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- Des techniques de construction interactive et de visualisation d'espaces de signification (1)
- La puissance symbolique accumulée par l'homme (1)
- La pensée ne se limite pas aux discours dits rationnels. Il y a des pensées-corps, des pensées-affect, des pensées-percept, des pensées-signes, des pensées-concept, des pensées-geste, des pensées-machine, des pensées-monde (1)
- Le possible (1)
- Penser, est-ce l'affaire exclusive des cerveaux ? (1)
- Des moments de plaisir (1)
- Notre incapacité à accéder à l'archive est principalement causée par l'artificialité de ces systèmes d'indexation. Quelque soit leur type, les données stockées sont classées par ordre alphabétique ou numérique et l'information est obtenue (quand elle est trouvée) en parcourant leurs sous-classes. Une donnée ne peut être qu'en un seul lieu, sauf s'il en est fait un duplicata'; on doit mettre en place des règles pour normer son emplacement, et ces règles sont encombrantes. Après avoir trouvé un élément, il faut sortir du système et y revenir en utilisant un chemin différent... L'esprit humain ne fonctionne pas de cette façon. Il opère par association. Avec un élément en tête, il passe immédiatement au suivant, suggéré par association d'idées, en accord avec un réseau d'intrications complexes générés par les cellules du cerveau. Il a bien sûr d'autres caractéristiques'; les chemins de pensées qui ne sont pas fréquemment utilisés sont voués à s'effacer, les informations ne sont jamais complètement permanentes, la mémoire est transitoire. Mais la rapidité, la complexité des chemins parcourus, les détails des images mentales, sont plus incroyablement inspirantes que n'importe quoi d'autre dans la nature... Imaginons un appareil de l'avenir à usage individuel, une sorte de classeur et de bibliothèque personnels et mécaniques. Il lui faut un nom et créons-en un au hasard, «'memex'» fera l'affaire. Un memex, c'est un appareil dans lequel une personne stocke tous ses livres, ses archives et sa correspondance, et qui est automatisé de façon à permettre la consultation à une vitesse énorme et avec une grande souplesse. Il s'agit d'un supplément agrandi et intime de sa mémoire. Cet appareil est constitué d'un bureau, et s'il peut probablement être actionné à distance, c'est avant tout un meuble sur lequel travailler. Au dessus, des écrans translucides inclinés permettent la projection de documents pour la lecture. Il y a un clavier et un ensemble de boutons et de leviers. À part cela, il ressemble à un bureau ordinaire. À une extrémité, on trouve les documents stockés. Leur quantité est prise en charge par l'amélioration du microfilm. Seule une petite partie de l'intérieur du memex est dédiée au stockage, le reste est consacré au mécanisme. Même si l'utilisateur introduit 5000 pages par jour, il lui faudrait des centaines d'années pour remplir la base de données, il peut donc être dispendieux et entrer des éléments librement. La plupart des contenus du memex peuvent être achetés sous forme de microfilms prêts à la lecture. Des livres de toutes sortes, des images, des périodiques, des journaux sont ainsi rassemblés au même endroit. La correspondance professionnelle prend le même chemin. Et il reste de quoi entrer des documents directement. Sur le plateau du memex se trouve une plaque transparente. On peut y placer des notes manuscrites, des photographies, des mémos ' toute sorte de chose. Quand un élément est en place, un levier permet de le photographier pour le stocker sur le plus proche espace vierge du film du memex, par un procédé de photographie à émulsion sèche. Bien entendu, le memex offre la possibilité de consulter l'enregistrement via l'index classique. Si l'utilisateur veut consulter un livre précis, il tape le code associé sur le clavier, et la page de titre de l'ouvrage apparaît rapidement sous ses yeux, projetée sur l'un de ses écrans. Les codes les plus utilisés sont retenus par l'usager afin qu'il n'ait que rarement à consulter l'index de référence. Quand il doit le faire, une simple touche permet de l'afficher. De plus, il dispose de leviers supplémentaires. En inclinant l'un de ces leviers vers la droite, il parcourt le livre devant lui, chaque page étant à son tour affichée à une vitesse permettant leur reconnaissance rapide. S'il dévie encore à droite, il parcourt 10 pages à la fois'; plus loin encore, c'est 100 pages à la fois. En inclinant le levier vers la gauche, il obtient le même contrôle vers l'arrière. Un bouton spécial permet d'atteindre directement la première page de l'index. N'importe quel livre de sa bibliothèque peut ainsi être trouvé et consulté bien plus facilement que s'il fallait le prendre sur une étagère. Comme le memex possède plusieurs écrans, l'utilisateur peut laisser un élément d'un côté tout en affichant un autre. Il peut ajouter des notes et des commentaires, tirant profit des applications possibles de la photographie à émulsion sèche. Nous pourrions même lui permettre de les saisir au stylet, à la manière du télautographe des salles d'attentes des gares, exactement comme s'il avait la page physique devant lui. Tout cela est connu, à l'exception de la projection dans le futur des mécanismes et gadgets actuels. Cependant, le memex propose cependant un progrès immédiat, celui d'une indexation associative ' l'idée d'avoir une disposition dans laquelle tout objet peut être convoqué à volonté pour sélectionner immédiatement et automatiquement un autre. C'est la caractéristique distinctive du memex. Le processus permettant de lier deux éléments est essentiel. Quand l'usager construit un chemin, il le nomme, insère son nom dans l'index de référence et le tape au clavier. Devant lui se trouvent les deux éléments à lier, affichés sur les écrans adjacents. En bas de chacun, il y a un certain nombre de cases vierges de code et un curseur pointant l'une d'elles sur chaque élément. L'utilisateur presse une touche et les éléments sont alors reliés de manière durable. Dans chacun des espaces de code apparaît la référence. Invisible, mais aussi dans l'espace du code, un ensemble de points est destiné à la visualisation par cellule photoélectrique. Sur chacun des éléments, ces points désignent grâce à leur position le numéro de référence de l'élément lié. Par la suite, quand l'un de ces éléments est affiché, l'autre peut être instantanément et à tout moment convoqué en appuyant sur un bouton sous la case correspondante. De plus, lorsque de nombreux articles sont ainsi reliés pour former un itinéraire, ils peuvent être passés en revue, rapidement ou pas, en se servant du levier comme pour parcourir un livre. C'est exactement comme si des éléments physiques d'origines diverses avaient été rassemblés pour former un livre. Cependant le memex est plus que cela, puisque n'importe quel élément peut appartenir à de nombreux itinéraires différents. Disons que le propriétaire du memex est intéressé par l'origine et les propriétés de l'arc et sa flèche. Il étudie précisément pourquoi l'arc court turc semblait supérieur à l'arc long anglais durant les affrontements des Croisades. Il a des dizaines de livres et d'articles potentiellement intéressants dans son memex. Il commence par parcourir une encyclopédie, y repère un article intéressant mais peu précis, et le laisse affiché. Ensuite, dans un récit, il trouve un autre élément pertinent, et lie les deux ensemble. Il continue ainsi, construisant un réseau d'éléments sources. Parfois, il insère un commentaire, qu'il soit relié au réseau principal ou afférent à un élément en particulier. Quand il constate que l'élasticité des matériaux disponibles avait une grande influence sur la qualité des arcs, il crée une nouvelle ramification qui l'amène à explorer des manuels sur l'élasticité et les contraintes physiques. Il insère une page d'analyse manuscrite. Il construit ainsi son propre itinéraire parmi le labyrinthe de documents mis à sa disposition. Ses itinéraires ne s'effacent pas. Des années plus tard, lors d'une discussion, il aborde les méthodes étranges par lesquels un peuple résiste aux innovations, même si elles présentent un intérêt vital. Son exemple s'appuie sur le fait que les européens, vexés, n'ont pas adopté l'arc turc. Il a même un corpus sur le sujet. Une touche lui affiche le livre de références. Entrer quelques caractères affiche le début du chemin. Un levier permet de le parcourir, de s'arrêter aux éléments intéressants, d'explorer les pistes secondaires. Le corpus est intéressant, pertinent pour la discussion. Il lance le mécanisme de reproduction, photographie l'ensemble du réseau de documents, et le donne à son ami pour qu'il puisse le stocker dans son propre memex et y être lié au réseau plus générique. Des formes inédites d'encyclopédies vont apparaître, prêtes à l'emploi grâce aux intersections des chemins d'associations de documents qui les traversent, prêtes à être transférées dans le memex pour y être amplifiées. L'avocat a à sa disposition l'association des opinions et des décisions de toute sa carrière, liée à l'expérience de ses amis et des autorités. Le mandataire en brevets peut accéder aux millions de brevets délivrés, avec des réseaux familiers concernant tous les points d'intérêt de son client. Le médecin, perplexe devant les symptômes d'un patient, explore le réseau établi durant l'étude de cas similaires, avec des références annexes aux notions d'anatomie et d'histologie pertinents. Le chimiste, en prise avec la synthèse d'un composé organique, a toute la littérature de la discipline devant lui au laboratoire, des itinéraires visualisant les similarités avec d'autres composés, et en annexe leur comportement physique et chimique. L'historien met en parallèle le vaste récit chronologique d'un peuple et un itinéraire en pointillés qui ne relie que les points éminents, et peut suivre à tout moment un réseau lui permettant de parcourir toute l'histoire de la civilisation à une époque particulière. Cela donne naissance à une nouvelle profession d'explorateurs et créateurs d'itinéraires, dont les représentants prennent plaisir à établir des itinéraires utiles dans l'énorme masse des enregistrements communs. L'héritage d'un maître n'est plus seulement ce qu'il apporte au savoir humain, c'est aussi l'ensemble des réseaux et itinéraires lui ayant servi à échafauder à sa pensée. (1)
- L'automatisation de processus réflexifs (1)
- En fait, chaque fois que l'on combine et que l'on enregistre des faits selon des processus établis, l'aspect créatif de la réflexion n'est concerné que par la sélection des données et le processus pour les traiter, et la manipulation qui s'en suit a par nature un caractère répétitif, qui est en passe d'être reléguée à la machine. (1)
- Qu'est-ce que l'intelligence artificielle (1)
- Notre dignité d'êtres humains est agressée par les machines (1)
- La frontière entre l'homme et la machine se brouille, nous interagissons de plus en plus avec des prouesses techniques (1)
- "Il existe une dystopie qui n'a aucune chance de se réaliser un jour, c'est celle de l'acquisition de la conscience par la machine. C'est celle de Pygmalion, Frankenstein, Pinnochio, Terminator, Star Wars, Matrix... et enfin Chat GPT.", Raphaël Enthoven (1)
- La place qu'occupent les machines dans nos vies ne suffira jamais à les substituer à l'homme. (1)
- Le je-ne-sais-quoi (1)
- La dignité (1)
- Le Dr. Bush appelle à une nouvelle relation entre la pensée humaine et la somme de nos connaissances (1)
- Raffinons l'architecture du cyberspace (1)
- Le spectacle (1)
- Se réapproprier la création signifiante, reprendre la parole (1)
- Dans l'espace de la reproduction, de la diffusion, de la variation indéfinie, les signes ne convoquent plus les choses qu'ils désignent ni les êtres qui les profèrent. C'est cela le Spectacle : tout le réel est passé du côté du signe. Les faits, les oeuvres, les gens sont des signes. Et ils sont traités, reproduits, diffusés comme tels. Non seulement le signe ne renvoie pas à la chose absente, mais il ne peut même plus mener au début de la série, à l'original, puisque dans l'espace des marchandises, le signe n'est qu'un effet d'enregistrement, de reproduction, de diffusion : Il n'est signe que dans le circuit. L'ansence triomphe du milieu même de l'abondance: Warhol peut sérigraphier, Derrida déconstruire, Baudrillard simuler, et Philippe K. Dick édifier des univers paranoïaques où l'univers se construit à force d'illusion. (1)
- Les mots sont des puissances. Chaque nom rayone une énergie, une qualité. Grâce au souffle qui le porte, le signe n'est jamais séparé d'une présence. Les paroles sont des actes, exercent des pouvoirs, déruisent et créent. (1)
- Un agencement collectif d'énonciation (1)
- Sur la Terre, le signe participe de l'être et l'être du signe. Ici, tout nous parle. Chaque événement se fait message, et toute personne messagère. La moindre perception devient indice, image ou symbole. Bêtes et gens, astres et climats, formes et détails font signe, renvoient à des récits, des discours, des rituels. "Les parfums, les couleurs et les sons se répondent" (Baudelaire). Selon des lignes d'affects, selon le jeu des contiguïtés, des analogies et des correspondances qui organisent le cosmos. (1)
- Reprendre la parole (1)
- Stock(s) de sens (1)
- Ecologie cognitive : programme proposé par Pierre Lévy dans "Les technologies de l'intelligence" : élargir les perspectives des sciences de la cognition : le régime de production et de distribution du savoir ne dépend pas seulement des particularités du système cognitif humain, mais également des modes d'organisation collective et des instruments de communication et de traitement de el'information. L'écologie cognitive devrait se consacrer à l'étude des interactions entre les déterminants biologiques, sociaux et techniques de la connaissance. (1)
- Le savoir sur le savoir (1)
- La théorie de l'information (1)
- La "théorie de l'information" n'est en fait qu'une approche mathématique de la transmission et de la circulation des messages. Elle a donné lieu à des raffinements et à des transpositions parfois très subtils. Cependant, avec les instruments quantitatifs et les concepts qu'elle a élaboré, on n'est jamais parvenu, même de loin, à traiter de la signification, au sens le plus ordinaire de ce terme. (1)
- Dans le célèbre film de Charlie Chaplin Les temps modernes (1935), l'ouvrier Charlot est martyrisé par les machines et les chaînes de montage d'une usine et quasi crucifié sur les aiguilles d'une grande horloge (1)
- La joie d'être ensemble ou d'être là, tout simplement. La joie de nous retrouver dans les yeux aimés d'un amour ou d'un enfant. La joie de se mélanger à l'univers. La joie qui fait de Dieu une évidence. Je crois à la preuve par la joie. (1)
- Simone Weil : « En toute chose, seul ce qui nous vient du dehors, gratuitement, par surprise, comme un don du sort, sans que nous l'ayons cherché, est joie pure » (1)
- People say I'm lazy, dreaming my life away (1)
- I'm just sitting here watching the wheels go 'round and 'round. I really love to watch them roll (1)
- People say I'm crazy, doing what I'm doing (1)
- La seule façon d'accomplir est d'être. (1)
- Le soin apporté à chaque action a une valeur propre (1)
- Comprendre, c'est déjà aimer (1)
- L'efficacité du milieu juste est suprême (1)
- Il te suffit de l'action présente conforme à la nature (1)
- Le temps d'aimer est venu (1)
- La culture considérée comme "bien non essentiel" (1)
- Problème/Solution (1)
- La fleur de la solution (1)
- Dis-moi si le printemps s'abreuve de tes gestes (1)
- Solution/dis-solution (1)
- Epouser le mouvement, se laisser aller dans le courant. (1)
- Y a pas que des gens bons à la tête de l'art (1)
- Il rêve de politique pour être un gangster moderne (1)
- Les plus grands gangster font du marketing (1)
- Aujourd'hui les affranchis roulent en berline à Paris (1)
- La prison (1)
- Le cerveau (1)
- Heureusement que la santé fleurit à Fresne (1)
- Le monstre aux yeux verts, synonyme de la jalousie, taxe l'eau su Sahel juste pour remplir son jacuzi (1)
- C'est la faute au biz (1)
- L'histoire de l'art a comme la couleur du dollar (1)
- L'histoire de l'art (1)
- Dans les bas fonds on rêve des fonds du FMI, mais au fond on sait que les familles sont souvent proches du RMI (1)
- Est-ce les salauds qu'on adule ? (1)
- L'économie c'est toujours plus de loups dans la bergerie (1)
- Indignez-vous ! (1)
- La mondialisation libérale et la loi sans pitié du profit spéculatif détruisent tous les efforts collectifs de protection, ici et dans tous les pays du monde (1)
- La gestion des problèmes par la peur pour obtenir le silence et l'obéissance (1)
- Ce qu'Edgar Morin appelle "le totalitarisme technique et financier" (1)
- Un jeune va réussir par la confiance, en lui-même et dans les adultes qui le guident, pas par la violence ou le dénigrement. Il en va de même des peuples. (1)
- On comprend ce qu'est l'humanisme quand il disparaît (1)
- Le besoin de partage (1)
- Regarder ensemble quelque chose de beau, s'émerveiller, partager une émotion culturelle ou esthétique relient les êtres entre eux (1)
- Le totalitarisme (1)
- La méfiance sur laquelle l'étiquette de "complotiste" est vite plaquée pour n'avoir pas à répondre de ses actes et de ses choix (1)
- Graines de demain (1)
- Etre capable d'aller vers ses ennemis pour faire la paix (1)
- Les idées (1)
- Semer les idées (1)
- Le "complotisme" (1)
- La recherche de compréhension (1)
- théorie de la solution (1)
- Le monde (1)
- Refuser la cruauté du monde (1)
- Un monde beau et poétique (1)
- Des ressources extraordinaires (1)
- La cruauté ne cesse de faire reculer la civilisation (1)
- La politique doit emprunter à l'amour comme barrage à la cruauté (1)
- Nous avons la responsabilité de donner aux nouvelles générations des raisons de vouloir grandir dans ce monde et de le changer en mieux (1)
- Les nouvelles générations (1)
- Chaque pays a son génie en fonction de son histoire et de ses rêves. (1)
- La culture fait partie de toute solution à toute nature de problème (1)
- L'éveil des consciences (1)
- Une contribution à l'éveil des consciences (1)
- Comment l'action politique pourrait reconquérir le coeur des peuples (1)
- Ne pas sous estimer le cerveau (1)
- Le hasard (1)
- Une plénitude qui dispense de chercher sans raison. (1)
- La cupidité, la matérialisme et le culte des apparences, les trois faces de la même fange où nous sommes en train de nous perdre. (1)
- La nécessité du détachement : Détacher notre désir de tous les biens et attendre. L'expérience prouve que cette attente est comblée. On touche alors le bien absolu. (1)
- La destruction de soi : Nous ne possédons rien au monde car le hasard peut tout nous ôter sinon le pouvoir de dire je. C'est cela qu'il faut donner à Dieu, c'est à dire détruire. Il n'y a absolument aucun autre acte libre qui nous soit permis, sinon la destruction du je. (1)
- L'âme (1)
- Le vide (1)
- Toqueville : principe prophétique de la " tyrannie douce " (1)
- F. Mitterrand, dans une forêt du Morvan, " Ce serait quand même merveilleux, si tout s'arrêtait à l'instant et que nous puissions vivre jusqu'à la fin des temps le bonheur que nous vivons maintenant ! " (1)
- La marque constante de la sagesse est de voir le miraculeux dans le banal. (1)
- Les gens heureux n'ont pas besoin de se presser. (1)
- As-tu besoin d'un cinq-étoiles Quand t'en as cinq milliards dans l'ciel (1)
- "Dieu, c'est à dire la nature" : Spinoza réintègre l'espèce humaine dans la nature... Pour Spinoza, Dieu est partout, il est à la fois cosmopolite, oeucuménique et protéiforme. Il est moi, il est toi, il est l'air que nous respirons et le gazon sur lequel nous marchons. (1)
- Le christianisme connaitra peut-être, après sa refondation franciscaine, une renaissance épicurienne. (1)
- Le christianisme (1)
- L'âme, c'est comme Dieu. Elle ne se prouve ni s'argumente, elle s'expérimente. (1)
- L'univers (1)
- Le cynisme et la cupidité, les deux vraies idéologies de la société moderne. (1)
- Je me sens bête, comme le martinet ou l'hirondelle qui, dans le ciel, dessinent en nageant d'immenses arabesques. (1)
- "Tout est vide et vivant" (1)
- Il n'y a que Dieu qui peut avoir créé l'idée de Dieu. (1)
- Les religions meurent de l'esprit de sérieux. La foi sera joyeuse ou ne sera pas. (1)
- Devant un ciel ou un paysage comme ça, il est impossible de ne pas voir Dieu, de ne pas le sentir, de n'avoir pas envie de lui parler. (1)
- De la bêtise (1)
- La joie pleine (1)
- Le règne du relativisme triomphant (1)
- Savoir se fondre dns l'univers (1)
- Le christianisme sera un panthéisme ou ne sera plus. (1)
- Le pharisaïsme de notre époque (1)
- François d'Assise décrète que les bêtes sont nos frères et nos soeurs. (1)
- L'unique bien, c'est la vie (1)
- Va toujours par le chemin le plus court, et le plus court est le chemin tracé par la nature. (1)
- Se méfier des solutions philosophiques (1)
- S'abstenir de réfléchir sous prétexte que d'autres réfléchissent aux solutions n'est pas une solution, n'est pas une issue. C'est la leçon kantienne que nous pouvons trouver dans ce texte magnifique: "Qu'est-ce que les lumières ?" (1)
- Les solutions n'existent pas toutes faites. Il n'y a pas de rayon « solutions » dans les supermarchés. Les solutions ne sont pas des produits de consommation, c'est pourquoi nous pouvons tous y réfléchir. Il faut rappeler qu'il faut même se méfier des philosophiques solutions, et qu'il nous faut méditer la théorie de la solution. (1)
- Nous savons donc à quoi employer notre temps maintenant : créer et inventer des solutions pour le futur. (1)
- If one swept the words away One could touch the universe (1)
- Words are mysteries (1)
- Il ne suffit pas de décider de vivre à la mode bio pour régler les problèmes dits environnementaux. (1)
- Il faut beaucoup de travail solitaire. Les réunions sont souvent des pertes de temps. Il faut méditer cette déception liée à la vie collective et son travail. (1)
- Ecologie de l'attention (1)
- Ne pas sous-estimer les petits et grands hasards (1)
- La distraction (1)
- La société du spectacle (1)
- Il y a un véritable problème de la distraction en société du spectacle qui est aussi une société d'abrutissement. (1)
- We could with a word become one (1)
- Et pour tous ces mots qui blessent. Il y a ceux qui nous caressent. Qui illuminent, qui touchent l'infini. (1)
- Vouloir moins afin d?être plus (1)
- La mère de toutes les questions : Etes-vous heureux ? (1)
- A qui sait attendre, le temps ouvre les portes. (1)
- Savoir attendre (1)
- Le bonheur ne se décrète pas, ne se convoque pas mais se cultive peu à peu dans la durée. (1)
- Le bonheur est un choix (1)
- Le bonheur est né de l'altruisme et le malheur de l'égoïsme (1)
- Il n?y a pas d?autre bonheur que la paix. (1)
- Si nous faisions disparaître les mots, nous pourrions toucher l'univers (1)
- Avec un mot, nous pourrions être un (1)
- Les mots sont des mystères (1)
- Les mots sont nos vies (1)
- C'est réunis que les charbons brûlent ; c'est en se séparant que les charbons s'éteignent. (1)
- Une économie des qualités humaines (1)
- La richesse humaine n'est plus seulement la finalité théorique de l'activité économique, elle en devient la condition expresse. (1)
- Dans le monde digital, la connaissance se voit empêchée par la quantité d'information. (1)
- Dans le même temps que les dangers grandissent, l'impuissance grandit aussi (1)
- Dans notre société , nous sommes toujours dans un vécu décorporéisé. Par exemple, dans un peuple alphabétisé, 60 à 70% de la connaissance est indirecte, c'est à dire que je n'ai pas besoin de faire l'expérience de quelque chose pour le connaître. Dans les sociétés digitalisées, c'est jusqu'à 90%. Avec l'invention de l'écriture et la lecture, les corps se sont adaptés. Mais cela a duré 5000 ans. Or, en 30 ans, le monde entier s'est digitalisé. (1)
- Mon agir dans la scoiété doit prendre en compte la non-accélérabilité : je dois attendre les mécanismes de régulation du système, à tous les niveaux : écologique, social, individuel, biologique, culturel... Il faut laisser le temps au temps (1)
- La complexité : je ne peux pas prévoir la conséquence de mes actes (1)
- La karma (1)
- Principe de la délégation de fonction : ce dont le cerveau ne s'occupe pas, il délèque la fonction, sur une autre espèce, sur son environnement, ou sur une machine (1)
- En même temps que notre société reconnaît les limites de la raison, elle connaît une délégation massive de la fonction de la rationalité vers la machine (1)
- Les innovations sont a-sensées, a-sémantiques (1)
- Symptôme majeur de ce que Foucauld appelait l'époque de l'homme : l'apparition de nouveaux sujets de droits, divers animaux (singes, vaches, dauphins dans certains pays), la mer... (1)
- La rationalité (1)
- L'axe général de la rationalité aujourd'hui se déplace vers des modèles complexes (1)
- La question n'est pas d'être technophobe ou technophile, la question est : que faisons-nous avec la puissance de la machine ? Par exemple, la fonction de prédectabilité d'une machine peut entrer dans un diagnostic, le problème est quand elle remplace le diagnostic. Le problème est la responsabilité ou l'absence de responsabilité des humains (1)
- A notre époque, on a remplacé la recherche de causalité par la recherche de corrélation. On a perdu l'exigence du sens : que signifie telle chose ? Pour la machine, une chose ne signifie rien, le sens est l'apanage du vivant. (1)
- Un ensemble complexe est un ensemble qui de par son fonctionnement n'est pas entièrement représentable, compréhensible. (1)
- La modernité nous engage à nous penser dans une certaine non prédictibilité, méconnaissance, non représentativité. (1)
- Le mot encyclopédie et le mot dictionnaire apparaissent au même moment : milieu du XVIème siècle (1)
- L'encyclopédisme (1)
- Il est très dur de trouver deux langues qui aient eu autant d'emprunts réciproques que l'anglais et le français. (1)
- Beaucoup d'anglicismes du français viennent en fait de mots français qui sont passé en anglais, pour revenir au français. Par exemple, le mot sport vient en fait de desport en français qui désigne au Moyen Age la distraction physique : marche, chasse... Autre exemple : le tennis vient de l'anglais, mais aveant cela il vient du term "Tenez" que l'on disait au jeu de paume quand on lançait la balle. (1)
- Au XVIIème siècle, René Descartes écrit son Discours de la méthode directement en français, ce qui est une provocation (1)
- L'anglais est sans conteste la plus romane des langues germaniques : Pendant les trois siècles où l'Angleterre parle français (après la conquête de Guillaume le Conquérant), l'anglais en tant que langue change complètement de nature : alors que la syntaxe et le vocabulaire courant est germanique, tout le vocabulaire du savoir, de la culture, de l'organisation sociale est latino-français. Par exemple, Walter Scott écrit dans ses livres que tout ce qui était humble, modeste, rural était saxon et tout ce qui était chic, agréable et prétentieux était français (1)
- Le dictionnaire (1)
- M. Raffarin qui défendait la positive attitude plutôt que l'attitude positive. Quand on mélange deux langues, on est ridicule. (1)
- Le progrès sans limite de la technique (1)
- Comment agir dans la complexité ? (1)
- La conscience se développe que la fuite en avant productiviste et technologique représente un véritable danger pour nos civilisations, et pourtant, on n'arrive pas à trouver ne serait-ce que le début d'une parade (1)
- Agir, cela peut être résister à ce vertige d'hyperactivité, puisque tout se passe comme si, entre dépression et passage à l'acte, nous n'avions plus de clefs pour agir, pour comprendre - comprendre au sens de connaissance comme praxis, comme ce qui nous lie au monde, et non au sens d'une augmentation de l'information qui finit par nous noyer dans la conviction triste de notre impuissance (1)
- L'académie espagnole (l'équivalent de l'académie française en Espagne) a fait de la langue écrite espagnole la langue la plus phonétique des langues européennes et donc la plus facile à apprendre. (1)
- Les nouveaux sujets de droit (1)
- Aujourd'hui, ce que l'on peut identifier comme le sujet d'un acte sont des écosystèmes : une région, un quartier... C'est le lieu qui agit. Ou autrement dit, des sujets où l'humain est inclus, la technique est incluse, mais qui ne se limitent plus à un individu humain ou un groupe d'individus. (1)
- La société ouverte (1)
- La théorie et l'expérience (1)
- Des cheveux qui tombent comme le soir (1)
- La musique du silence (1)
- Voici venir les temps où vibrant sur sa tige | Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir (1)
- Ce mal qui nous fait du bien (1)
- There is power, there is power in a band of workingfolks when they stand hand in hand (1)
- If we unite (1)
- My sense of continuity has vanished away (1)
- All is fulll of love (1)
- Emotional landscapes (1)
- Coincidence makes sense Only with you (1)
- Those who died for freedom (1)
- Le réalisme de Gustave Courbet - L'atelier du peintre (1)
- Le francocentrisme (1)


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