnes et voix des vallées. C'est elles qui ont une immense langue et énoncent les quatre-vingt-quatre mille poèmes.
- Formes-couleurs des montagnes et voix des vallées. C'est elles qui ont une immense langue et énoncent les quatre-vingt-quatre mille poèmes. (1)
Malgré sa nature dépourvue de l'être-là réel, le rêve est soumis, comme tout autre phénomène, à la loi des actes
- Malgré sa nature dépourvue de l'être-là réel, le rêve est soumis, comme tout autre phénomène, à la loi des actes (1)
Mise en parallèle de l'inexistence du rêve et de la vacuité de l'objet perçu
- Mise en parallèle de l'inexistence du rêve et de la vacuité de l'objet perçu (1)
Les montagnes sont constamment au repos et constamment en marche. On parle de l'écoulement des montagnes et de l'écoulement du Soi
- Les montagnes sont constamment au repos et constamment en marche. On parle de l'écoulement des montagnes et de l'écoulement du Soi (1)
L'eau coagulée est plus dure que le diamant. Qui pourrait la briser ? Fondue, l'eau est plus tendre que le lait. Qui pourrait la briser ?
- L'eau coagulée est plus dure que le diamant. Qui pourrait la briser ? Fondue, l'eau est plus tendre que le lait. Qui pourrait la briser ? (1)
L'eau ne résiste à rien et suit le cours naturel des choses. Ainsi, dans la pensée chinoise, la métaphore de l'eau est souvent associée au Dao et à l'idéal taoïste de non-agir
- L'eau ne résiste à rien et suit le cours naturel des choses. Ainsi, dans la pensée chinoise, la métaphore de l'eau est souvent associée au Dao et à l'idéal taoïste de non-agir (1)
Dôgen signale que la pratique ne doit pas être conçue comme quelque chose tournée vers l'avenir
- Dôgen signale que la pratique ne doit pas être conçue comme quelque chose tournée vers l'avenir (1)
Le mot japonais shizen : la "nature", veut dire littéralement "de soi-même ainsi", "ce qui va de soi", "ce qui advient spontanément". La tradition taoïste développera, à partir de ce mot, les notions de pure spontanéité et de non-agir, notions tournées vers l'état originel de fusion et de non-dépendance totale.
- Le mot japonais shizen : la "nature", veut dire littéralement "de soi-même ainsi", "ce qui va de soi", "ce qui advient spontanément". La tradition taoïste développera, à partir de ce mot, les notions de pure spontanéité et de non-agir, notions tournées vers l'état originel de fusion et de non-dépendance totale. (1)
"Je méditais et méditais"
- "Je méditais et méditais" (1)
A obtenir l'équilibre, on voit l'équilibre
- A obtenir l'équilibre, on voit l'équilibre (1)
L'équilibre
- L'équilibre (1)
Connaître en triturant, avec toutes nos forces, cet univers entier, les montagnes et les rivières
- Connaître en triturant, avec toutes nos forces, cet univers entier, les montagnes et les rivières (1)
La connaissance de soi n'est autre que les montagnes et les rivières, c'est à dire la Nature qui réalise sa propre image en se faisant écho à elle-même
- La connaissance de soi n'est autre que les montagnes et les rivières, c'est à dire la Nature qui réalise sa propre image en se faisant écho à elle-même (1)
"Une fleur éclôt, et le monde se lève." A l'éclosion d'une seule fleur, le monde entier se transforme, puisque ce monde est un monde de la résonance
- "Une fleur éclôt, et le monde se lève." A l'éclosion d'une seule fleur, le monde entier se transforme, puisque ce monde est un monde de la résonance (1)
Le terme "kôjô" en japonais désigne la montée vers l'état absolu de l'Eveil où sont abolies toute opposition et toutes pensées discriminantes.
- Le terme "kôjô" en japonais désigne la montée vers l'état absolu de l'Eveil où sont abolies toute opposition et toutes pensées discriminantes. (1)
Limpide et pure, la méditation doit se pratiquer avec l'esprit de la gratuité et de la non-obtention et se situer dans la sphère de la vacuité
- Limpide et pure, la méditation doit se pratiquer avec l'esprit de la gratuité et de la non-obtention et se situer dans la sphère de la vacuité (1)
C'est auprès de la nature que l'homme doit apprendre la liberté du non-faire
- C'est auprès de la nature que l'homme doit apprendre la liberté du non-faire (1)
L'univers du phénomène qui n'est ni vrai ni faux, tout comme le rêve, par son perpétuel mouvement de l'apparaître et du disparaître
- L'univers du phénomène qui n'est ni vrai ni faux, tout comme le rêve, par son perpétuel mouvement de l'apparaître et du disparaître (1)
Dans le Shôbôgenzô, la poésie et la philosophie, la surface et la profondeur ne font qu'une
- Dans le Shôbôgenzô, la poésie et la philosophie, la surface et la profondeur ne font qu'une (1)
La langue japonaise omet volontiers, lorsqu'ils sont évidents aux locuteurs, le sujet et les compléments de toutes sortes (compléments d'objet direct, second ou indirect, complément circonstanciels de lieu ou de temps etc.)
- La langue japonaise omet volontiers, lorsqu'ils sont évidents aux locuteurs, le sujet et les compléments de toutes sortes (compléments d'objet direct, second ou indirect, complément circonstanciels de lieu ou de temps etc.) (1)
Tel qu'il se présente originalement, le Shôbôgenzô est constitué de calligraphies qui ne comportent aucune ponctuation, ni de virgule, ni de point final, ni de guillemets
- Tel qu'il se présente originalement, le Shôbôgenzô est constitué de calligraphies qui ne comportent aucune ponctuation, ni de virgule, ni de point final, ni de guillemets (1)
La gratuité, la non-obtention
- La gratuité, la non-obtention (1)
Kufû, la pratique ingénieuse
- Kufû, la pratique ingénieuse (1)
Telle est la pratique ingénieuse appelée le dépouillement du corps et du coeur
- Telle est la pratique ingénieuse appelée le dépouillement du corps et du coeur (1)
Le mot hyô (le recto) ri (le verso) est le plus souvent employé comme synonyme de funi (le non-dualisme) : "Le recto et le verso ne font qu'un" (hyôri ittai)
- Le mot hyô (le recto) ri (le verso) est le plus souvent employé comme synonyme de funi (le non-dualisme) : "Le recto et le verso ne font qu'un" (hyôri ittai) (1)
La connaissance consiste à ne pas souiller le phénomène ; ne pas souiller le phénomène est la connaissance.
- La connaissance consiste à ne pas souiller le phénomène ; ne pas souiller le phénomène est la connaissance. (1)
Daijaku dit encore : "Tu étudies la méditation assise, c'est pour apprendre à être assis en éveillé"
- Daijaku dit encore : "Tu étudies la méditation assise, c'est pour apprendre à être assis en éveillé" (1)
Les domaines de la connaissance
- Les domaines de la connaissance (1)
Dans quel dessein pratiques-tu la méditation assise ? (En pratiquant la méditation assise, que dessines-tu ?). A tête reposée, étudiez à fond et pratiquez avec ingéniosité cette question
- Dans quel dessein pratiques-tu la méditation assise ? (En pratiquant la méditation assise, que dessines-tu ?). A tête reposée, étudiez à fond et pratiquez avec ingéniosité cette question (1)
Soyez-en donc persuadés une fois pour toute : non seulement votre point de vue n'est pas à déterminer comme le vôtre, mais il doit aussi exister l'enseignement essentiel dans les oeuvres des dix mille domaines.
- Soyez-en donc persuadés une fois pour toute : non seulement votre point de vue n'est pas à déterminer comme le vôtre, mais il doit aussi exister l'enseignement essentiel dans les oeuvres des dix mille domaines. (1)
La cupidité, la matérialisme et le culte des apparences, les trois faces de la même fange où nous sommes en train de nous perdre.
- La cupidité, la matérialisme et le culte des apparences, les trois faces de la même fange où nous sommes en train de nous perdre. (1)
Une plénitude qui dispense de chercher sans raison.
- Une plénitude qui dispense de chercher sans raison. (1)
Ces expériences les amenaient à considérer la poésie, non plus comme un système à la façon de Mallarmé, mais comme une libération, comme une possibilité d'accorder à l'esprit une liberté qu'ils n'avaient jusqu'alors à leurs yeux, jamais connue et à constater qu'elle les délivrait de l'appareil logique.
- Ces expériences les amenaient à considérer la poésie, non plus comme un système à la façon de Mallarmé, mais comme une libération, comme une possibilité d'accorder à l'esprit une liberté qu'ils n'avaient jusqu'alors à leurs yeux, jamais connue et à constater qu'elle les délivrait de l'appareil logique. (1)
Ecriture automatique : dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale
- Ecriture automatique : dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale (1)
Liberté : DADA DADA DADA, hurlement des couleurs crispées, entrelacement des contraires et de toutes les contradictions, des grotesques, des inconséquences : LA VIE (Manifeste dada, 1918)
- Liberté : DADA DADA DADA, hurlement des couleurs crispées, entrelacement des contraires et de toutes les contradictions, des grotesques, des inconséquences : LA VIE (Manifeste dada, 1918) (1)
Les "grandes chasses intérieures" (Aragon)
- Les "grandes chasses intérieures" (Aragon) (1)
L"écriture automatique révèle les constantes les plus fondamentales de l"individu
- L"écriture automatique révèle les constantes les plus fondamentales de l"individu (1)
Au cours de nos recherches, nous avions constaté en effet que l'esprit, dégagé de toutes les pressions critiques et des habitudes scolaires, offrait des images et non des propositions logiques et que, si nous acceptions d'adopter ce que le psychiatre Pierre Janet appelait l'écriture automatique, nous notions des textes où nous décrivions un univers inexploré jusqu'alors. Nous décidâmes donc de nous donner quinze jours pour écrire en collaboration un ouvrage où nous [sic] interdisions de corriger et de raturer nos élucubrations. Nous n'eûmes aucune peine à respecter ce délai et c'est avec une joie croissante que nous prîmes connaissance des textes
- Au cours de nos recherches, nous avions constaté en effet que l'esprit, dégagé de toutes les pressions critiques et des habitudes scolaires, offrait des images et non des propositions logiques et que, si nous acceptions d'adopter ce que le psychiatre Pierre Janet appelait l'écriture automatique, nous notions des textes où nous décrivions un univers inexploré jusqu'alors. Nous décidâmes donc de nous donner quinze jours pour écrire en collaboration un ouvrage où nous [sic] interdisions de corriger et de raturer nos élucubrations. Nous n'eûmes aucune peine à respecter ce délai et c'est avec une joie croissante que nous prîmes connaissance des textes (1)
Le délire poétique de Lautréamont
- Le délire poétique de Lautréamont (1)
Les contraires
- Les contraires (1)
La musique acousmatique
- La musique acousmatique (1)
Une histoire qu'a pas de sens
- Une histoire qu'a pas de sens (1)
Pas grand chose ne nous touche aussi fort que d'écouter de la musique
- Pas grand chose ne nous touche aussi fort que d'écouter de la musique (1)
Le pouvoir des instruments sur nos affects intriguait déjà Shakespeare : "N'est-il pas étrange que des boyaux de mouton puisse extraire l'âme du corps humain ?
- Le pouvoir des instruments sur nos affects intriguait déjà Shakespeare : "N'est-il pas étrange que des boyaux de mouton puisse extraire l'âme du corps humain ? (1)
Et je marche dans les rues sans savoir | Sans savoir vraiment, ni comment ni pourquoi, oh-oh-oh | J'en suis arrivé là
- Et je marche dans les rues sans savoir | Sans savoir vraiment, ni comment ni pourquoi, oh-oh-oh | J'en suis arrivé là (1)
Nobody Knows the trouble I've seen
- Nobody Knows the trouble I've seen (1)
La chasse et la cueillette, l'ancienne sauvagerie (Rimbaud)
- La chasse et la cueillette, l'ancienne sauvagerie (Rimbaud) (1)
Le cri de tous les chefs d'oeuvre de l'antiquité et du monde moderne
- Le cri de tous les chefs d'oeuvre de l'antiquité et du monde moderne (1)
Sometime I'm up, sometime I'm down
- Sometime I'm up, sometime I'm down (1)
De la musique avant toute chose
- De la musique avant toute chose (1)
Cracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer, avec la vive satisfaction que c'est tout à fait égal
- Cracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer, avec la vive satisfaction que c'est tout à fait égal (1)
Une nouvelle éthique
- Une nouvelle éthique (1)
Walden passe par la redécouverte des mots précis, des étymologies et des échos stylistiques (prosonomasie) entre les mots. « Les dénombrements sans fin des mots de Walden font [ainsi] partie de son entreprise de sauvetage du langage. » Thoreau rêve d'une « parole-écriture végétale qui ne serait lue ou entendue que par les oiseaux ou les anges ». Le secret de cette langue est possédé par les animaux du bois et par l'étang de Walden et « tout le livre parle du recouvrement prestigieux et possible d'une langue adamique, celle d'une profération poétique où les mots seraient adéquats aux choses. Il s'ensuit que l'animal, de par le fait qu'il est plus proche de la nature, détiendrait le secret de ce babil ancien et mimologique parlé à l'aube des temps. » Il existe donc deux langages : l'un maternel et l'autre paternel ; l'homme doit réapprendre à les parler. Proche de ce que sera plus tard la philosophie de Wittgenstein, Thoreau fait de Walden « une éducation à l'âge adulte pour redonner sens aux mots » ; Walden est ainsi « une entreprise de réappropriation du langage, exactement comme le Tractatus-philosophicus, une entreprise de réhabilitation du langage par le silence. »
Plusieurs fois dans le roman, Thoreau écoute les cris animaux, ses « voisins inférieurs », et dont la langue est assimilée aux poèmes humains. Il les imite et tente d'en cerner la signification en laissant libre cours aux associations d'idées. Ses onomatopées et calembours sont la clé de cette langue adamique par laquelle Thoreau souhaite s'affranchir de la littérarité. Par ce travail du sonore, Thoreau entend établir « un protocole de lecture qui a pour fonction d'initier les lecteurs au plaisir du bruit ». La rencontre avec l'écho donne le départ du nouveau langage du narrateur, celui de l'harmonie imitative. Ce dernier lui permet de décrire la nature en donnant à chaque élément de celle-ci un son particulier, en accord avec son essence. Il s'agit d'une initiation car le processus d'acquisition linguistique est progressif. La nature s'humanise et « le meuglement lointain de quelques vaches » semble celui de « certains ménestrels », de même « les whippoorwills chantaient leurs vêpres ». Viennent ensuite les oiseaux qui laissent la place aux chats-huants, comparables à des « pleureuses ». Les animaux semblent articuler de plus en plus leurs langages, et, ce faisant, un sens se forme. Ils ne ressemblent plus à des hommes mais à des poètes : les chats-huants ont ainsi un « cri lugubre véritablement ben-jonsonien », en référence au poète Ben Jonson, contemporain de Shakespeare. En somme, Walden est « la manifestation suprême de cette conscience linguistique exigeante » de Thoreau.
- Walden passe par la redécouverte des mots précis, des étymologies et des échos stylistiques (prosonomasie) entre les mots. « Les dénombrements sans fin des mots de Walden font [ainsi] partie de son entreprise de sauvetage du langage. » Thoreau rêve d'une « parole-écriture végétale qui ne serait lue ou entendue que par les oiseaux ou les anges ». Le secret de cette langue est possédé par les animaux du bois et par l'étang de Walden et « tout le livre parle du recouvrement prestigieux et possible d'une langue adamique, celle d'une profération poétique où les mots seraient adéquats aux choses. Il s'ensuit que l'animal, de par le fait qu'il est plus proche de la nature, détiendrait le secret de ce babil ancien et mimologique parlé à l'aube des temps. » Il existe donc deux langages : l'un maternel et l'autre paternel ; l'homme doit réapprendre à les parler. Proche de ce que sera plus tard la philosophie de Wittgenstein, Thoreau fait de Walden « une éducation à l'âge adulte pour redonner sens aux mots » ; Walden est ainsi « une entreprise de réappropriation du langage, exactement comme le Tractatus-philosophicus, une entreprise de réhabilitation du langage par le silence. »
Plusieurs fois dans le roman, Thoreau écoute les cris animaux, ses « voisins inférieurs », et dont la langue est assimilée aux poèmes humains. Il les imite et tente d'en cerner la signification en laissant libre cours aux associations d'idées. Ses onomatopées et calembours sont la clé de cette langue adamique par laquelle Thoreau souhaite s'affranchir de la littérarité. Par ce travail du sonore, Thoreau entend établir « un protocole de lecture qui a pour fonction d'initier les lecteurs au plaisir du bruit ». La rencontre avec l'écho donne le départ du nouveau langage du narrateur, celui de l'harmonie imitative. Ce dernier lui permet de décrire la nature en donnant à chaque élément de celle-ci un son particulier, en accord avec son essence. Il s'agit d'une initiation car le processus d'acquisition linguistique est progressif. La nature s'humanise et « le meuglement lointain de quelques vaches » semble celui de « certains ménestrels », de même « les whippoorwills chantaient leurs vêpres ». Viennent ensuite les oiseaux qui laissent la place aux chats-huants, comparables à des « pleureuses ». Les animaux semblent articuler de plus en plus leurs langages, et, ce faisant, un sens se forme. Ils ne ressemblent plus à des hommes mais à des poètes : les chats-huants ont ainsi un « cri lugubre véritablement ben-jonsonien », en référence au poète Ben Jonson, contemporain de Shakespeare. En somme, Walden est « la manifestation suprême de cette conscience linguistique exigeante » de Thoreau. (1)
L'harmonie avec la nature
- L'harmonie avec la nature (1)
La propriété
- La propriété (1)
Dans Walden, Thoreau décrit l'esthétique des paysages entourant sa cabane (chapitre IV : Bruits). Il énumère aussi les sons audibles depuis sa cabane : les cloches de l'église, le meuglement des vaches, le chant du whip-poor-will, le hululement des hiboux, le coassement des grenouilles et le chant des coqs. Par ailleurs, il écrit ses observations sur la géographie de l'étang de Walden et ses voisins : l'étang de Flint (ou Sandy Pond), White Pond, et Goose Pond
- Dans Walden, Thoreau décrit l'esthétique des paysages entourant sa cabane (chapitre IV : Bruits). Il énumère aussi les sons audibles depuis sa cabane : les cloches de l'église, le meuglement des vaches, le chant du whip-poor-will, le hululement des hiboux, le coassement des grenouilles et le chant des coqs. Par ailleurs, il écrit ses observations sur la géographie de l'étang de Walden et ses voisins : l'étang de Flint (ou Sandy Pond), White Pond, et Goose Pond (1)
Autobiographie
- Autobiographie (1)
Ce qu'il me fallait, c'était vivre abondamment, sucer toute la moelle secrète de la vie
- Ce qu'il me fallait, c'était vivre abondamment, sucer toute la moelle secrète de la vie (1)
Sucer toute la moelle secrète de la vie
- Sucer toute la moelle secrète de la vie (1)
Thoreau tente de montrer « comment la présence humaine et le paysage interagissent ». Thoreau nous montre que le paysage a la capacité de résister à l'action humaine mais aussi que l'homme doit équilibrer le milieu et aider la nature à faire jouer ses forces homéostasiques. En ce sens, Walden propose une « contre-idéologie du paysage ». Le paysagiste américain Ian McHarg (auteur de Design with Nature) s'inspire de cette idée, dont Thoreau est le pionnier. Cette relation, devenue intime, avec la nature permet à Thoreau de redéfinir jusqu'à l'acte d'écriture : il « définit son idéal littéraire par la capacité de l'écrivain à se soumettre à l'influence de la nature, à transposer la sauvagerie encore si largement présente sur le Nouveau Continent. Il emprunte au nationalisme littéraire américain l'idée selon laquelle les vastes étendues désertiques constituaient une ressource précieuse que l'Europe n'avait plus à sa disposition pour se redonner de l'énergie »
- Thoreau tente de montrer « comment la présence humaine et le paysage interagissent ». Thoreau nous montre que le paysage a la capacité de résister à l'action humaine mais aussi que l'homme doit équilibrer le milieu et aider la nature à faire jouer ses forces homéostasiques. En ce sens, Walden propose une « contre-idéologie du paysage ». Le paysagiste américain Ian McHarg (auteur de Design with Nature) s'inspire de cette idée, dont Thoreau est le pionnier. Cette relation, devenue intime, avec la nature permet à Thoreau de redéfinir jusqu'à l'acte d'écriture : il « définit son idéal littéraire par la capacité de l'écrivain à se soumettre à l'influence de la nature, à transposer la sauvagerie encore si largement présente sur le Nouveau Continent. Il emprunte au nationalisme littéraire américain l'idée selon laquelle les vastes étendues désertiques constituaient une ressource précieuse que l'Europe n'avait plus à sa disposition pour se redonner de l'énergie » (1)
Aller au bout de ses rêves
- Aller au bout de ses rêves (1)
Croyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité
- Croyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité (1)
La spontanéité
- La spontanéité (1)
Respecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste
- Respecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste (1)
Abolition du futur
- Abolition du futur (1)
Abolition de la logique
- Abolition de la logique (1)
Partir seul dans la nature
- Partir seul dans la nature (1)
La tentation de l'impossible
- La tentation de l'impossible (1)
"N'allez pas où le chemin peut mener. Allez où il n'y a pas de chemin ? et laissez une trace.", Ralph Waldo Emerson
- "N'allez pas où le chemin peut mener. Allez où il n'y a pas de chemin ? et laissez une trace.", Ralph Waldo Emerson (1)
Partout dans le monde les humains jouent de la musique. On chante et on danse
- Partout dans le monde les humains jouent de la musique. On chante et on danse (1)
La musique éveille en nous toute une gamme d'émotions. Elle nous fascine, nous bouleverse, nous emporte... Il existe peu de sentiments qu'on ne puisse pas associer à la musique.
- La musique éveille en nous toute une gamme d'émotions. Elle nous fascine, nous bouleverse, nous emporte... Il existe peu de sentiments qu'on ne puisse pas associer à la musique. (1)
Nous avons la responsabilité de donner aux nouvelles générations des raisons de vouloir grandir dans ce monde et de le changer en mieux
- Nous avons la responsabilité de donner aux nouvelles générations des raisons de vouloir grandir dans ce monde et de le changer en mieux (1)
Les nouvelles générations
- Les nouvelles générations (1)
Comment l'action politique pourrait reconquérir le coeur des peuples
- Comment l'action politique pourrait reconquérir le coeur des peuples (1)
Refuser la cruauté du monde
- Refuser la cruauté du monde (1)
La politique doit emprunter à l'amour comme barrage à la cruauté
- La politique doit emprunter à l'amour comme barrage à la cruauté (1)
Des ressources extraordinaires
- Des ressources extraordinaires (1)
Un monde beau et poétique
- Un monde beau et poétique (1)
Une contribution à l'éveil des consciences
- Une contribution à l'éveil des consciences (1)
L'éveil des consciences
- L'éveil des consciences (1)
Regarder ensemble quelque chose de beau, s'émerveiller, partager une émotion culturelle ou esthétique relient les êtres entre eux
- Regarder ensemble quelque chose de beau, s'émerveiller, partager une émotion culturelle ou esthétique relient les êtres entre eux (1)
On comprend ce qu'est l'humanisme quand il disparaît
- On comprend ce qu'est l'humanisme quand il disparaît (1)
Un jeune va réussir par la confiance, en lui-même et dans les adultes qui le guident, pas par la violence ou le dénigrement. Il en va de même des peuples.
- Un jeune va réussir par la confiance, en lui-même et dans les adultes qui le guident, pas par la violence ou le dénigrement. Il en va de même des peuples. (1)
Le besoin de partage
- Le besoin de partage (1)
La recherche de compréhension
- La recherche de compréhension (1)
Chaque pays a son génie en fonction de son histoire et de ses rêves.
- Chaque pays a son génie en fonction de son histoire et de ses rêves. (1)
La culture fait partie de toute solution à toute nature de problème
- La culture fait partie de toute solution à toute nature de problème (1)
théorie de la solution
- théorie de la solution (1)
La cruauté ne cesse de faire reculer la civilisation
- La cruauté ne cesse de faire reculer la civilisation (1)
La mondialisation libérale et la loi sans pitié du profit spéculatif détruisent tous les efforts collectifs de protection, ici et dans tous les pays du monde
- La mondialisation libérale et la loi sans pitié du profit spéculatif détruisent tous les efforts collectifs de protection, ici et dans tous les pays du monde (1)
La musique nous lie, nous soude. Je ne suis plus simplement moi. Je deviens nous...
- La musique nous lie, nous soude. Je ne suis plus simplement moi. Je deviens nous... (1)
La musique favorise la cohésion sociale. La synchronisation de nos mouvements semble déclencher dans notre cerveau la sécrétion d'opioïdes endogènes, notamment des endorphines. Ces hormones favorisent le lien social et participent à réduire la peur, par exemple celle de se rapprocher d'autrui
- La musique favorise la cohésion sociale. La synchronisation de nos mouvements semble déclencher dans notre cerveau la sécrétion d'opioïdes endogènes, notamment des endorphines. Ces hormones favorisent le lien social et participent à réduire la peur, par exemple celle de se rapprocher d'autrui (1)
En écoutant de la musique, nous cherchons inconsciemment des schémas, des régularités.
- En écoutant de la musique, nous cherchons inconsciemment des schémas, des régularités. (1)
La musique a certaines fonctions, qui existent partout dans le monde. Partout dans le monde, les parents chantent pour apaiser leurs enfants, ils partagent et régulent leurs émotions avec la musique. Autre fonction : chanter pour séduire... C'est aussi un marqueur d'identité et de solidarité.
- La musique a certaines fonctions, qui existent partout dans le monde. Partout dans le monde, les parents chantent pour apaiser leurs enfants, ils partagent et régulent leurs émotions avec la musique. Autre fonction : chanter pour séduire... C'est aussi un marqueur d'identité et de solidarité. (1)
Les émotions
- Les émotions (1)
La musique influence notre perception du monde
- La musique influence notre perception du monde (1)
La musique peut modifier notre fréquence cardiaque et respiratoire. Elle déclenche une activité cérébrale spécifique et chamboule notre neuro-chimie. Elle stimule la totalité du cerveau. L'imagerie montre qu'on ne s'imagine pas juste éprouver ces émotions, mais que la musique déclenche une véritable explosion cérébrale.
- La musique peut modifier notre fréquence cardiaque et respiratoire. Elle déclenche une activité cérébrale spécifique et chamboule notre neuro-chimie. Elle stimule la totalité du cerveau. L'imagerie montre qu'on ne s'imagine pas juste éprouver ces émotions, mais que la musique déclenche une véritable explosion cérébrale. (1)
90% de la musique est formé de répétition. La musique est structurée de manière à ce que nous sachions ce qui va suivre. Nous sommes dans l'attente de ce qui va suivre, c'est un jeu qui amuse notre cerveau. le public en sait plus en musique qu'il n'en a conscience. Les compositeurs peuvent satisfaire ou déjouer les attentes.
- 90% de la musique est formé de répétition. La musique est structurée de manière à ce que nous sachions ce qui va suivre. Nous sommes dans l'attente de ce qui va suivre, c'est un jeu qui amuse notre cerveau. le public en sait plus en musique qu'il n'en a conscience. Les compositeurs peuvent satisfaire ou déjouer les attentes. (1)
La musique est liée à nos propres souvenirs, ce qui fait d'elle une machine à remonter le temps. Elle réssuscite des sentiments et des émotions passés
- La musique est liée à nos propres souvenirs, ce qui fait d'elle une machine à remonter le temps. Elle réssuscite des sentiments et des émotions passés (1)
Le temps d'aimer est venu
- Le temps d'aimer est venu (1)
La culture considérée comme "bien non essentiel"
- La culture considérée comme "bien non essentiel" (1)
Indignez-vous !
- Indignez-vous ! (1)
Can I get a witness
- Can I get a witness (1)
La musique s'adresse à une partie de nous qui dépasse notre raison
- La musique s'adresse à une partie de nous qui dépasse notre raison (1)
La musique est une façon d'explorer toutes nos émotions dans un cadre sécurisé
- La musique est une façon d'explorer toutes nos émotions dans un cadre sécurisé (1)
La musique permet de vivre des expériences qui sortent de l'ordinaire et qui nous permettent de mieux appréhender notre identité
- La musique permet de vivre des expériences qui sortent de l'ordinaire et qui nous permettent de mieux appréhender notre identité (1)
Extra-vagance
- Extra-vagance (1)
L'autarcie
- L'autarcie (1)
Parlez-moi du talent de ce mètre en platine, de ce miroir, de cette porte, et du ciel si vous voulez.
- Parlez-moi du talent de ce mètre en platine, de ce miroir, de cette porte, et du ciel si vous voulez. (1)
Les images du monje
- Les images du monje (1)
SURRÉALISME, n. m. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. ENCYCL. Philos. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie.
- SURRÉALISME, n. m. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. ENCYCL. Philos. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. (1)
C'est sur ces entrefaites que je fus amené à renoncer définitivement à mon point de vue
- C'est sur ces entrefaites que je fus amené à renoncer définitivement à mon point de vue (1)
Au rendez-vous des occasions
- Au rendez-vous des occasions (1)
Je m'étais mis à choyer immodérément les mots pour l'espace qu'ils admettent autour d'eux, pour leurs tangences avec d'autres mots innombrables que je ne prononçais pas
- Je m'étais mis à choyer immodérément les mots pour l'espace qu'ils admettent autour d'eux, pour leurs tangences avec d'autres mots innombrables que je ne prononçais pas (1)
Le printemps dans la peinture
- Le printemps dans la peinture (1)
La rage du peuple
- La rage du peuple (1)
Vois aux quatre coins du globe, la rage du peuple en ébullition
- Vois aux quatre coins du globe, la rage du peuple en ébullition (1)
La veille d'une révolution (mondiale et spirituelle)
- La veille d'une révolution (mondiale et spirituelle) (1)
La révolution
- La révolution (1)
pouvoir changer l'humanité
- pouvoir changer l'humanité (1)
La colonisation
- La colonisation (1)
La rage car ce monde ne nous correspond pas | Où Babylone s'engraisse pendant qu'on crève en bas
- La rage car ce monde ne nous correspond pas | Où Babylone s'engraisse pendant qu'on crève en bas (1)
La rage car l'Occident n'a toujours pas ôté sa tenue de colons
- La rage car l'Occident n'a toujours pas ôté sa tenue de colons (1)
L'occident
- L'occident (1)
Rien n'est impossible à qui sait oser
- Rien n'est impossible à qui sait oser (1)
[...] mon intention était de faire justice de la haine du merveilleux qui sévit chez certains hommes, de ce ridicule sous lequel ils veulent le faire tomber. Tranchons-en : le merveilleux est toujours beau, n'importe quel merveilleux est beau, il n'y a même que le merveilleux qui soit beau.
- [...] mon intention était de faire justice de la haine du merveilleux qui sévit chez certains hommes, de ce ridicule sous lequel ils veulent le faire tomber. Tranchons-en : le merveilleux est toujours beau, n'importe quel merveilleux est beau, il n'y a même que le merveilleux qui soit beau. (1)
Cette imagination qui n'admettait pas de bornes, on ne lui permet plus de s'exercer que selon les lois d'une utilité arbitraire.
- Cette imagination qui n'admettait pas de bornes, on ne lui permet plus de s'exercer que selon les lois d'une utilité arbitraire. (1)
La seule imagination me rend compte de ce qui peut être
- La seule imagination me rend compte de ce qui peut être (1)
Il me paraît que tout acte porte en lui-même sa justification, du moins pour qui a été capable de le commettre, qu'il est doué d'un pouvoir rayonnant que la moindre glose est de nature à affaiblir
- Il me paraît que tout acte porte en lui-même sa justification, du moins pour qui a été capable de le commettre, qu'il est doué d'un pouvoir rayonnant que la moindre glose est de nature à affaiblir (1)
Here we are now, entertain us
- Here we are now, entertain us (1)
It's fun to lose and to pretend
- It's fun to lose and to pretend (1)
If you believe in the power of magic | I can change your mind
- If you believe in the power of magic | I can change your mind (1)