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- Nothing really matters to me (1)
- L'italien, en tant que langue politique, poétique, littéraire, a été inventé par Dante Alighieri, en sélectionnant les caractéristiques de plusieurs dialectes toscans. Après lui viendront Plutarqque, Boccace (1)
- Carry on, carry on as if nothing really matters (1)
- La langue de la Gaule était le gaulois, langue qui a disparue en quatre ou cinq générations, ne laissant pratiquement que des noms propres (noms de villes...) (1)
- Le français est sans doute la langue romane la plus influencée par les langues germaniques. (1)
- Celui que tu attends depuis si longtemps est depuis toujours là (1)
- Les neurobiologistes connaissent les limites de la plasticité cérébrale. A cette notion, je préfère celle de perfectibilité chère à Rousseau, plus réaliste et raisonnable. (1)
- La perfectibilité (1)
- Dans la philosophie indienne, le non-agir est l'attitude qui permet la libération de tout karma grâce au non-attachement à l'action et à ses fruits (1)
- Les transhumanistes veulent aujourd?hui en finir avec la conscience ; ils considèrent qu?elle a été un avantage sélectif à une période donnée de l?histoire de l?espèce, mais qu?elle est devenue un frein. Ainsi l?humanité serait menacée de disparition si l?intelligence n?est pas remplacée par l?instinct. (1)
- No escape from reality (1)
- Au XVIIème siècle, René Descartes écrit son Discours de la méthode directement en français, ce qui est une provocation (1)
- M. Raffarin qui défendait la positive attitude plutôt que l'attitude positive. Quand on mélange deux langues, on est ridicule. (1)
- L'encyclopédisme (1)
- L'académie espagnole (l'équivalent de l'académie française en Espagne) a fait de la langue écrite espagnole la langue la plus phonétique des langues européennes et donc la plus facile à apprendre. (1)
- Agir, cela peut être résister à ce vertige d'hyperactivité, puisque tout se passe comme si, entre dépression et passage à l'acte, nous n'avions plus de clefs pour agir, pour comprendre - comprendre au sens de connaissance comme praxis, comme ce qui nous lie au monde, et non au sens d'une augmentation de l'information qui finit par nous noyer dans la conviction triste de notre impuissance (1)
- I'm the ocean (1)
- Jardin de curé (1)
- Choose the day and choose the sign of your day (1)
- L'anglais est sans conteste la plus romane des langues germaniques : Pendant les trois siècles où l'Angleterre parle français (après la conquête de Guillaume le Conquérant), l'anglais en tant que langue change complètement de nature : alors que la syntaxe et le vocabulaire courant est germanique, tout le vocabulaire du savoir, de la culture, de l'organisation sociale est latino-français. Par exemple, Walter Scott écrit dans ses livres que tout ce qui était humble, modeste, rural était saxon et tout ce qui était chic, agréable et prétentieux était français (1)
- Beaucoup d'anglicismes du français viennent en fait de mots français qui sont passé en anglais, pour revenir au français. Par exemple, le mot sport vient en fait de desport en français qui désigne au Moyen Age la distraction physique : marche, chasse... Autre exemple : le tennis vient de l'anglais, mais aveant cela il vient du term "Tenez" que l'on disait au jeu de paume quand on lançait la balle. (1)
- Il est très dur de trouver deux langues qui aient eu autant d'emprunts réciproques que l'anglais et le français. (1)
- Le mot encyclopédie et le mot dictionnaire apparaissent au même moment : milieu du XVIème siècle (1)
- Les roboticiens font des robots à forme humaine. Même quand ils fabriquent un robot aspirateur, ils lui donneront peut-être pas une forme humaine mais celle d'un animal domestique. Quelque chose sur quoi mobiliser nos neurones-miroir à l'origine de comportements d'empathie. Il y a là comme une persistance de l'animisme (1)
- J'ai mon rhumatisme qui devient gênant... Je fais d'la chaise longue et j'ai une baby-sitter... Les excès de vitesse, j'les payais jamais, quand j'étais chanteur (1)
- Le ciné, la télé, et même le LSD, n'arrivent plus, Jivaro, à me faire décoller (1)
- La vie avant tout (1)
- De même, personne n'a le droit d'exiger de moi que ma vie consiste à être prisonnier de certaines fonctions. Pour moi, ce n'est pas le devoir avant tout mais : la vie avant tout. Tout comme les autres hommes, je dois avoir droit à des moments où je puisse faire un pas de côté et sentir que je ne suis pas seulement une partie de cette masse que l'on appelle la population du globe, mais aussi une unité autonome. (1)
- La découverte soudaine que personne, aucune puissance, aucun être humain, n'a le droit d'énoncer envers moi des exigences telles que mon désir de vivre vienne à s'étioler (1)
- Hé camarade | Si les jeux sont faits | Au son des mascarades | On pourra toujours se marrer (1)
- À se changer en roi | À hurler à la lune | À traquer la fortune | Tout ça pour trainer son poids (1)
- L'homme a donné à sa vie des formes qui, au moins en apparence, sont plus fortes que lui [...] Selon moi, une sorte de liberté est perdue pour toujours ou pour longtemps. C'est la liberté qui vient de la capacité de posséder son propre élément. Le poisson possède le sien, de même que l'oiseau et que l'animal terrestre. Thoreau avait encore la forêt de Walden, mais où est maintenant la forêt où L'être humain puisse prouver qu'il est possible de vivre en liberté en dehors des formes figées de la société ? Je suis obligé de répondre : nulle part (1)
- Le temps n'est pas l'étalon qui convient à la vie (1)
- Mais tout ce qui m'arrive d'important et tout ce qui donne à ma vie son merveilleux contenu [...] tout cela se déroule totalement en dehors du temps. Car peu importe que je rencontre la beauté l'espace d'une seconde ou l'espace de cent ans. Non seulement la félicité se situe en marge du temps mais elle nie toute relation entre celui-ci et la vie. (1)
- Terme horticole (1)
- Ce qui est parfait n'accomplit pas de performance : ce qui est parfait oeuvre en état de repos. Il est absurde de prétendre que la mer soit faite pour porter des armadas et des dauphins. Certes, elle le fait, mais en conservant sa liberté. Il est également absurde de prétendre que l'homme soit fait pour autre chose que pour vivre. Certes, il approvisionne des machines et il écrit des livres, mais il pourrait tout aussi bien faire autre chose. L'important est qu'il fasse ce qu'il fait en toute liberté et en pleine conscience de ce que, comme tout autre détail de la création, il est une fin en soi. Il repose en lui-même comme une pierre sur le sable. (1)
- J'arrime ta vague à l'âme pour y penser (1)
- Feel the slowing of time (1)
- Je suis bien certain d'une chose : le besoin de consolation que connaît l'être humain est impossible à rassasier (1)
- Our traveling is over (1)
- Artok2 (1)
- Artok (1)
- AA (1)
- Lorsque mon désespoir me dit : Perds confiance, car chaque jour n'est qu'une trêve entre deux nuits, la fausse consolation me crie : Espère, car chaque nuit n'est qu'une trêve entre deux jours. (1)
- Wake up now (1)
- Le défi effroyable que l'éternité lance à mon existence (1)
- All your stupid ideals, got your head in the cloud, you should see how it feels, with your feet on the ground (1)
- Take my hand (1)
- I wanna show you something that you've never seen (1)
- I'm an aerostar (1)
- La conscience se développe que la fuite en avant productiviste et technologique représente un véritable danger pour nos civilisations, et pourtant, on n'arrive pas à trouver ne serait-ce que le début d'une parade (1)
- On peut sentir la joie, le bonheur, le plaisir, en faisant une inspiration (1)
- J'inspire et je suis conscient de mon corps (1)
- J'inspire et je suis mon inspiration dans tout son parcours (1)
- J'inspire et je suis conscient que c'est une inspiration que je fais. (1)
- Your time has come to shine (1)
- Calmer le corps (1)
- I'm on your side (1)
- Les nouveaux sujets de droit (1)
- Aujourd'hui, ce que l'on peut identifier comme le sujet d'un acte sont des écosystèmes : une région, un quartier... C'est le lieu qui agit. Ou autrement dit, des sujets où l'humain est inclus, la technique est incluse, mais qui ne se limitent plus à un individu humain ou un groupe d'individus. (1)
- Si plus de gens étudiaient plus de langues, ça pourrait conduire à une plus grande tolérance linguistique et à moins d'impérialisme linguistique (1)
- stand up for your right (1)
- All your dreams are on their way (1)
- Méditer, c'est cultiver l'énergie de la pleine conscience, l'énergie de la concentration et l'énergie de la vision profonde, afin de parvenir à la joie, à la paix et au bonheur (1)
- La méditation peut rétablir la paix dans notre corps et dans notre esprit (1)
- La méditation permet de cultiver la stabilité (1)
- The Devastation of Racism (1)
- On doit offrir la tendresse à l'autre personne (1)
- La méditation peut nous aider à restaurer la beauté, la fraîcheur (1)
- "Our true nationality is mankind" (1)
- I won't be a slave anymore (1)
- You can burn down my churches, but I shall be free (1)
- On s'installe dans l'instant présent. Chaque souffle que l'on fait, chaque pas que l'on fait, peut nous aider à revenir à l'instant présent (1)
- Quand on respire dans la pleine conscience, on peut ramener l'esprit vers le corps (1)
- La pleine conscience est une énergie qui nous permet d'être là, dans le moment présent (1)
- Symptôme majeur de ce que Foucauld appelait l'époque de l'homme : l'apparition de nouveaux sujets de droits, divers animaux (singes, vaches, dauphins dans certains pays), la mer... (1)
- Les innovations sont a-sensées, a-sémantiques (1)
- La complexité : je ne peux pas prévoir la conséquence de mes actes (1)
- Un ensemble complexe est un ensemble qui de par son fonctionnement n'est pas entièrement représentable, compréhensible. (1)
- La karma (1)
- J'inspire, je suis une fleur. J'expire, je souris (1)
- Mon agir dans la scoiété doit prendre en compte la non-accélérabilité : je dois attendre les mécanismes de régulation du système, à tous les niveaux : écologique, social, individuel, biologique, culturel... Il faut laisser le temps au temps (1)
- Nos cousins d'Amérique. Les Cajuns sont les descendants des colons français en Amérique (Louisiane) (1)
- La modernité nous engage à nous penser dans une certaine non prédictibilité, méconnaissance, non représentativité. (1)
- Homeless heroes (1)
- Touch faith (1)
- Le progrès sans limite de la technique (1)
- Comment agir dans la complexité ? (1)
- L'attention appropriée/inappropriée : Si l'on porte son attention sur des choses positives, cela va nous procurer une sensation agréable (1)
- Dans notre société , nous sommes toujours dans un vécu décorporéisé. Par exemple, dans un peuple alphabétisé, 60 à 70% de la connaissance est indirecte, c'est à dire que je n'ai pas besoin de faire l'expérience de quelque chose pour le connaître. Dans les sociétés digitalisées, c'est jusqu'à 90%. Avec l'invention de l'écriture et la lecture, les corps se sont adaptés. Mais cela a duré 5000 ans. Or, en 30 ans, le monde entier s'est digitalisé. (1)
- L'axe général de la rationalité aujourd'hui se déplace vers des modèles complexes (1)
- A notre époque, on a remplacé la recherche de causalité par la recherche de corrélation. On a perdu l'exigence du sens : que signifie telle chose ? Pour la machine, une chose ne signifie rien, le sens est l'apanage du vivant. (1)
- Toucher les milliers de conditions de bonheur disponibles que nous avons en nous et en dehors de nous (1)
- Générer la joie en ramenant l'esprit vers le corps et en se mettant en contact avec les conditions de bonheur (1)
- La rationalité (1)
- Avec le Dharma, nous pouvons transformer notre énergie d'habitude (1)
- La question n'est pas d'être technophobe ou technophile, la question est : que faisons-nous avec la puissance de la machine ? Par exemple, la fonction de prédectabilité d'une machine peut entrer dans un diagnostic, le problème est quand elle remplace le diagnostic. Le problème est la responsabilité ou l'absence de responsabilité des humains (1)
- Dans le monde digital, la connaissance se voit empêchée par la quantité d'information. (1)
- Dans le même temps que les dangers grandissent, l'impuissance grandit aussi (1)
- Principe de la délégation de fonction : ce dont le cerveau ne s'occupe pas, il délèque la fonction, sur une autre espèce, sur son environnement, ou sur une machine (1)
- En même temps que notre société reconnaît les limites de la raison, elle connaît une délégation massive de la fonction de la rationalité vers la machine (1)
- Offrir (1)
- Non, cette déprise de la disponibilité est une prise, et même plus adroite parce que fluide, non engoncée, non arrêtée. La notion, en même temps qu'elle est éthique, est stratégique. "Prise" d'autant plus efficace qu'elle ne se localise plus, ne se spécifie plus, ne s'impose plus. Elle est d'autant plus continûment ajustée que , ne visant plus, elle n'est jamais déçue ni dapourvue, elle n'est ni déroutée ni fragmentée. "Prise" d'autant plus ample - ou plutôt ne connaît elle plus de borne ou d'extrémité - du seul fait qu'elle ne se donne plus de piste à suivre, de but à satisfaire, de quête à combler, d'objet à s'emparer. Car cette prise par déprise n'est plus orientée ; elle ne projette plus, elle est sans ombre portée, n'est plus conduite par une intentionalité, tient par conséquent tout à égalité. Son captage est grand ouvert parce qu'il n'attend rien à capter. (1)
- Les dictionnaires "onomasiologiques", qui, contrairement aux dictionnaires classiques qui vont des mots vers le sens, vont du sens vers les mots. (1)
- Lemme : forme canonique (masculin singulier, infinitif?) d'un mot variable. (1)
- Glose : note en marge ou au bas d'un texte, pour expliquer un mot difficile, éclaircir un passage obscur. (1)
- L'analogie, fondamentalement, c'est une égalité de rapports : grand est à petit comme large à étroit ; rose est à fleur ce que prune est à fruit ; sale est à crado ce que propre est à nickel... Cela fait parcourir des types de rapports de sens, indépendants des rapports de forme : jument est à cheval ce que tigresse est à tigre, et ce que girafe est à... girafe ! (1)
- La force cachée des mots (1)
- Les exemples (1)
- L'Encyclopédie ou l'ambiguïté fondatrice du dico, qui, au prétexte des mots, prend position sur le monde (1)
- Selon une métaphore très affective de Raymond Queneau, les mots sont des êtres vivants, les ranger en dictionnaires reviendrait à les tuer ("Alors on les dispose en de grands cimetières | Que les esprits fripons nomment des dictionnaires", Le chien à la mandoline, "La chair chaude des mots") (1)
- Un savoir répertorié (1)
- La "synchronie" de Saussure (1)
- Le philosophe Alain enseignait une "fidélité à l'esprit" et recommandait de ne jamais chercher à réfuter les grands penseurs et les créateurs, mais de chercher à les comprendre au-delà de leur message exprimé : "Socrate ne s'arrête pas à Socrate" (1)
- Bronislaw Malinowski et Edward Sapir (anthropologues) ont illustré la prééminence du langage dans l'étude de l'Etre humain. (1)
- Cadres (1)
- Définir (1)
- Ne jamais négliger l'aller et le retour de la pensée au langage, du langage à la pensée. Dans le dictionnaire des synonymes de Condillac (publié en 1951 dans ses "oeuvres philosophiques"), chaque entrée porte sur l'expression par un mot général et abstrait d'une "idée principale", et c'est de la confrontation des idées secondaires transmise par une série assez large de mots sémantiquement apparentés que vient la possibilité de "définir" (1)
- La formation des équipes de rédaction, la définition des procédures (1)
- Collection - le "musée imaginaire" de chacun (Malraux) (1)
- La folie de l'exhaustivité (1)
- 1935 : première édition du dictionnaire de l'Académie française au XXème siècle - dans sa préface, l'Académie "estime que les exemples sont la vraie richesse et la partie la plus utile du Dictionnaire" (1)
- La linguistique (1)
- Pouvez-vous dire quelle a été la rencontre capitale de votre vie, jusqu'à quel point cette rencontre vous a donné le sentiment du fortuit, du nécessaire ? (1)
- La vertu magique de la rencontre (1)
- Questions sur l'amour : quel sorte d'espoir mettez-vous dans l'amour ? Comment envisagez-vous le passage de l'idée d'amour au fait d'aimer ? Feriez-vous à l'amour le sacrifice de votre liberté, l'avez-vous fait ? Vous donnerie-vous le droit de vous priver quelques temps de la présence de l'être que vous aimez, sachant à quel point la distance est exaltante pour l'amour, mais apercevant la médiocrité d'un tel calcul ? Croyez-vous à la victoire de l'amour admirable sur la vie sordide, ou de la vie sordide sur l'amour admirable ? (1)
- Etre à l'affut du hasard objectif, qui est le lieu géométrique des coïncidence. (1)
- La poursuite de l'imprévu (1)
- André Breton, parlant du contenu de La Révolution Surréaliste : Le monde soi-disant cartésien qui nous entoure est un monde insoutenable, mystificateur, sans drôlerie, contre lequel toutes les formes d'insurrection sont justifiées. Toute la psychologie de l'entendement est remise en question. Il y a un refus catégorique d'admettre tout ce qui a pu être élaboré à partir d'une vue purement corticale de l'esprit. Ferdinand Alquié, dans un texte intitulé humanisme surréaliste et existentialiste, recueilli en 1948 dans Les cahiers du collège philosophique, pose on ne peut mieux le problème : Déclarer, dit-il, que la raison est l'essence de l'homme, c'est déjà couper l'homme en deux, et la tradition classique n'y a jamais manqué. Elle a distingué en l'homme ce qui est raison et qui par là-même est vraiment humain, et ce qui n'est point raison et qui par là-même est indigne de l'homme, instincts et sentiments. Tout l'enseignement de Freud [...] est pour nous représenter le danger mortel que cette coupure, que cette scission entre les forces dites de raison et les passions profondes, bien décidées à s'ignorer mutuellement, font courir à l'homme. La seule ressource est de s'opposer aux prétentions exhorbitantes de cette raison, qui a usurpé la place de la raison véritable, et aussi de soustraire aux processus de refoulement qui les rend d'autant plus nocifs, les impulsions et les désirs. Dans la mesure où l'ancienne raison est ainsi déchue de la toute puissance qu'elle s'est arrogée au cours des siècles, il est compréhensible que les devoirs qu'elle contribue à imposer à l'homme sur le plan moral, perdent presque toute justification. Nous formulons sur cette loi des réserves expresses ; nous saisirons toutes les occasions de la prendre en défaut, jusqu'à ce qu'une autre, véritablement fondée, s'y substitua. Tel est le sens de la déclaration qui figure sur le premier numéro de la Révolution Surréaliste : "Il faut aboutir à une nouvelle déclaration ds droits de l'homme". (1)
- L'expérience et l'aventure intérieures (1)
- Le goût d'errer poussé à ses extrêmes limites (Le paysan de Paris, Nadja) (1)
- Dans l'amour électif réside la plus haute visée humaine et même celle qui transcende toutes les autres (1)
- Dieu est lumière ; en lui, il n?y a pas de ténèbres. (1)
- La Haute-Savoie (1)
- Ces institutions (les académies) sont comme hantées par le devoir de lexique, qui est une mémoire. (1)
- Le lexique (1)
- L'Académie florimontane (1)
- L'Académie française (1)
- Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et il n?y a en lui aucune occasion de chute. (1)
- Cette perversion polymorphe, le dictionnaire (1)
- (A propos de l'Académie française) On ne peut accuser Richelieu d'avoir en vue le durcissement de quelque ciment culturel, puisqu'il choisit le mot "académie" en 1635, mais "les lynx" italiens et la "florimontane" de François de Sales, qui fonctionna trois ans avec succès à Annecy, ne durent pas être étrangers à son choix. (1)
- La nuit (1)
- J'aurais beau parler toutes les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas la charité, s'il me manque l'amour, je ne suis qu'un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante. (1)
- Je cherchais votre coeur comme je cherchais l'ombre (1)
- J'ai pour tout salaire | Ma peine perdue (1)
- Le soin apporté à chaque action a une valeur propre (1)
- Poésie agricole (1)
- Les labours exténués (1)
- Nature et tristesse (1)
- Il aimait cette nature sauvage et virginale des Alpes... - Les Alpes, avec leurs torrents qui mugissent, leurs rivières qui bondissent échevelées du haut des pics gigantesques, leurs cavernes profondes, leurs forêts ombreuses et sonores ; leurs flancs nus et grisâtres, leurs têtes de neige, leurs aiguilles, leurs cimes plissées et découpées comme des franges ; - Les Alpes dont les bases s'allongent, se contournent, s'arrondissent avec une grâce infinie, et se développent en délicieuses collines, en gorges sombres et taciturnes ; les Alpes avec leurs lacs bleus dans d'énormes conques de rochers, courronnées quelquefois d'immenses forêts de pins, harmonieux dans la tempête, et de peupliers dont le feuillage ondoie comme une chevelure quand une soirée d'orage se balance à leurs cimes. Oh, c'était bien beau à voir, à parcourir, à embrasser de toutes les puissances de son âme. (Jean-Pierre Veyrat) (1)
- Les Alpes (1)
- Je le veux aimant, ce qui fut avant qu'il n'y ait le monde (1)
- Je recherche le visage qui fut le mien avant qu'il n'y ait le monde (1)
- Je mens | Pour te convaincre | Que rien ne peut plus vaincre | Un amour infini (1)
- I lie | To convince you | That nothing can overcome | An infinite love (1)
- Le cirque dans les chansons (1)
- Une pensée bien élaborée qui pourrait étonner pour l'Egypte pharaonique, mais non. (1)
- La pensée enfouie (1)
- Return your work to the anvil twenty times; polish it endlessly, and polish it again. (1)
- Les clichés (1)
- Ne pas respecter le droit des personnes handicapées est un délit (1)
- Ma cascade est semblable au torrent des douleurs ; Un bruit sourd et plaintif résonne dans le gouffre, Et l'on dirait au loin le chant d'un dieu qui souffre Coupé de sanglots et de pleurs (Jean-Pierre Veyrat) (1)
- Les idées ont une vie (1)
- Portrait d'une ville (1)
- Si les fleurs ne marchent plus, dites-le avec des flingues (1)
- Le déni de fragilité amoindrit notre fraternité et la considérer élargirait notre humanité (1)
- L'amour non réciproque (1)
- Ce qui demeure aujourd'hui, c'est la foi, l'espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c'est la charité. (1)
- J'aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, j'aurais beau avoir toute la foi jusqu'à transporter les montagnes, s'il me manque l'amour, je ne suis rien. (1)
- L'amour prend patience ; l'amour rend service ; l'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien d'inconvenant ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est injuste, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ; il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout. (1)
- Notre connaissance est partielle [...] Quand viendra l'achèvement, ce qui est partiel sera dépassé. (1)
- J'ai retrouvé ma bonne humeur, j'ai acheté un fusil (1)
- Si la politesse vous rend dingue... (1)
- La Marseillaise (1)
- Hymnes (1)
- Des fusils, des pavés, des grenades (1)
- La Marseillaise, même en reggae ça m'fait gerber (1)
- J'aime pas le travail, la justice et l'armée (1)
- La politesse (1)
- Un coup de poing, un pistolet (1)
- L'appétit de merveilleux, contre l'appauvrissement et la stérilité des modes de pensée, qui était l'aboutissement de plusieurs siècles de rationnalisme (1)
- La contrainte que fait peser l'esprit critique sur le langage et sur les mondes d'expression. Parmi ces contraintes, la logique : le rationalisme le plus étroit qui veille à ne rien laisser passer qui n'eut été estampillé par ses soins, la morale, sous forme de tabous sexuels et sociaux, le goût, régi par les conventions sophistiques du bon ton, peut-être les pires de toutes. Ce prétendu sens critique que l'on nous avait appris à cultiver à l'école, freinant toute spéculation intellectuelle de grande envergure. (1)
- Ce "flou irisé de ressources" qu'évoque Claude Roy à propos du chinois. (1)
- les ressources (1)
- L'étrangeté est toujours partageable (1)
- Les territoires de sens (1)
- La sémantique (1)
- Exprimer l'inexprimable (1)
- Economie (1)
- La pensée discursive (1)
- L'étrangeté (1)
- Nuit sans fin - je pense à ce qui viendra dans dix mille ans (Shiki) (1)
- Dans la brume de printemps le vol blanc d'un insecte au nom inconnu (Yosa Buson) (1)
- Douceur de la brise dans le vert de mille collines un temple isolé (Masaoka Shiki) (1)
- Soir d"hirondelles - demain encore je n'aurai rien à faire (Kobayashi Issa) (1)
- Profond plus profond encore dans les montagnes bleues (Santôka) (1)
- Prépare-toi à la mort prépare-toi bruissent les cerisiers en fleur (Issa) (1)
- Tu es riche ? J'ai tout Je ne me possède plus (1)
- Guérir du moi (1)
- Questions/réponses (1)
- La graphie japonaise - alliant idéogrammes et syllabaire phonétique - favorise l'extrême densité du haiku. Là où l'écriture littéraire de l'Occident semble donner d'emblée un socle cartésien à la description de la réalité, la figure fulgurante de l'idéogramme se prête plus facilement à "l'expression de l'inexprimable", à la transmission d'un espace que ne saurait saisir la seule pensée discursive. En outre, la structure même de la langue favorise l'ambiguïté. Le japonais offre un vocabulaire des plus riches, à la fois flou et extrêmement nuancé. Il décline le monde avec autant de subtilité que le français - mais sur un mode plus énigmatique. Ici, un vocable recouvre souvent un éventail de notions que d'autres mots traversent. Incertaine, la frontière délimitant les territoires de sens dévoile tout un champ d'associations. Ambiguïté permanente qui déploie l'étendue de ses facettes dans le haiku, jusqu'à en faire parfois un véritable "langage crépusculaire", lequel n'est pas sans évoquer le sandhya-bhasa ("langue du paradoxe") chère au bouddhisme médiéval indien : les mots sont alors détournés de leur rôle en vue de dire un au-delà (ou un en-deça) d'eux-mêmes, de cerner une conscience globale antérieure à toute conceptualisation, y compris celle du langage. Au delà du clair de lune je laisse ma barque pour entrer dans le ciel (Koda Rohan) La grammaire particulière du haiku nourrit encore d'autres ambivalences. Ainsi, le "collage" de plusieurs idéogrammes - dont la fonction grammaticale reste "flottante" - ouvre la porte à plusieurs sens, révélant du même coup une palette d'interprétations. Les sens se chevauchent, se complètent, se démultiplient - trivial et spirituel s'entrecroisent. Le flou sémantique accroit l'exactitude poétique. Un seul et même mot, uta, désigne en japonais la poésie et le chant. Et c'est à voix haute, comme un chant, que le haiku se lit. (1)


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