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- Le francocentrisme (1)
- Pour se libérer du francocentrisme (1)
- Your time has come to shine (1)
- All your dreams are on their way (1)
- I will comfort you | I'll take your part (1)
- I'm on your side (1)
- Si plus de gens étudiaient plus de langues, ça pourrait conduire à une plus grande tolérance linguistique et à moins d'impérialisme linguistique (1)
- stand up for your right (1)
- You can burn down my churches, but I shall be free (1)
- I won't be a slave anymore (1)
- Eloge de la France (1)
- Le thuya (1)
- Nietzsche, Marx, Freud, les "maîtres du soupçon" (1)
- The Devastation of Racism (1)
- "Our true nationality is mankind" (1)
- L'italien, en tant que langue politique, poétique, littéraire, a été inventé par Dante Alighieri, en sélectionnant les caractéristiques de plusieurs dialectes toscans. Après lui viendront Plutarqque, Boccace (1)
- La langue russe (1)
- J'ai mon rhumatisme qui devient gênant... Je fais d'la chaise longue et j'ai une baby-sitter... Les excès de vitesse, j'les payais jamais, quand j'étais chanteur (1)
- AA (1)
- Celui que tu attends depuis si longtemps est depuis toujours là (1)
- Dans la philosophie indienne, le non-agir est l'attitude qui permet la libération de tout karma grâce au non-attachement à l'action et à ses fruits (1)
- Carry on, carry on as if nothing really matters (1)
- Nothing really matters to me (1)
- Artok (1)
- Artok2 (1)
- L'éternité (1)
- La découverte soudaine que personne, aucune puissance, aucun être humain, n'a le droit d'énoncer envers moi des exigences telles que mon désir de vivre vienne à s'étioler (1)
- Le défi effroyable que l'éternité lance à mon existence (1)
- Lorsque mon désespoir me dit : Perds confiance, car chaque jour n'est qu'une trêve entre deux nuits, la fausse consolation me crie : Espère, car chaque nuit n'est qu'une trêve entre deux jours. (1)
- Je suis bien certain d'une chose : le besoin de consolation que connaît l'être humain est impossible à rassasier (1)
- La consolation (1)
- No escape from reality (1)
- Choose the day and choose the sign of your day (1)
- 17 - L'insouciance (« j'm'en foutisme », irresponsabilité). Fondé sur le désir ardent, l'hostilité, la naïveté ou la paresse, le « j'm'en foutisme » est l'état d'esprit de ne pas s'engager dans quoi que ce soit de constructif et de ne pas réfréner nos activités teintées de confusion. C'est le fait de ne pas prendre au sérieux les effets de notre conduite et, donc, de n'y accorder aucune importance. (1)
- 18 - L'oubli s'appuie sur le souvenir de quelque chose envers lequel nous éprouvons une émotion ou une attitude perturbatrice, nous faisant ainsi perdre notre objet de focalisation de sorte que notre esprit vagabonde vers l'objet de perturbation. Cet oubli d'un objet de focalisation sert de support au vagabondage mental (1)
- 16 - La paresse fait partie de la naïveté. Avec la paresse, l'esprit ne va pas vers quelque chose de constructif et ne s'y engage pas, parce qu'il s'accroche aux plaisirs de dormir, de s'allonger, [de somnoler], de se détendre, etc. Il y a trois types de paresse : - La léthargie et la procrastination est le fait de ne pas avoir envie de faire quelque chose de constructif maintenant et de le remettre à plus tard à cause d'une apathie face aux souffrances à la récurrence incontrôlable du samsara, de s'accrocher aux plaisirs de l'oisiveté ou de se réfugier dans le sommeil comme moyen de fuite - S'accrocher aux choses ou aux activités négatives ou futiles comme, par exemple, les jeux de hasard, la boisson, les amis qui ont une mauvaise influence sur nous, la fête, etc. - Le découragement et les sentiments de ne pas être à la hauteur (1)
- 15 - La non-croyance en un fait (1)
- 14 - L'agitation mentale fait partie du désir ardent. C'est le facteur mental auxiliaire qui fait que notre attention quitte son objet et se souvient d'un objet attrayant à sa place, ou pense à quelque chose d'attrayant que nous avons expérimenté auparavant. Elle a pour effet de nous faire perdre la paix de l'esprit. (1)
- L'agitation mentale (1)
- 19 - L'inattention est une conscience connaissante discriminatrice leurrée qui est associée avec le désir ardent, l'hostilité ou la naïveté et qui nous pousse vers une activité physique, verbale ou mentale sans savoir ce qu'il convient ou ne convient pas de faire. Par conséquent, nous ne prenons pas les mesures nécessaires pour corriger ou empêcher notre conduite incorrecte. (1)
- 20 - Le vagabondage mental fait partie du désir ardent, de l'hostilité ou de la naïveté. C'est le facteur mental auxiliaire qui, du fait de n'importe laquelle des émotions empoisonnées, détourne notre esprit de son objet de focalisation (1)
- I'm an aerostar (1)
- I'm the ocean (1)
- Homeless heroes (1)
- Touch faith (1)
- Nos cousins d'Amérique. Les Cajuns sont les descendants des colons français en Amérique (Louisiane) (1)
- Le désir de vivre (1)
- De même, personne n'a le droit d'exiger de moi que ma vie consiste à être prisonnier de certaines fonctions. Pour moi, ce n'est pas le devoir avant tout mais : la vie avant tout. Tout comme les autres hommes, je dois avoir droit à des moments où je puisse faire un pas de côté et sentir que je ne suis pas seulement une partie de cette masse que l'on appelle la population du globe, mais aussi une unité autonome. (1)
- Les richesses de l'inattendu (1)
- Le cinéma anglais (1)
- Le vieillissement (1)
- A la fin de l'histoire, tout finit toujours par s'arranger. (1)
- Le mariage arrangé en Inde (1)
- Voyage en Inde (1)
- Les roboticiens font des robots à forme humaine. Même quand ils fabriquent un robot aspirateur, ils lui donneront peut-être pas une forme humaine mais celle d'un animal domestique. Quelque chose sur quoi mobiliser nos neurones-miroir à l'origine de comportements d'empathie. Il y a là comme une persistance de l'animisme (1)
- Les neurobiologistes connaissent les limites de la plasticité cérébrale. A cette notion, je préfère celle de perfectibilité chère à Rousseau, plus réaliste et raisonnable. (1)
- La langue de la Gaule était le gaulois, langue qui a disparue en quatre ou cinq générations, ne laissant pratiquement que des noms propres (noms de villes...) (1)
- Aux XVIIème et XVIIIème siècles, la langue russe a incorporé un nombre assez importants de mots en provenance du français (1)
- Le français est sans doute la langue romane la plus influencée par les langues germaniques. (1)
- Les transhumanistes veulent aujourd?hui en finir avec la conscience ; ils considèrent qu?elle a été un avantage sélectif à une période donnée de l?histoire de l?espèce, mais qu?elle est devenue un frein. Ainsi l?humanité serait menacée de disparition si l?intelligence n?est pas remplacée par l?instinct. (1)
- La perfectibilité (1)
- Our traveling is over (1)
- Wake up now (1)
- L'homme a donné à sa vie des formes qui, au moins en apparence, sont plus fortes que lui [...] Selon moi, une sorte de liberté est perdue pour toujours ou pour longtemps. C'est la liberté qui vient de la capacité de posséder son propre élément. Le poisson possède le sien, de même que l'oiseau et que l'animal terrestre. Thoreau avait encore la forêt de Walden, mais où est maintenant la forêt où L'être humain puisse prouver qu'il est possible de vivre en liberté en dehors des formes figées de la société ? Je suis obligé de répondre : nulle part (1)
- There's a feeling I get when I look to the West | And my spirit is crying for leaving (1)
- Ce qui est parfait n'accomplit pas de performance : ce qui est parfait oeuvre en état de repos. Il est absurde de prétendre que la mer soit faite pour porter des armadas et des dauphins. Certes, elle le fait, mais en conservant sa liberté. Il est également absurde de prétendre que l'homme soit fait pour autre chose que pour vivre. Certes, il approvisionne des machines et il écrit des livres, mais il pourrait tout aussi bien faire autre chose. L'important est qu'il fasse ce qu'il fait en toute liberté et en pleine conscience de ce que, comme tout autre détail de la création, il est une fin en soi. Il repose en lui-même comme une pierre sur le sable. (1)
- Mais tout ce qui m'arrive d'important et tout ce qui donne à ma vie son merveilleux contenu [...] tout cela se déroule totalement en dehors du temps. Car peu importe que je rencontre la beauté l'espace d'une seconde ou l'espace de cent ans. Non seulement la félicité se situe en marge du temps mais elle nie toute relation entre celui-ci et la vie. (1)
- La vie avant tout (1)
- Le temps n'est pas l'étalon qui convient à la vie (1)
- À se changer en roi | À hurler à la lune | À traquer la fortune | Tout ça pour trainer son poids (1)
- Hé camarade | Si les jeux sont faits | Au son des mascarades | On pourra toujours se marrer (1)
- Take my hand (1)
- I wanna show you something that you've never seen (1)
- All your stupid ideals, got your head in the cloud, you should see how it feels, with your feet on the ground (1)
- Feel the slowing of time (1)
- J'arrime ta vague à l'âme pour y penser (1)
- You'll be given love, you'll be taken care of (1)
- It's all around you (1)
- Un grand nombre de modules du système cognitif sont "encapsulés", automatiques et très rapides. Cela signifie, entre autre, qu'ils échappent à la conscience (1)
- L'esprit est majoritairement inconscient, machinal, fait de pièces et de morceaux. L'ignorance mutuelle de ces parties assure la rapidité et l'indépendance de certains traitements (1)
- Nous articulons aux appareils spécialisés de notre système nerveux des dispositifs de représentation et de traitement de l'information qui leur sont extérieurs. Nous construisons des automatismes (comme celui de la lecture) qui soudent très étroitement les modules biologiques et les technologies intellectuelles... Dès sa naissance, le petit humain pensant se constitue au moyen de langues, de machines, de systèmes de représentations qui vont structurer son expérience. (1)
- Les créations de nouveaux modes de représentation et de manipulation de l'information marque des étapes importantes dans l'aventure intellectuelle de l'humanité. (1)
- Les dispositifs matériels sont des formes de mémoires. Intelligence, concepts et même visions du monde ne sont pas seulement gelés dans les langues, ils sont aussi cristallisés dans les instruments de travail, les machines, les méthodes (1)
- La raison ne serait pas un attribut essentiel et immuable de l'âme humaine, mais un effet écologique, reposant sur l'usage de technologies intellectuelles variables dans l'espace et historiquement datées. (1)
- La majeure partie du fonctionnement de notre esprit échappe à notre contrôle volontaire. (1)
- La linéarité et le sentiment d'unité ne valent qu'à une échelle moyenne d'introspection. Au niveau neuronal, le fonctionnement parallèle, la multiplicité des entités en interaction, et donc l'inconscience, sont au contraire des traits déterminant. Ni la conscience, ni l'unité substantielle, ni le fonctionnement séquentiel ne sont indispensables à la pensée (1)
- Traduire d'anciens savoirs dans de nouvelles technologies intellectuelles revient à produire de nouveaux savoirs (1)
- L'ensemble des messages et des représentations circulant dans une société peut être considéré comme un grand hypertexte mouvant, labyrinthique, aux cent formats, aux mille voies et canaux. (1)
- Certes, la personne pense, mais parce qu'un méga-réesau cosmopolite pense en elle, villes et neurones, école publique et neurotransmetteurs, systèmes de signes et réflexes. En cessant de maintenir la conscience individuelle au centre, on découvre un nouveau paysage cognitif, plus complexe, plus riche. (1)
- Comment délimiter nettement la pensée de ce dont elle vit et qui s'étend dans toutes les directions, sans limites précises ? Comment séparer l'intelligence du réseau organique, objectif, social, auquel elle tient ? (1)
- La conscience fonctionne précisément en s'érigeant comme centre causal et source de représentation. En proclamant "Je sais, je pense, je veux etc.", elle s'approprie et s'attribue ce qui, en toute rigueur, n'appartient qu'à un agencement infiniment complexe dépassant les limites de l'individu (1)
- L'ordinateur ou bien encore l'arrangement formé par le papier, le crayon et l'alphabet forment des micro-modules relativement cohérents qui viennent s'ajouter comme des noeuds supplémentaires à de nombreux autres noeuds semi-indépendants d'un réseau cognitif à la fois personnel et transpersonnel. (1)
- Constituer une classe revient à tracer des limites. Or, aucune frontière ne va de soi. Il y a sans doute des grandients et des discontinuités dans le monde, mais le strict découpage d'un ensemble suppose la sélection d'un ou plusieurs critères pour séparer l'extérieur de l'intérieur. Le choix de ces critères est forcément conventionnel, historique, circonstanciel. Où commencent l'Allemagne, la couleur bleue, l'intelligence ? La plupart du temps, répétons le, les concepts et les classes d'équivalence permettant de reconnaître des analogies et de sidentités sont tracés par la culture. Mais des groupes ou même des individus peuvent, non sans difficulté, remettre en question une partie de ces délimitations conceptuelles. (1)
- Passage du concept de vérité à celui de pertinence. (1)
- Les signes (1)
- Les modes de connaissance inédits qui émergent de l'utilisation des nouvelles technologies intellectuelles à support informatique (1)
- Une fois décolorées et aplaties les singulières et mouvantes entités du concret, lorsque la lave épaisse du devenir a été projetée sur les quelques états possibles d'un système simple et maniable, alors, notre conscience myope, débile, au lieu de se perdre dansles choses, peut enfin dominer, mais ce ne sera que sur ces ombres minuscules que sont les signes... La réduction de devenirs insaisissables à l'état de petits signes permanents et maniables, qui pourront donc être l'objet d'opérations inédites (1)
- Les collecticiels [...] aident chaque interlocuteur à se repérer dans la structure logique de la discussion en cours en lui fournissant une représentation graphique du réseau d'arguments. Il permet également la liaison effective de chaque argument avec les documents auxquels il se réfère, qui le fondent peut-être et forment en tout cas le contexte de la discussion. Ce contexte, contrairement à une discussion orale, est ici totalement explicite et organisé... Les hypertextes d'aide à l'intelligence coopérative assurent la mise en scène du réseau des questions, des positions et des arguments... Le débat se ramène à la construction progressive d'un réseau argumentaire et documentaire toujours présent aux yeux de la communauté, maniable à tout instant... Une sorte de lente écriture collective désynchronisée, dédramatisée, éclatée, comme croissant d'elle-même suivant une multitude de lignes parallèles et pourtant toujours disponible, ordonnée, objectivée sur l'écran... Une fois les discussions analysées en dizaines de questions et de positions, on peut descendre encore plus bas dans la microstructure de la conversation. Le logiciel Euclia permet de représenter chaque argument comme un réseau de propositions étayées par des entités (preuve, analogies, hypothèses de départ) qui sont elles-mêmes des arguments, jusqu'à que l'on arrive aux hypothèses ou aux faits ultimes. Euclid propose à ses utilisateurs un certain nombre de schémas d'arguments pré-construits (comme l'argument par analogie, ou a fortiori, ou celui qui consiste à invalider les prémisses de l'adversaire). Il propose aussi des outils de visualisation de la structure logique du discours. (1)
- Il n'est d'usage sans torsion sémantique inventive, qu'elle soit minuscule ou capitale... Tout usage créatif, en découvrant de nouvelles possibilités, atteint le plan de la conception... Conception et usage sont en fait les dimensions complémentaires d'une même opération élémentaire de connexion, avec ses effets de réinterprétation, de construction de nouvelles significations. Dans le prolongement l'une de l'autre, la conception et l'usage contribuent alternativement à faire buissonner l'hypetexte sociotechnique. (1)
- L'argumentation assistée par ordinateur, aide au raisonnement, à la conversation... (1)
- L'écriture, en séparant les messages des situations où s'utilisent et se produisent les discours, suscite l'ambition théorique et les prétentions à l'universalité (1)
- L'écriture est une manière d'étendre indéfiniment la mémoire de travail biologique. (1)
- La nouvelle écriture hypertextuelle ou multimédia sera certainement plus proche du montage d'un spectacle que de la rédaction classique, où l'auteur ne se souciait que de la cohérence d'un texte linéaire et statique. (1)
- Inventer de nouvelles structures discursives, découvrir des rhétiriques encore inconnues ..., du texte à géométrie variable... (1)
- Leibnitz, théoricien de la catalographie (1)
- La prose écrite n'est pas un simple moyen d'expression de la philosophie, des sciences, de l'histoire ou du droit. Elle les constitue. Or la prose, détrônée par les formes de représentation que porte l'informatique, pourrait acquérir bientôt la même saveur désuète de beauté gratuite et d'inutilité que la poésie aujourd'hui. Le déclin e la prose annoncerait celui du rapport au savoir qu'elle conditionne, et la connaissance rationnelle basculerait vers une figure anthropologique encore inconnue. (1)
- Les technologies intellectuelles tiennent lieu d'auxiliaires cognitifs des processus contrôlés, ceux qui mettent en jeu l'attention consciente et disposent de si peu de ressources dans le système cognitif humain. (1)
- L'état des techniques influe effectivement sur la topologie du méga-réseau cognitif, sur les types d'opérations qui s'y déploient, les vitesses de transformation et de circulation des représentations qui rythment sa métamorphose perpétuelle... Une certaine configuration de technologies intellectuelles à un moment donné ouvre un certain champ de possibles à une culture... La signification et le rôle d'une configuration technique à un moment donné ne peuvent se séparer du projet qui l'anime, ou peut-être des projets concurrents qui se la disputent et la tiraillent en tous sens. (1)
- Outils de traitement (automatique) de l'information (1)
- Renouvellement du lien social par le rapport à la connaissance (1)
- La culture, un patrimoine commun (1)
- Favoriser la construction de collectifs intelligents où les potentialités sociales et cognitives de chacun pourront se développer et s'amplifier mutuellement (1)
- Rendre l'information "navigable" (1)
- La capacité d'apprentissage et d'imagination collective (1)
- Des instruments pour filtrer l'information pertinente, opérer des rapprochements de significations... (1)
- Découpage et définition des objets (1)
- La réinterprétation de la mémoire (1)
- Le travail dinclusion de tous par tous (1)
- L'attention à la bonté des autres (1)
- L'hospitalité maintient la possibilité de voyager, de rencontrer l'autre, en général. Par l'hospitalité, celui qui est différent, étrange, est accueilli, compris dans une communauté. (1)
- Ingénierie du lien social : l'art de faire vivre des colectifs intelligents (1)
- Web herméneutique (1)
- Interactions coopératives dans le cyberespace international (1)
- La production de subjectivité (1)
- Des paysages de sens (1)
- L'invention de nouveaux procédés de pensée... qui puissent faire émerger de véritables "intelligences collectives" (1)
- Techniques intellectuelles (1)
- Agencements (1)
- Mettre en contact des éléments d'information (1)
- Une immense encyclopédie vivante (1)
- Nous ne savons pas ce que nous devons créer (1)
- Le monde infini de la signification (1)
- Tout repose à long terme sur la souplesse et la vitalité de nos réseaux de production, de transaction et d'échange de savoirs (1)
- Puisqu'elle conditionne toutes les autres, la production continue de subjectivité sera probablement considérée, au siècle prochain, comme l'activité économique principale (1)
- Une énonciation collective (1)
- Mutualiser nos connaissances (1)
- Le problème de l'intelligence collective est de découvrir ou d'inventer un au-delà de l'écriture, un au-delà du langage tel que le traitement de l'information soit partout distribué et partout coordonné (1)
- La construction de nouveaux agencements de sens (1)
- On tombe amoureux d'une moto, d'une voiture ou d'une maison, on se passionne pour un ordinateur, un logiciel ou un langage de programmation... L'informatique n'intervient pas seulement sur l'écologie cognitive mais encore sur les processus de subjectivation individuels et collectifs... Il y a toute une dimension esthétique ou artistique de la conception des machines ou des logiciels, celle qui suscite l'engagement émotionnel, stimule le désir dexplorer de nouveaux territoires existentiels et cognitifs, branche l'ordinateur sur des mouvements culturels, sur des révoltes, des rêves. Les grands acteurs de l'histoire de l'informatique, comme Alan Turing, Douglas Engelbart ou Steve Jobs, ont perçu l'ordinateur autrement que comme un automate fonctionnel. Ils ont joué et vécu sur sa dimension subjective, merveilleuse et prophéétique (1)
- I'm able to carry on (1)
- J'aime pas qu'on m'impose une façon de voir... J'aime pas qu'on me dise où est le bon chemin (1)
- A change is gonna come (1)
- L'ère du soupçon (1)
- C'est l'alcool qui me donne les plus beaux rêves (1)
- L'alcool (1)
- J'aime pas (1)
- Chacun de vous est concerné (1)
- Ce n'est qu'un début (1)
- Paris sans essence (1)
- Grève illimitée (1)
- La grève (1)
- Même si vous vous en foutez, chacun de vous est concerné (1)
- Car tu es beaucoup trop tendre, pour être vraiment civilisé (1)
- La mémoire (1)
- You're trying too hard. Surrender (1)
- Unfold (Ouvre-toi) (1)
- Pagan poetry (1)
- Oh, and when you're one | Really one | Well, you get things done | Like they've never been done | So, hold on (1)
- It's gonna be alright (1)
- When you're by yourself | And there's no one else | You just have yourself | And you tell yourself | Just to hold on (1)
- De la musique de fou (1)
- It's something that you can't leave behind (1)
- Everywhere I go I seem to find Shadows of our love (1)
- Que devient mon souvenir quand tu n'y penses pas ? (1)
- If only you saw it the same way (1)
- Can I ever live those dreams again (1)
- So take me to a place where we can shine (1)
- Des armes, des chouettes, des brillantes, Des qu'il faut caresser souvent pour le plaisir Et qu'il faut nettoyer comme pour le plaisir L'autre, celui qui fait rêver les communiantes Des armes bleues comme la terre, Des qu'il faut se garder au chaud au fond de l'âme, Dans les yeux, dans le coeur, dans les bras d'une femme, Qu'on garde au fond de soi comme on garde un mystère Des armes au secret des jours, Sous l'herbe, dans le ciel, et puis dans l'écriture, Des qui vous font rêver très tard dans les lectures, Et qui mettent la poésie dans les discours. Des armes, des armes, des armes, Et des poètes de service à la gâchette Pour mettre le feu aux dernières cigarettes Au bout d'un vers français brillant comme une larme. (1)
- La solidarité (1)
- Le verbe to browse ("butiner", mais aussi "jeter un coup d'oeil") est employé en américain pour désigner la démarche curieuse de qui navigue dans un hypertexte. (1)
- Les "menus" montrent à tout instant à l'usager les opérations qu'il peut accomplir. (1)
- [Avec l'imprimerie], le livre devint maniable, quotidien, mobile, et disponible pour l'appropriation personnelle. (1)
- L'imprimerie (1)
- Techniquement, un hypertexte est un ensemble de noeuds connectés par des liens. Les noeuds peuvent être des mots, des pages, des images, des graphiques ou parties de graphiques, des séquences sonores, des documents complexes qui peuvent être des hypertextes eux-mêmes. Les items d'information ne sont pas reliés linéairement, comme sur une corde à noeuds, mais chacun d'eux, ou la plupart, étendent leurs liens en étoile sur un mode réticulaire. Naviguer dans un hypertexte, c'est donc dessiner un parcours dans un réseau qui peut être aussi compliqué que possible. Car chaque noeud peut contenir à son tour tout un réseau. (1)
- L'imprimerie, au moment où elle fut inventée, ouvrit un tout autre rapport au texte et à l'écriture que celui qui avait cours avec le manuscrit : possibilité de survol du contenu, d'accès non linéaire et sélectif au texte, de segmentation du savoir en modules... (1)
- La quasi-immédiateté du passage d'un noeud à l'autre permet de généraliser et d'utiliser dans toute son étendue le principe de non-linéarité. Cela devient la norme, un nouveau système de l'écriture, une métamorphose de la lecture, baptisée navigation (1)
- On se perd beaucoup plus facilement dans un hypertexte que dans une encyclopédie... C'est comme si l'on explorait une grande carte sans jamais pouvoir la déplier, toujours par bouts minuscules, il faudrait alors que chaque petite parcelle de surface porte ses coordonnées ainsi qu'une carte miniature avec une zone en grisé indiquant l'emplacement de la parcelle ("Vous êtes ici"). Il s'invente aujourd'hui toute une interface de la navigation, faite d'une multitude de micro-dispositifs d'interface déformés, réemployés, détournés (1)
- Des graphes dynamiques pour représenter des structures comceptuelles (1)
- Chaque grande innovation en informatique a ouvert la possibilité de nouveaux rapports entre hommes et ordinateurs. (1)
- L'hypertexte informatisé autorise tous les pliages imaginables : dix mille signes ou seulement cinquante repliés derrière un mot ou une icône, des emboitements compliqués et variables, adaptables par le lecteur. (1)
- [L'hypertexte] se replie et se déplie à volonté, change de forme, se multiplie, se découpe et se recolle autrement. Ce n'est pas seulement un réseau d emicro-textes, mais un grand méta-texte à géométrie variable, à tiroirs, à replis. Un paragraphe peut apparaître ou disparaître sous un mot, trois chapitres sous un mot du paragraphe, un petit essai sous un des mots de ce chapitres, et ainsi virtuellement sans fin, de double fond et double fond. (1)
- On connaît depuis longtemps le rôle fondamental de l'implication personnelle de l'étudiant dans l'apprentissage. Plus activement une personne participe à l'acquisition d'un savoir, mieux elle intègre et retient ce qu'elle a appris. Or, le multimédia interactif, grâce à sa dimension réticulaire ou non-linéaire, favorise une attitude exploratoire voire ludique, face au matériau à assimiler. C'est donc un instrument bien adapté à une pédagogie active (1)
- Quoique des milliers d'hypertextes aient été élaborés et consultés depuis les premières visions de Vannevar Bush et Theodore Nelson, aucun d'eux n'a pour l'instant l'ampleur quasi cosmique imaginée par ces pionniers, et cela pour trois raisons. Tout d'abord, sur un plan strictement informatique, on ne sait pas encore programmer des bases de données au delà d'un certain ordre de grandeur. Les algorithmes efficaces en deça d'un certain seuil pour gérer une grande quantité d'informations se révèlent impuissants à traiter les gigantesques masses de données impliquées par des projetc comme ceux de Xanadu ou de Memex. Deuxièmement, l'indexation, la numérisation et le formatage uniforme de l'information aujourd'hui dispersée sur une foule de supports différents supposent la mise en oeuvre de moyens matériels perfectionnés, la réunion de nombreuses compétences et surtout beaucoup de temps ; c'est dire qu'elle serait extrêmement coûteuse. Enfin, et ce n'est pas la moindre des difficultés, la constitution d'hypertextes géants suppose un travail minutieux d'organisation, de découpage, de mise en scène, d'accompagnement et d'orientation de l'utilisateur, et cela en fonction de publics très divers. Or qui, en 1990, possède les compétences nécessaires au plan de la conception d'hypertextes à vocation universelle puisque, dans le domaine du multimédia interactif tout, ou presque, reste à inventer ? (1)
- Théodore Nelson et Xanadu (1)
- A l'époque contemporaine, la technique est une des dimensions fondamentales où se joue la transformation du monde humain par lui-même (1)
- Bien que nous vivions en démocratie, les processus sociotechniques font rarement l'objet de délibération collectives explicites, encore moins de décisions prises par l'ensemble des citoyens (1)
- La pauvreté (1)
- L'Islam (1)
- Liberté égalité fraternité (1)
- La dérision (1)
- Les inventeurs, ingénieurs, scientifiques, entrepreneurs et investisseurs qui contribuent à édifier le technocosme où nous vivons désormais sont animés de véritables projets politiques concurrents, ils se réfèrent à des imaginaires antagonistes de la technique et des rapports sociaux. (1)
- Les trois temps de l'esprit : oralité, écriture, informatique (1)
- Vannevar Bush et le Memex : L'idée de l'hypertexte a été annoncé pour la première fois par Vannevar Bush en 1945 dans un article désormais célèbre dont le titre était "As we may think". Bush était un mathématicien, un physicien réputé qui avait conçu, dans les années trente, une calculatrice analogique ultra-rapide, et qui avait joué un rôle important dans le financement de l'Eniac, la première calculatrice électronique numérique. A l'époque où l'article paraît, notre auteur se trouve à la tête de l'organisme chargé de coordonner l'effort de guerre des scientifiques américains pour le compte du Président Roosevelt. Pourquoi "As we may think" ? Selon Bush, la plupart des systèmes d'indexation et d'organisation des informations en usage dans la communauté scientifique sont artificiels. Chaque item n'y est classé que sous une seule rubrique et le rangement est purement hiérarchique (classes, sous-classes etc). Or, dit Vannevar Bush, l'esprit humain ne marche pas ainsi, il fonctionne par associations. Il saute d'une représentation à l'autre le long d'un réseau enchevêtré, trace des pistes bifurquantes, trame une toile infiniment plus compliquée que les banques de données d'aujourd'hui ou les systèmes d'information à fiches perforées de 1945. Bush reconnaît qu'on ne peut sans doute pas répliquer le processus réticulaire qui sous-tend l'exercice de l'intelligence. Il propose seulement de s'en inspirer. Il imagine donc un dispositif, dénommé Memex, pour mécaniser le rangement et la sélection par association à côté du principe de l'indexation classique. Il faut d'abord constituer un immense réservoir documentaire multimédia, comprenant aussi bien des images, des sons et des textes. Certains dispositifs périphériques faciliteraient l'intégration rapide de nouvelles informations, d'autres permettraient de transformer automatiquement la parole en texte écrit. La deuxième condition à remplir serait la miniaturisation de cette masse documentaire, et pour cela, Bush prévoit notamment l'utilisation du mircofilm et de la bande magnétique, que l'on venait de découvrir à l'époque. Tout devrait tenir dans un ou deux mètres cubes, l'équivalent du volume d'un meuble de bureau. On accéderait aux informations par l'intermédiaire d'un écran de télévision muni de haut-parleurs. En plus des accès classiques par indexation, une commande simple permettrait à l'heureux propriétaire d'un Memex de nouer des liens indépendants de toute classification hiérarchique entre une information quelconque et n'importe quelle autre. Une fois le lien établi, chaque fois qu'un item particulier serait visualisé, tous ceux qui lui ont été rattachés pourraient être instantanément rappelés, par simple pression d'un bouton. Bush nous peint l'utilisateur de son dispositif imaginaire traçant des pistes transversales et personnelles dans l'immense continent broussailleux du savoir. Ces liens que l'on n'appelle pas encore hypertextes, matérialisent dans la mémoire auxiliaire du scientifique qu'est le Memex une part capitale du processus même de la recherche et de l'élaboration de connaissances nouvelles. Bush imagine même une nouvelle profession, une sorte d'ingénierie des ponts et chaussées au pays des publications, dont la mission serait d'aménager des réseaux de communication au sein du corpus immense et toujours croissant des sons, des images et des textes enregistrés. (1)
- Théodore Nelson et Xanadu : Au début des années soixante, les premiers systèmes militaires de téléinformatique venaient à peine d'être installés, les ordinateurs n'évoquaient pas encore les banques de données, encore moins le traitement de texte. C'est pourtant à cette époque que Théodore Nelson invente le terme d'hypertexte pour exprimer l'idée d'écriture/lecture non linéaire sur un système informatique. Depuis cette époque, Nelson poursuit le rêve d'un immense réseau accessible en temps réel contenant tous les trésors littéraires et scientifiques du monde, une sorte de Bibliothèque d'Alexandrie de l'univers contemporain. Des millions de personnes pourraient utiliser Xanadu pour écrire, s'interconnecter, interagir, commenter les textes, films et enregistrements sonores disponibles sur le réseau, annoter les commentaires etc. Ce qqu'on pourrait appeler le stade suprême de la messagerie prendrait en charge une bonne part des fonctions remplies aujourd'hui par l'édition et le journalisme classique, Xanadu entant qu'horizon idéal ou absolu de l'hypertexte, serait une sorte de matérialisation du dialogue incessant et multiple que l'humanité entretient avec elle-même et avec son passé. (1)
- La mauvaise politique cherche à diviser pour régner, c'est à dire faire la société à son omage, une société de jaloux. (1)
- Principe de multiplicité et d'emboîtement des échelles : L'hypertexte s'organise sur un mode "fractal", c'est à dire que n'importe quel noeud ou n'importe quel lien, à l'analyse, peut lui-même se révéler composé de tout un réseau et ainsi de suite, indéfiniment, le long des degrés de l'échelle de précision (1)
- Le sens d'un mot n'est autre que l'écheveau scintillant de concepts et d'images qui luisent un instant autour de lui. (1)
- L'immense réseau associatif qui constitue notre univers mental est en métamorphose permanente (1)
- Langue anglaise (0)


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