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- Une idéologie libérale qui titube comme uncanard sans tête (1)
- Les lobbies qui poussent à la privatisation de services publics ne sont-ils pas les mêmes que ceux qui résistent à la lutte climatique ? (1)
- Le miracle de la gentilesse (1)
- Comment faire entendre les appels à la paix sans subir des reproches selon lesquels appeler à la paix, c'est forcément affaiblir le camp du pays ou du groupe agressé ? (1)
- L'Europe, une utopie trahie (1)
- Trouver dans les autres un accroissement d'être (1)
- "Fratelli tutti", la lettre encyclique du pape François (2020) (1)
- Les lobbies (1)
- Selon la lettre papale, Fratelli tutti, deux menaces pèsent sur le bien-être du monde : les guerres et la mondialisation de l'indifférence (1)
- L'indifférence (1)
- Des pouvoirs immatures (1)
- La guerre est la pire action que le genre humain se fait à lui-même (1)
- La jalousie (1)
- Non au dénigrement (1)
- L'admiration n'est-elle pas l'exact opposé de la jalousie ? J'ai remarqué à de nombreuses reprises que dès que je croisais une personne admirable, mon regard sur le monde s'éclaircissait (1)
- La mauvaise politique cherche à diviser pour régner, c'est à dire faire la société à son omage, une société de jaloux. (1)
- Etre capable d'aller vers ses ennemis pour faire la paix (1)
- Le "complotisme" (1)
- Semer les idées (1)
- Graines de demain (1)
- L'admiration (1)
- La politique doit se guérir de l'ego (1)
- Ne rien attendre en retour (1)
- On ne sauve que ce que l'on donne (1)
- "Désormais l'humain peut entièrement s'autodétruire", Hannah Arendt en 1958, après l'explosion de la bombe atomique de 1957 (1)
- Le relatif (1)
- Le sens du relatif, qui donne de l'humilité (1)
- Faire progresser le genre humain et le bonheur des gens (1)
- Le bien-agir (1)
- L'antidote de l'ego est d'admettre que l'autre n'est pas nous (1)
- Le pouvoir des instruments sur nos affects intriguait déjà Shakespeare : "N'est-il pas étrange que des boyaux de mouton puisse extraire l'âme du corps humain ? (1)
- Pas grand chose ne nous touche aussi fort que d'écouter de la musique (1)
- Puisque les révolutions | Se font maintenant à la maison | Et que lorsque le monde implose | Ce n'est qu'une nouvelle émission (1)
- Il est temps à nouveau | De nous jeter à l'eau (1)
- De monde meilleur on ne parle plus | Tout juste sauver celui-là (1)
- Un monde meilleur (1)
- Qui cherche la vraie vie ? (1)
- Changeons qui nous sommes, changeons d'âge (1)
- Selon l'OMS, « des liens sociaux de qualité sont essentiels à notre santé mentale et physique ainsi qu'à notre bien-être ». Avoir un réseau relationnel satisfaisant « procurerait avant tout un soutien permettant de modérer le stress suscité par certains événements ou situations », et pourrait jouer un rôle de protection contre le risque de dépression. Également, les personnes avec une diversité et une densité de contacts sociaux ont une estime de soi plus élevée, une meilleure qualité de sommeil et d'alimentation, et sont plus nombreuses à avoir une pratique sportive régulière. Notre rapport aux autres agit sur notre santé mentale, mais aussi globale. Or, il y n'y a jamais eu autant de personnes se sentant seules dans le monde. A tous les âges de la vie, les liens que l'on entretient avec les autres nous permettent de nous définir en tant qu'individu, et en tant que groupe. (1)
- Les liens sociaux (1)
- Tout valdinguer (1)
- Return to sea (1)
- Forgetting everyone (1)
- Mais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête (1)
- Vaste comme l'amour (1)
- Jacques Vaché, personnage de dandy nihiliste et suicidaire, qui avait la tranquille conviction de l'inutilité de toute action. (1)
- But I'm so down today (1)
- Les plantes dans la cuisine (1)
- Le "chêne bourru", aux branches couvertes de bourre : "étêté de jeunesse par quelque accident", il a "poussé en épaisseur ; son feuillage, tout desséché par l'hiver, tenait encore dru, et il paraissait monter dans le ciel comme une roche" (1)
- L'"orme Râteau", objet de superstition. "De près, il devient imposant par sa longue tige élancée, sillonnée de la foudre et plantée comme un monument à un vaste carrefour de chemins communaux." (1)
- Les monuments (1)
- Des puits sans fonds (1)
- Le chaos du monde (1)
- L'occident (1)
- La colonisation (1)
- pouvoir changer l'humanité (1)
- La rage car l'Occident n'a toujours pas ôté sa tenue de colons (1)
- La rage car ce monde ne nous correspond pas | Où Babylone s'engraisse pendant qu'on crève en bas (1)
- Les images du monje (1)
- Le printemps dans la peinture (1)
- La rage du peuple (1)
- Vois aux quatre coins du globe, la rage du peuple en ébullition (1)
- La veille d'une révolution (mondiale et spirituelle) (1)
- You think it's the end, but it's just the beginning (1)
- Si au moins on pouvait en vouloir à quelqu'un. Si même on pouvait croire qu'on sert à quelque chose, qu'on va quelque part. Mais qu'est-ce qu'ils nous ont laissé ? Des lendemains qui chantent ? Le grand marché européen ? Onn'a que dalle, on n'a plus qu'à être amoureux comme des cons, et ça c'est pire que tout. (1)
- Le désenchantement (1)
- I have made the big decision: I'm gonna try to nullify my life (1)
- Il faudrait que je meure ou que j'aille à la plage (1)
- Tout est là, tout a lieu, tout est phénomène (1)
- Les phénomènes (1)
- Dans l'abrutissement qui me tient lieu de grâce... (1)
- Breton attacha toujours beaucoup d?importance à la rencontre des êtres, même la rencontre fortuite avec des inconnus, car, à ses yeux, elle justifiait toutes les espérances, éveillait toutes les émotions, permettait le dépassement de soi-même. (1)
- La rencontre (1)
- Le délire (1)
- Les "grandes chasses intérieures" (Aragon) (1)
- Ces expériences les amenaient à considérer la poésie, non plus comme un système à la façon de Mallarmé, mais comme une libération, comme une possibilité d'accorder à l'esprit une liberté qu'ils n'avaient jusqu'alors à leurs yeux, jamais connue et à constater qu'elle les délivrait de l'appareil logique. (1)
- Le délire poétique de Lautréamont (1)
- Au cours de nos recherches, nous avions constaté en effet que l'esprit, dégagé de toutes les pressions critiques et des habitudes scolaires, offrait des images et non des propositions logiques et que, si nous acceptions d'adopter ce que le psychiatre Pierre Janet appelait l'écriture automatique, nous notions des textes où nous décrivions un univers inexploré jusqu'alors. Nous décidâmes donc de nous donner quinze jours pour écrire en collaboration un ouvrage où nous [sic] interdisions de corriger et de raturer nos élucubrations. Nous n'eûmes aucune peine à respecter ce délai et c'est avec une joie croissante que nous prîmes connaissance des textes (1)
- Cracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer, avec la vive satisfaction que c'est tout à fait égal (1)
- De la musique avant toute chose (1)
- L"écriture automatique révèle les constantes les plus fondamentales de l"individu (1)
- Ecriture automatique : dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale (1)
- Liberté : DADA DADA DADA, hurlement des couleurs crispées, entrelacement des contraires et de toutes les contradictions, des grotesques, des inconséquences : LA VIE (Manifeste dada, 1918) (1)
- Nobody Knows the trouble I've seen (1)
- Et je marche dans les rues sans savoir | Sans savoir vraiment, ni comment ni pourquoi, oh-oh-oh | J'en suis arrivé là (1)
- Une histoire qu'a pas de sens (1)
- Sometime I'm up, sometime I'm down (1)
- Le cri de tous les chefs d'oeuvre de l'antiquité et du monde moderne (1)
- Les contraires (1)
- La musique acousmatique (1)
- La chasse et la cueillette, l'ancienne sauvagerie (Rimbaud) (1)
- Respecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste (1)
- La spontanéité (1)
- Dans Walden, Thoreau décrit l'esthétique des paysages entourant sa cabane (chapitre IV : Bruits). Il énumère aussi les sons audibles depuis sa cabane : les cloches de l'église, le meuglement des vaches, le chant du whip-poor-will, le hululement des hiboux, le coassement des grenouilles et le chant des coqs. Par ailleurs, il écrit ses observations sur la géographie de l'étang de Walden et ses voisins : l'étang de Flint (ou Sandy Pond), White Pond, et Goose Pond (1)
- La propriété (1)
- Une nouvelle éthique (1)
- Sucer toute la moelle secrète de la vie (1)
- Ce qu'il me fallait, c'était vivre abondamment, sucer toute la moelle secrète de la vie (1)
- L'autarcie (1)
- Extra-vagance (1)
- Autobiographie (1)
- Walden passe par la redécouverte des mots précis, des étymologies et des échos stylistiques (prosonomasie) entre les mots. « Les dénombrements sans fin des mots de Walden font [ainsi] partie de son entreprise de sauvetage du langage. » Thoreau rêve d'une « parole-écriture végétale qui ne serait lue ou entendue que par les oiseaux ou les anges ». Le secret de cette langue est possédé par les animaux du bois et par l'étang de Walden et « tout le livre parle du recouvrement prestigieux et possible d'une langue adamique, celle d'une profération poétique où les mots seraient adéquats aux choses. Il s'ensuit que l'animal, de par le fait qu'il est plus proche de la nature, détiendrait le secret de ce babil ancien et mimologique parlé à l'aube des temps. » Il existe donc deux langages : l'un maternel et l'autre paternel ; l'homme doit réapprendre à les parler. Proche de ce que sera plus tard la philosophie de Wittgenstein, Thoreau fait de Walden « une éducation à l'âge adulte pour redonner sens aux mots » ; Walden est ainsi « une entreprise de réappropriation du langage, exactement comme le Tractatus-philosophicus, une entreprise de réhabilitation du langage par le silence. » Plusieurs fois dans le roman, Thoreau écoute les cris animaux, ses « voisins inférieurs », et dont la langue est assimilée aux poèmes humains. Il les imite et tente d'en cerner la signification en laissant libre cours aux associations d'idées. Ses onomatopées et calembours sont la clé de cette langue adamique par laquelle Thoreau souhaite s'affranchir de la littérarité. Par ce travail du sonore, Thoreau entend établir « un protocole de lecture qui a pour fonction d'initier les lecteurs au plaisir du bruit ». La rencontre avec l'écho donne le départ du nouveau langage du narrateur, celui de l'harmonie imitative. Ce dernier lui permet de décrire la nature en donnant à chaque élément de celle-ci un son particulier, en accord avec son essence. Il s'agit d'une initiation car le processus d'acquisition linguistique est progressif. La nature s'humanise et « le meuglement lointain de quelques vaches » semble celui de « certains ménestrels », de même « les whippoorwills chantaient leurs vêpres ». Viennent ensuite les oiseaux qui laissent la place aux chats-huants, comparables à des « pleureuses ». Les animaux semblent articuler de plus en plus leurs langages, et, ce faisant, un sens se forme. Ils ne ressemblent plus à des hommes mais à des poètes : les chats-huants ont ainsi un « cri lugubre véritablement ben-jonsonien », en référence au poète Ben Jonson, contemporain de Shakespeare. En somme, Walden est « la manifestation suprême de cette conscience linguistique exigeante » de Thoreau. (1)
- L'harmonie avec la nature (1)
- Abolition de la logique (1)
- Abolition du futur (1)
- Croyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité (1)
- "N'allez pas où le chemin peut mener. Allez où il n'y a pas de chemin ? et laissez une trace.", Ralph Waldo Emerson (1)
- La tentation de l'impossible (1)
- Thoreau tente de montrer « comment la présence humaine et le paysage interagissent ». Thoreau nous montre que le paysage a la capacité de résister à l'action humaine mais aussi que l'homme doit équilibrer le milieu et aider la nature à faire jouer ses forces homéostasiques. En ce sens, Walden propose une « contre-idéologie du paysage ». Le paysagiste américain Ian McHarg (auteur de Design with Nature) s'inspire de cette idée, dont Thoreau est le pionnier. Cette relation, devenue intime, avec la nature permet à Thoreau de redéfinir jusqu'à l'acte d'écriture : il « définit son idéal littéraire par la capacité de l'écrivain à se soumettre à l'influence de la nature, à transposer la sauvagerie encore si largement présente sur le Nouveau Continent. Il emprunte au nationalisme littéraire américain l'idée selon laquelle les vastes étendues désertiques constituaient une ressource précieuse que l'Europe n'avait plus à sa disposition pour se redonner de l'énergie » (1)
- Aller au bout de ses rêves (1)
- Partir seul dans la nature (1)
- [Le haikiste] met la focale au point sur ce qui est là, maintenant, inépuisable dans l'éphémère - non pas une essence, mais une dynamique, une énergie (1)
- Les trois poisons qui nuisent à la racine du bien sont la convoitise, la colère et l'ignorance (1)
- L'informe (1)
- Le frêne (1)
- Tout être et toute ville est un arbre (1)
- Le mot monument vient du latin monumentum (qui veut dire « se remémorer ») (1)
- L'absolu en peinture (1)
- Vouloir moins afin d'être plus (1)
- Faith in the future, out of the now (1)
- Yes is the answer and you know that for sure. Yes is surrender, you got to let it, you got to let it go (1)
- Raising the spirit of peace and love (1)
- De l'utilité du hêtre (1)
- Le hêtre (1)
- La porte (1)
- Le goût du rêve (1)
- L'abandon à l'irrationnel (1)
- Trouve l'allure (1)
- Des noms d'arbres fruitiers (1)
- À Cognin, en Savoie, un platane de 300 ans vient de recevoir le label "arbre remarquable de France" (1)
- Le thuya (1)
- J'ai un chagrin plus fort qu'une armée (1)
- Faith in the future (1)
- Love is the answer and you know that for sure. Love is a flower, you got to let it, you got to let it grow (1)
- L'esprit est majoritairement inconscient, machinal, fait de pièces et de morceaux. L'ignorance mutuelle de ces parties assure la rapidité et l'indépendance de certains traitements (1)
- La majeure partie du fonctionnement de notre esprit échappe à notre contrôle volontaire. (1)
- La linéarité et le sentiment d'unité ne valent qu'à une échelle moyenne d'introspection. Au niveau neuronal, le fonctionnement parallèle, la multiplicité des entités en interaction, et donc l'inconscience, sont au contraire des traits déterminant. Ni la conscience, ni l'unité substantielle, ni le fonctionnement séquentiel ne sont indispensables à la pensée (1)
- Un grand nombre de modules du système cognitif sont "encapsulés", automatiques et très rapides. Cela signifie, entre autre, qu'ils échappent à la conscience (1)
- Nous articulons aux appareils spécialisés de notre système nerveux des dispositifs de représentation et de traitement de l'information qui leur sont extérieurs. Nous construisons des automatismes (comme celui de la lecture) qui soudent très étroitement les modules biologiques et les technologies intellectuelles... Dès sa naissance, le petit humain pensant se constitue au moyen de langues, de machines, de systèmes de représentations qui vont structurer son expérience. (1)
- Les dispositifs matériels sont des formes de mémoires. Intelligence, concepts et même visions du monde ne sont pas seulement gelés dans les langues, ils sont aussi cristallisés dans les instruments de travail, les machines, les méthodes (1)
- La raison ne serait pas un attribut essentiel et immuable de l'âme humaine, mais un effet écologique, reposant sur l'usage de technologies intellectuelles variables dans l'espace et historiquement datées. (1)
- Les créations de nouveaux modes de représentation et de manipulation de l'information marque des étapes importantes dans l'aventure intellectuelle de l'humanité. (1)
- La conscience fonctionne précisément en s'érigeant comme centre causal et source de représentation. En proclamant "Je sais, je pense, je veux etc.", elle s'approprie et s'attribue ce qui, en toute rigueur, n'appartient qu'à un agencement infiniment complexe dépassant les limites de l'individu (1)
- L'ordinateur ou bien encore l'arrangement formé par le papier, le crayon et l'alphabet forment des micro-modules relativement cohérents qui viennent s'ajouter comme des noeuds supplémentaires à de nombreux autres noeuds semi-indépendants d'un réseau cognitif à la fois personnel et transpersonnel. (1)
- Pushing the barriers (1)
- Planting seeds (1)
- Peace on earth (1)
- L'état des techniques influe effectivement sur la topologie du méga-réseau cognitif, sur les types d'opérations qui s'y déploient, les vitesses de transformation et de circulation des représentations qui rythment sa métamorphose perpétuelle... Une certaine configuration de technologies intellectuelles à un moment donné ouvre un certain champ de possibles à une culture... La signification et le rôle d'une configuration technique à un moment donné ne peuvent se séparer du projet qui l'anime, ou peut-être des projets concurrents qui se la disputent et la tiraillent en tous sens. (1)
- L'ensemble des messages et des représentations circulant dans une société peut être considéré comme un grand hypertexte mouvant, labyrinthique, aux cent formats, aux mille voies et canaux. (1)
- Comment délimiter nettement la pensée de ce dont elle vit et qui s'étend dans toutes les directions, sans limites précises ? Comment séparer l'intelligence du réseau organique, objectif, social, auquel elle tient ? (1)
- Certes, la personne pense, mais parce qu'un méga-réesau cosmopolite pense en elle, villes et neurones, école publique et neurotransmetteurs, systèmes de signes et réflexes. En cessant de maintenir la conscience individuelle au centre, on découvre un nouveau paysage cognitif, plus complexe, plus riche. (1)
- Traduire d'anciens savoirs dans de nouvelles technologies intellectuelles revient à produire de nouveaux savoirs (1)
- Pour se libérer du francocentrisme (1)
- Le francocentrisme (1)
- La persévérance désigne une ardeur enjouée pour être constructif. Asanga a expliqué cinq aspects ou divisions : 1 - le courage semblable à une armure pour endurer les difficultés, obtenu en nous remémorant la joie avec laquelle nous avons entrepris ce que nous faisons 2 - l'application constante et respectueuse de nous-même à la tâche 3 - ne jamais se décourager ni reculer 4 - ne jamais battre en retraite 5 - ne jamais verser dans l'autosatisfaction (1)
- Une attitude concernée : s'abstenir d'une conduite destructrice, parce que nous nous sentons concerné par les situations d'autrui et par la nôtre, et par les effets de nos actions sur autrui et sur nous-même. Et parce que nous les prenons au sérieux. (1)
- L'équilibre ou la sérénité permet à l'activité mentale de demeurer sans effort, non perturbée, sans agitation ni torpeur, dans un état naturel de spontanéité et d'ouverture. (1)
- Les six émotions et attitudes perturbatrices racines, lorsqu'elles se manifestent, nous font perdre la paix de l'esprit et nous démettent de nos capacités au point de nous faire perdre notre sang-froid. Ce sont : 1 - Le désir ardent 2 - La colère 3 - L'arrogance 4 - L'inconnaissance 5 - Le vacillement indécis 6 - Les cinq visions leurrées (1)
- La naïveté (1)
- L'absence de naïveté est la conscience connaissante discriminatrice qui est consciente des détails individuel concernant les causes et les effets comportementaux ou concernant la réalité, et qui agit comme l'antidote de la naïveté les concernant. (1)
- La dignité morale (1)
- L'imperturbabilité signifie ne pas souhaiter faire de mal en réponse à notre propre souffrance ou en réponse à des situations qui entraînent de la souffrance. (1)
- L'imperturbabilité (1)
- 1 - Le désir ardent a pour objet un objet qu'il veut acquérir. Le désir ardent repose sur sa considération de l'objet comme quelque chose d'attrayant par nature. Son fonctionnement nous apporte de la souffrance. Ce peut être, soit le souhait de ne pas lâcher un des cinq types d'objets sensoriels désirables (vues, sons, odeurs, goûts, sensations physiques), soit le souhait de ne pas lâcher notre propre existence compulsive. (1)
- 2 - La colère est impatiente avec ses objets et veut s?en débarrasser en leur nuisant ou en leur faisant mal avec méchanceté, ou en les attaquant avec pugnacité (1)
- Les vingt émotions perturbatrices auxiliaires proviennent des trois émotions empoisonnées suivantes : le désir ardent, l'hostilité, la naïveté. (1)
- 1 - La haine fait partie de l'hostilité. C'est l'intention cruelle de faire du mal. (1)
- La haine (1)
- 6 - Les visions leurrées voient leurs objets d'une certaine façon. Elles cherchent et considèrent leurs objets comme des choses auxquelles s'accrocher, sans les passer au crible, les analyser ou les examiner. Par exemple, une vision extrême considère le « moi » conventionnel, soit comme ayant cette identité en permanence, soit comme n'ayant pas de continuité dans les vies futures ( alternative entre éternalisme et nihilisme) (1)
- 5 - Le vacillement indécis tend vers une décision incorrecte quant à ce qui est vrai. Son fonctionnement est le fondement du non-engagement dans ce qui est constructif. (1)
- 3 - L'arrogance est un esprit imbu de lui-même qui repose sur une vision leurrée qui se focalise sur un aspect ou sur un réseau d'aspects au sein de nos cinq agrégats et l'identifie comme étant « moi » (1)
- L'arrogance (1)
- 4 - L'inconnaissance due au fait de ne pas connaître les causes et les effets comportementaux et la nature même de la réalité (absence d'identité des phénomènes) (1)
- La dignité morale est est le sentiment qui consiste à se retenir d'avoir une conduite négative parce que '?on se sent concerné par la façon dont nos actions se reflètent sur nous (1)
- Les onze émotions constructives : 1- Croire qu'un fait est vrai 2 - La dignité morale 3 - Se sentir concerné par la façon dont nos actions se reflètent sur autrui 4 - Le détachement 5 - L'imperturbabilité 6 - L'absence de naïveté 7 - La persévérance 8 - Une sensation de flexibilité 9 - Une attitude concernée 10 - L'équilibre 11 - Ne pas être cruel (1)
- Asanga a énuméré : - cinq facteurs mentaux toujours en fonctionnement - cinq facteurs mentaux d'établissement [de vérification] - onze émotions constructives - six émotions et attitudes perturbatrices racines - vingt émotions perturbatrices auxiliaires - quatre facteurs mentaux modifiables (1)
- Les cinq facteurs mentaux toujours en fonctionnement accompagnent chaque instant de cognition. Ce sont : 1 - le ressenti d'un niveau de bonheur 2 - le discernement 3 - la pulsion mentale 4 - la conscience connaissante de contact 5 - Le fait de prêter attention [à quelque chose] ou d'amener [quelque chose] à l'esprit (1)
- 1 - Le ressenti d'un niveau de bonheur est la façon dont nous expérimentons les arrivées à maturation de notre karma. Celles-ci comprennent : - les facteurs agrégés avec lesquels nous naissons - l'environnement dans lequel nous vivons - les évènements qui nous arrivent conformément à ce que nous avons fait dans le passé - nos penchants à répéter nos schémas comportementaux antérieurs. Un niveau de bonheur est ce que nous expérimentons sous forme d'arrivée à maturation d'un karma constructif. Un niveau de souffrance est ce que nous expérimentons sous forme d'arrivée à maturation d'un karma destructeur. Le bonheur, la neutralité et la souffrance forment un éventail ininterrompu de ressentis qui peuvent être d'ordre physique ou mental. (1)
- Les listes de facteurs de facteurs mentaux ne sont pas exhaustives et diffèrent selon les écoles, leur nombre dépasse largement cinquante et un. Beaucoup de qualités positives cultivées sur la voie bouddhique ne font pas l'objet d'une liste séparée comme, par exemple : la générosité, la discipline éthique, la patience, l'amour, et la compassion. Les diverses listes ne s'attachent qu'à certaines catégories importantes de facteurs mentaux. (1)
- Les legs karmiques (1)
- You're trying too hard. Surrender (1)
- Unfold (Ouvre-toi) (1)
- À la différence de la conception occidentale de la conscience en tant que faculté générale qui peut être consciente de tous les objets sensoriels et mentaux, le bouddhisme différencie six types de conscience, chacun se rattachant à un champ sensoriel ou à un champ mental spécifique : la conscience [de type] oeil | la conscience [de type] oreille | la conscience [de type] nez | la conscience [de type] langue| la conscience [de type] corps | la conscience [de type] esprit (1)
- 2 - Le discernement appréhende un trait caractéristique de l'objet. Il peut être non conceptuel : clair/obscur... ou conceptuel (en assignant un nom à son objet, par exemple : « jaune » discerne la catégorie « jaune » de tout ce qui n'est pas cette catégorie) (1)
- 3 - Une pulsion mentale est la cause qui fait que l'activité mentale rencontre un objet ou va dans sa direction. En général, elle pousse le continuum mental à appréhender cognitivement un objet. Un continuum mental est une infinie séquence individuelle d'instants d'activité mentale. Le karma mental est l'équivalent d'une pulsion mentale. Selon les écoles, les karmas physiques et verbaux sont aussi des pulsions mentales. (1)
- 3 - L'attention de rappel empêche l'activité mentale d'oublier ou de perdre un objet constructif avec lequel elle est familière. (1)
- 4 - La fixation fait que l'activité mentale demeure engagée en un seul point, avec continuité, focalisée sur un objet constructif étiqueté (certaines traditions enseignent la focalisation sur un objet visuel, telle une statue de bouddha, en tant que méthode pour atteindre shamatha (un état d'esprit calme et stable)) (1)
- 5 - La conscience connaissante discriminatrice se focalise sur un objet pour l'analyser et différencie ses points forts de ses faiblesses ou ses qualités de ses défauts. (1)
- 2 - La ferme conviction : sa fonction est de faire en sorte que notre croyance qu?un fait est vrai devienne inébranlable au point que ni les arguments ni les opinions d'autrui ne puissent nous en dissuader. (1)
- 1 - L'intention positive est est le souhait d'obtenir un objet ou d'atteindre un but désiré et constructif, et de faire quelque chose avec. Elle conduit à la persévérance joyeuse qui permet d'obtenir l'objet souhaité ou d'atteindre le but désiré (1)
- 4 - La conscience connaissante de contact discerne que l'objet d'une cognition est agréable, désagréable ou neutre, et sert ainsi de fondement à l'expérience de l'objet avec un ressenti de bonheur, de souffrance, ou de neutralité. (1)
- 5 - Le fait de prêter attention [à quelque chose] ou d'amener [quelque chose] à l'esprit engage l'activité mentale dans l'objet. L'implication cognitive peut consister purement et simplement à prêter un niveau d'attention à l'objet, allant d'une attention infime à une attention immense, ou à se focaliser sur l'objet d'une certaine façon. Par exemple, l'attention peut se focaliser sur un objet d'une manière laborieuse, d'une manière qui le réinitialise, d'une manière ininterrompue, ou d'une manière sans effort. Alternativement, ou en plus, l'attention peut considérer un objet d'une certaine manière. Elle peut considérer son objet d'une manière concordante (considération correcte), c'est-à dire tel qu'il est réellement ; ou d'une manière discordante (considération incorrecte), c'est à dire tel qu'il n'est pas. On distingue quatre façons de de prêter attention de manière discordante aux facteurs agrégés de notre expérience : les considérer comme [des objets] statiques au lieu de non statiques, comme [des objets] heureux au lieu de problématiques (douloureux), comme [des objets] purs au lieu d'impurs, comme [des objets] pourvus d'un soi véritablement existant au lieu d'en être dénués. Les quatre façons de leur prêter attention de manière concordante sont à l'opposé. (1)
- Les cinq facteurs mentaux d'établissement permettent à l'activité mentale d'établir son objet, c'est-à-dire de l'appréhender avec certitude. Ce sont : 1 - L'intention positive 2 - La ferme conviction 3 - L'attention de rappel 4 - La fixation mentale 5 - La conscience connaissante discriminatrice (1)
- Constituer une classe revient à tracer des limites. Or, aucune frontière ne va de soi. Il y a sans doute des grandients et des discontinuités dans le monde, mais le strict découpage d'un ensemble suppose la sélection d'un ou plusieurs critères pour séparer l'extérieur de l'intérieur. Le choix de ces critères est forcément conventionnel, historique, circonstanciel. Où commencent l'Allemagne, la couleur bleue, l'intelligence ? La plupart du temps, répétons le, les concepts et les classes d'équivalence permettant de reconnaître des analogies et de sidentités sont tracés par la culture. Mais des groupes ou même des individus peuvent, non sans difficulté, remettre en question une partie de ces délimitations conceptuelles. (1)
- Passage du concept de vérité à celui de pertinence. (1)
- Pour lui plaire comme en passant (1)
- Est-ce qu'on sait ce qui se passe | C'est peut-être bien ce tantôt | Que l'on jettera le manteau | Dessus ma face (1)
- Il me reste si peu de temps | Pour aller au bout de moi-même (1)
- "C'est peut-être ça qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir.", Louis Ferdinand Céline (1)
- Les nourritures terrestres (1)
- Renaissent ma soif et ma faim (1)


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