Les merveilles du musée du Louvre
- Les merveilles du musée du Louvre (4) TraiterOut in the endless green
- Out in the endless green (1) TraiterNature
- Nature (1) TraiterIt's fun to lose and to pretend
- It's fun to lose and to pretend (1) TraiterL'échec, la vie est belle
- L'échec, la vie est belle (10) TraiterHere we are now, entertain us
- Here we are now, entertain us (1) TraiterEntertainment
- Entertainment (1) TraiterCette imagination qui n'admettait pas de bornes, on ne lui permet plus de s'exercer que selon les lois d'une utilité arbitraire.
- Cette imagination qui n'admettait pas de bornes, on ne lui permet plus de s'exercer que selon les lois d'une utilité arbitraire. (1) TraiterL'imagination
- L'imagination (3) TraiterL'utilitarisme
- L'utilitarisme (9) TraiterLa seule imagination me rend compte de ce qui peut être
- La seule imagination me rend compte de ce qui peut être (1) TraiterIl me paraît que tout acte porte en lui-même sa justification, du moins pour qui a été capable de le commettre, qu'il est doué d'un pouvoir rayonnant que la moindre glose est de nature à affaiblir
- Il me paraît que tout acte porte en lui-même sa justification, du moins pour qui a été capable de le commettre, qu'il est doué d'un pouvoir rayonnant que la moindre glose est de nature à affaiblir (1) TraiterL'action
- L'action (59) TraiterL'expérience même s'est vu assigner des limites. Elle tourne dans une cage d'où il est de plus en plus difficile de la faire sortir. Elle s'appuie, elle aussi, sur l'utilité immédiate, et elle est gardée par le bon sens. Sous couleur de civilisation, sous prétexte de progrès, on est parvenu à bannir de l'esprit tout ce qui se peut taxer à tort ou à raison de superstition, de chimère, à proscrire tout mode de recherche de la vérité qui n'est pas conforme à l'usage.
- L'expérience même s'est vu assigner des limites. Elle tourne dans une cage d'où il est de plus en plus difficile de la faire sortir. Elle s'appuie, elle aussi, sur l'utilité immédiate, et elle est gardée par le bon sens. Sous couleur de civilisation, sous prétexte de progrès, on est parvenu à bannir de l'esprit tout ce qui se peut taxer à tort ou à raison de superstition, de chimère, à proscrire tout mode de recherche de la vérité qui n'est pas conforme à l'usage. (1) TraiterL'expérience
- L'expérience (5) TraiterLes limites de la raison
- Les limites de la raison (98) TraiterLe rêve ne peut-il être appliqué, lui aussi, à la résolution des questions fondamentales de la vie ?
- Le rêve ne peut-il être appliqué, lui aussi, à la résolution des questions fondamentales de la vie ? (1) TraiterLe rêve
- Le rêve (10) TraiterL'esprit de l'homme qui rêve se satisfait pleinement de ce qui lui arrive. L'angoissante question de la possibilité ne se pose plus. Tue, vole plus vite, aime tant qu'il te plaira. Et si tu meurs, n'es-tu pas certain de te réveiller d'entre les morts ?
- L'esprit de l'homme qui rêve se satisfait pleinement de ce qui lui arrive. L'angoissante question de la possibilité ne se pose plus. Tue, vole plus vite, aime tant qu'il te plaira. Et si tu meurs, n'es-tu pas certain de te réveiller d'entre les morts ? (1) TraiterLaisse-toi conduire, les événements ne souffrent pas que tu les diffères
- Laisse-toi conduire, les événements ne souffrent pas que tu les diffères (1) TraiterNon-faire
- Non-faire (62) TraiterLa facilité de tout est inappréciable.
- La facilité de tout est inappréciable. (1) TraiterLa facilité
- La facilité (2) TraiterQuelle raison, je le demande, raison tellement plus large que l'autre, confère au rêve cette allure naturelle, me fait accueillir sans réserve une foule d'épisodes dont l'étrangeté à l'heure où j'écris me foudroierait ? Et pourtant j'en puis croire mes yeux, mes oreilles ; ce beau jour est venu, cette bête a parlé.
- Quelle raison, je le demande, raison tellement plus large que l'autre, confère au rêve cette allure naturelle, me fait accueillir sans réserve une foule d'épisodes dont l'étrangeté à l'heure où j'écris me foudroierait ? Et pourtant j'en puis croire mes yeux, mes oreilles ; ce beau jour est venu, cette bête a parlé. (1) TraiterDe l'instant où il sera soumis à un examen méthodique, où, par des moyens à déterminer, on parviendra à nous rendre compte du rêve dans son intégrité (et cela suppose une discipline de la mémoire qui porte sur des générations ; commençons tout de même par enregistrer les faits saillants), où sa courbe se développera avec une régularité et une ampleur sans pareilles, on peut espérer que les mystères qui n'en sont pas feront place au grand Mystère. Je crois à la résolution future de ces deux états, en apparence si contradictoires, que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue, de surréalité, si l'on peut ainsi dire. C'est à sa conquête que je vais, certain de n'y pas parvenir mais trop insoucieux de ma mort pour ne pas supputer un peu les joies d'une telle possession.
- De l'instant où il sera soumis à un examen méthodique, où, par des moyens à déterminer, on parviendra à nous rendre compte du rêve dans son intégrité (et cela suppose une discipline de la mémoire qui porte sur des générations ; commençons tout de même par enregistrer les faits saillants), où sa courbe se développera avec une régularité et une ampleur sans pareilles, on peut espérer que les mystères qui n'en sont pas feront place au grand Mystère. Je crois à la résolution future de ces deux états, en apparence si contradictoires, que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue, de surréalité, si l'on peut ainsi dire. C'est à sa conquête que je vais, certain de n'y pas parvenir mais trop insoucieux de ma mort pour ne pas supputer un peu les joies d'une telle possession. (1) TraiterLe surréalisme
- Le surréalisme (60) TraiterOn raconte que chaque jour, au moment de s'endormir, Saint-Pol-Roux faisait naguère placer, sur la porte de son manoir de Camaret, un écriteau sur lequel on pouvait lire : LE POÈTE TRAVAILLE.
- On raconte que chaque jour, au moment de s'endormir, Saint-Pol-Roux faisait naguère placer, sur la porte de son manoir de Camaret, un écriteau sur lequel on pouvait lire : LE POÈTE TRAVAILLE. (1) TraiterLa rêve
- La rêve (1) Traiter[...] mon intention était de faire justice de la haine du merveilleux qui sévit chez certains hommes, de ce ridicule sous lequel ils veulent le faire tomber. Tranchons-en : le merveilleux est toujours beau, n'importe quel merveilleux est beau, il n'y a même que le merveilleux qui soit beau.
- [...] mon intention était de faire justice de la haine du merveilleux qui sévit chez certains hommes, de ce ridicule sous lequel ils veulent le faire tomber. Tranchons-en : le merveilleux est toujours beau, n'importe quel merveilleux est beau, il n'y a même que le merveilleux qui soit beau. (1) TraiterCe qui est merveilleux
- Ce qui est merveilleux (19) TraiterL'émerveillement
- L'émerveillement (2) TraiterRien n'est impossible à qui sait oser
- Rien n'est impossible à qui sait oser (1) TraiterL'impossible
- L'impossible (9) TraiterL'audace
- L'audace (1) TraiterAu rendez-vous des occasions
- Au rendez-vous des occasions (1) TraiterL'occasion
- L'occasion (2) TraiterJe m'étais mis à choyer immodérément les mots pour l'espace qu'ils admettent autour d'eux, pour leurs tangences avec d'autres mots innombrables que je ne prononçais pas
- Je m'étais mis à choyer immodérément les mots pour l'espace qu'ils admettent autour d'eux, pour leurs tangences avec d'autres mots innombrables que je ne prononçais pas (1) TraiterLes mots
- Les mots (69) TraiterC'est sur ces entrefaites que je fus amené à renoncer définitivement à mon point de vue
- C'est sur ces entrefaites que je fus amené à renoncer définitivement à mon point de vue (1) TraiterLa multiplicité des points de vue
- La multiplicité des points de vue (5) TraiterSURRÉALISME, n. m. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. ENCYCL. Philos. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie.
- SURRÉALISME, n. m. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. ENCYCL. Philos. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. (1) TraiterParlez-moi du talent de ce mètre en platine, de ce miroir, de cette porte, et du ciel si vous voulez.
- Parlez-moi du talent de ce mètre en platine, de ce miroir, de cette porte, et du ciel si vous voulez. (1) TraiterLe talent
- Le talent (1) TraiterLa flèche
- La flèche (3) TraiterL'homme (photographies)
- L'homme (photographies) (19) TraiterPhotographies de Claire Libaux
- Photographies de Claire Libaux (42) TraiterQuand Nicole Wackenthaler peint Chambéry
- Quand Nicole Wackenthaler peint Chambéry (12) TraiterEdvard Munch - L'expression autobiographique
- Edvard Munch - L'expression autobiographique (18) TraiterLa philosophie
- La philosophie (7) TraiterPaul Klee - Mathématiques et poésie
- Paul Klee - Mathématiques et poésie (42) TraiterLes arbres
- Les arbres (30) TraiterLa ville
- La ville (3) TraiterLes images du monje
- Les images du monje (1) TraiterAlfred Sisley
- Alfred Sisley (10) TraiterLe printemps
- Le printemps (6) TraiterLe printemps dans la peinture
- Le printemps dans la peinture (1) TraiterLes saisons
- Les saisons (20) TraiterLe futurisme
- Le futurisme (7) TraiterLes hérons
- Les hérons (11) TraiterAnimaux
- Animaux (4) TraiterAlbert Marquet - Paris et l'Ile-de-France
- Albert Marquet - Paris et l'Ile-de-France (28) TraiterLa vie
- La vie (3) TraiterLa rage du peuple
- La rage du peuple (1) TraiterLa rage
- La rage (3) TraiterLa rage car ce monde ne nous correspond pas | Où Babylone s'engraisse pendant qu'on crève en bas
- La rage car ce monde ne nous correspond pas | Où Babylone s'engraisse pendant qu'on crève en bas (1) TraiterLes classes sociales
- Les classes sociales (2) TraiterLa rage car l'Occident n'a toujours pas ôté sa tenue de colons
- La rage car l'Occident n'a toujours pas ôté sa tenue de colons (1) TraiterL'occident
- L'occident (1) TraiterLa colonisation
- La colonisation (1) Traiterpouvoir changer l'humanité
- pouvoir changer l'humanité (1) TraiterLe changement
- Le changement (2) TraiterVois aux quatre coins du globe, la rage du peuple en ébullition
- Vois aux quatre coins du globe, la rage du peuple en ébullition (1) TraiterLa veille d'une révolution (mondiale et spirituelle)
- La veille d'une révolution (mondiale et spirituelle) (1) TraiterLa révolution
- La révolution (1) TraiterTout est là, tout a lieu, tout est phénomène
- Tout est là, tout a lieu, tout est phénomène (1) TraiterLes phénomènes
- Les phénomènes (1) TraiterDans l'abrutissement qui me tient lieu de grâce...
- Dans l'abrutissement qui me tient lieu de grâce... (1) TraiterIl faudrait que je meure ou que j'aille à la plage
- Il faudrait que je meure ou que j'aille à la plage (1) TraiterLa mort
- La mort (6) TraiterI have made the big decision: I'm gonna try to nullify my life
- I have made the big decision: I'm gonna try to nullify my life (1) TraiterYou think it's the end, but it's just the beginning
- You think it's the end, but it's just the beginning (1) TraiterNostalgie
- Nostalgie (5) TraiterParis pittoresque
- Paris pittoresque (18) TraiterLe jardin à la française
- Le jardin à la française (2) TraiterLa paix
- La paix (59) TraiterLe pacifisme
- Le pacifisme (2) TraiterL'imaginaire social français
- L'imaginaire social français (2) TraiterLes mythologies
- Les mythologies (2) TraiterLa France et le monde
- La France et le monde (20) Traiterles dispositif de légitimation de l'ordre social
- les dispositif de légitimation de l'ordre social (1) TraiterL'ordre social
- L'ordre social (1) TraiterUne des mythologies les plus profondément ancrées dans l'imaginaire social de notre pays : l'égalité des chances
- Une des mythologies les plus profondément ancrées dans l'imaginaire social de notre pays : l'égalité des chances (1) TraiterLa question des conditions de travail
- La question des conditions de travail (1) Traiterla reproduction des classes sociales
- la reproduction des classes sociales (1) TraiterTransformer la société
- Transformer la société (1) TraiterL'école comme entreprise de domestication sociale
- L'école comme entreprise de domestication sociale (1) TraiterL'école
- L'école (1) TraiterHumour
- Humour (106) TraiterLe téléphone
- Le téléphone (2) TraiterSi au moins on pouvait en vouloir à quelqu'un. Si même on pouvait croire qu'on sert à quelque chose, qu'on va quelque part. Mais qu'est-ce qu'ils nous ont laissé ? Des lendemains qui chantent ? Le grand marché européen ? Onn'a que dalle, on n'a plus qu'à être amoureux comme des cons, et ça c'est pire que tout.
- Si au moins on pouvait en vouloir à quelqu'un. Si même on pouvait croire qu'on sert à quelque chose, qu'on va quelque part. Mais qu'est-ce qu'ils nous ont laissé ? Des lendemains qui chantent ? Le grand marché européen ? Onn'a que dalle, on n'a plus qu'à être amoureux comme des cons, et ça c'est pire que tout. (1) TraiterLe désenchantement
- Le désenchantement (1) TraiterLe chaos du monde
- Le chaos du monde (1) TraiterDes puits sans fonds
- Des puits sans fonds (1) TraiterL'immensité
- L'immensité (9) TraiterSelon l'OMS, « des liens sociaux de qualité sont essentiels à notre santé mentale et physique ainsi qu'à notre bien-être ». Avoir un réseau relationnel satisfaisant « procurerait avant tout un soutien permettant de modérer le stress suscité par certains événements ou situations », et pourrait jouer un rôle de protection contre le risque de dépression. Également, les personnes avec une diversité et une densité de contacts sociaux ont une estime de soi plus élevée, une meilleure qualité de sommeil et d'alimentation, et sont plus nombreuses à avoir une pratique sportive régulière. Notre rapport aux autres agit sur notre santé mentale, mais aussi globale. Or, il y n'y a jamais eu autant de personnes se sentant seules dans le monde. A tous les âges de la vie, les liens que l'on entretient avec les autres nous permettent de nous définir en tant qu'individu, et en tant que groupe.
- Selon l'OMS, « des liens sociaux de qualité sont essentiels à notre santé mentale et physique ainsi qu'à notre bien-être ». Avoir un réseau relationnel satisfaisant « procurerait avant tout un soutien permettant de modérer le stress suscité par certains événements ou situations », et pourrait jouer un rôle de protection contre le risque de dépression. Également, les personnes avec une diversité et une densité de contacts sociaux ont une estime de soi plus élevée, une meilleure qualité de sommeil et d'alimentation, et sont plus nombreuses à avoir une pratique sportive régulière. Notre rapport aux autres agit sur notre santé mentale, mais aussi globale. Or, il y n'y a jamais eu autant de personnes se sentant seules dans le monde. A tous les âges de la vie, les liens que l'on entretient avec les autres nous permettent de nous définir en tant qu'individu, et en tant que groupe. (1) TraiterLes liens sociaux
- Les liens sociaux (1) TraiterAutrui
- Autrui (11) TraiterTout valdinguer
- Tout valdinguer (1) TraiterChangeons qui nous sommes, changeons d'âge
- Changeons qui nous sommes, changeons d'âge (1) TraiterL'époque
- L'époque (13) TraiterQui cherche la vraie vie ?
- Qui cherche la vraie vie ? (1) TraiterPuisque les révolutions | Se font maintenant à la maison | Et que lorsque le monde implose | Ce n'est qu'une nouvelle émission
- Puisque les révolutions | Se font maintenant à la maison | Et que lorsque le monde implose | Ce n'est qu'une nouvelle émission (1) TraiterIl est temps à nouveau | De nous jeter à l'eau
- Il est temps à nouveau | De nous jeter à l'eau (1) TraiterDe monde meilleur on ne parle plus | Tout juste sauver celui-là
- De monde meilleur on ne parle plus | Tout juste sauver celui-là (1) TraiterSauver le monde
- Sauver le monde (7) TraiterUn monde meilleur
- Un monde meilleur (1) TraiterReturn to sea
- Return to sea (1) TraiterForgetting everyone
- Forgetting everyone (1) TraiterLe temps
- Le temps (28) TraiterLe "chêne bourru", aux branches couvertes de bourre : "étêté de jeunesse par quelque accident", il a "poussé en épaisseur ; son feuillage, tout desséché par l'hiver, tenait encore dru, et il paraissait monter dans le ciel comme une roche"
- Le "chêne bourru", aux branches couvertes de bourre : "étêté de jeunesse par quelque accident", il a "poussé en épaisseur ; son feuillage, tout desséché par l'hiver, tenait encore dru, et il paraissait monter dans le ciel comme une roche" (1) TraiterLe chêne
- Le chêne (3) TraiterL'"orme Râteau", objet de superstition. "De près, il devient imposant par sa longue tige élancée, sillonnée de la foudre et plantée comme un monument à un vaste carrefour de chemins communaux."
- L'"orme Râteau", objet de superstition. "De près, il devient imposant par sa longue tige élancée, sillonnée de la foudre et plantée comme un monument à un vaste carrefour de chemins communaux." (1) TraiterLes monuments
- Les monuments (1) TraiterRester sauvage
- Rester sauvage (30) TraiterLes plantes dans la cuisine
- Les plantes dans la cuisine (1) TraiterBut I'm so down today
- But I'm so down today (1) TraiterMais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête
- Mais moi, pauvre de moi, j'ai ma croix dans la tête (1) TraiterVaste comme l'amour
- Vaste comme l'amour (1) TraiterL'amour
- L'amour (19) TraiterLes cathédrales
- Les cathédrales (9) TraiterJacques Vaché, personnage de dandy nihiliste et suicidaire, qui avait la tranquille conviction de l'inutilité de toute action.
- Jacques Vaché, personnage de dandy nihiliste et suicidaire, qui avait la tranquille conviction de l'inutilité de toute action. (1) TraiterBreton attacha toujours beaucoup d?importance à la rencontre des êtres, même la rencontre fortuite
avec des inconnus, car, à ses yeux, elle justifiait toutes les espérances, éveillait toutes les émotions,
permettait le dépassement de soi-même.
- Breton attacha toujours beaucoup d?importance à la rencontre des êtres, même la rencontre fortuite
avec des inconnus, car, à ses yeux, elle justifiait toutes les espérances, éveillait toutes les émotions,
permettait le dépassement de soi-même. () TraiterLa rencontre
- La rencontre (1) TraiterLa nature
- La nature (22) TraiterDystopie
- Dystopie (2) TraiterL'autarcie
- L'autarcie (1) TraiterLa simplicité
- La simplicité (27) TraiterExtra-vagance
- Extra-vagance (1) TraiterAutobiographie
- Autobiographie (1) TraiterCe qu'il me fallait, c'était vivre abondamment, sucer toute la moelle secrète de la vie
- Ce qu'il me fallait, c'était vivre abondamment, sucer toute la moelle secrète de la vie (1) TraiterLe désir de vivre
- Le désir de vivre (2) TraiterSucer toute la moelle secrète de la vie
- Sucer toute la moelle secrète de la vie (1) TraiterUne autre vie
- Une autre vie (2) TraiterVivre dans la nature
- Vivre dans la nature (2) TraiterDans Walden, Thoreau décrit l'esthétique des paysages entourant sa cabane (chapitre IV : Bruits). Il énumère aussi les sons audibles depuis sa cabane : les cloches de l'église, le meuglement des vaches, le chant du whip-poor-will, le hululement des hiboux, le coassement des grenouilles et le chant des coqs. Par ailleurs, il écrit ses observations sur la géographie de l'étang de Walden et ses voisins : l'étang de Flint (ou Sandy Pond), White Pond, et Goose Pond
- Dans Walden, Thoreau décrit l'esthétique des paysages entourant sa cabane (chapitre IV : Bruits). Il énumère aussi les sons audibles depuis sa cabane : les cloches de l'église, le meuglement des vaches, le chant du whip-poor-will, le hululement des hiboux, le coassement des grenouilles et le chant des coqs. Par ailleurs, il écrit ses observations sur la géographie de l'étang de Walden et ses voisins : l'étang de Flint (ou Sandy Pond), White Pond, et Goose Pond (1) TraiterLe paysage
- Le paysage (27) TraiterLes animaux
- Les animaux (54) TraiterRésonance
- Résonance (40) TraiterLa propriété
- La propriété (1) TraiterUne nouvelle éthique
- Une nouvelle éthique (1) TraiterWalden passe par la redécouverte des mots précis, des étymologies et des échos stylistiques (prosonomasie) entre les mots. « Les dénombrements sans fin des mots de Walden font [ainsi] partie de son entreprise de sauvetage du langage. » Thoreau rêve d'une « parole-écriture végétale qui ne serait lue ou entendue que par les oiseaux ou les anges ». Le secret de cette langue est possédé par les animaux du bois et par l'étang de Walden et « tout le livre parle du recouvrement prestigieux et possible d'une langue adamique, celle d'une profération poétique où les mots seraient adéquats aux choses. Il s'ensuit que l'animal, de par le fait qu'il est plus proche de la nature, détiendrait le secret de ce babil ancien et mimologique parlé à l'aube des temps. » Il existe donc deux langages : l'un maternel et l'autre paternel ; l'homme doit réapprendre à les parler. Proche de ce que sera plus tard la philosophie de Wittgenstein, Thoreau fait de Walden « une éducation à l'âge adulte pour redonner sens aux mots » ; Walden est ainsi « une entreprise de réappropriation du langage, exactement comme le Tractatus-philosophicus, une entreprise de réhabilitation du langage par le silence. »
Plusieurs fois dans le roman, Thoreau écoute les cris animaux, ses « voisins inférieurs », et dont la langue est assimilée aux poèmes humains. Il les imite et tente d'en cerner la signification en laissant libre cours aux associations d'idées. Ses onomatopées et calembours sont la clé de cette langue adamique par laquelle Thoreau souhaite s'affranchir de la littérarité. Par ce travail du sonore, Thoreau entend établir « un protocole de lecture qui a pour fonction d'initier les lecteurs au plaisir du bruit ». La rencontre avec l'écho donne le départ du nouveau langage du narrateur, celui de l'harmonie imitative. Ce dernier lui permet de décrire la nature en donnant à chaque élément de celle-ci un son particulier, en accord avec son essence. Il s'agit d'une initiation car le processus d'acquisition linguistique est progressif. La nature s'humanise et « le meuglement lointain de quelques vaches » semble celui de « certains ménestrels », de même « les whippoorwills chantaient leurs vêpres ». Viennent ensuite les oiseaux qui laissent la place aux chats-huants, comparables à des « pleureuses ». Les animaux semblent articuler de plus en plus leurs langages, et, ce faisant, un sens se forme. Ils ne ressemblent plus à des hommes mais à des poètes : les chats-huants ont ainsi un « cri lugubre véritablement ben-jonsonien », en référence au poète Ben Jonson, contemporain de Shakespeare. En somme, Walden est « la manifestation suprême de cette conscience linguistique exigeante » de Thoreau.
- Walden passe par la redécouverte des mots précis, des étymologies et des échos stylistiques (prosonomasie) entre les mots. « Les dénombrements sans fin des mots de Walden font [ainsi] partie de son entreprise de sauvetage du langage. » Thoreau rêve d'une « parole-écriture végétale qui ne serait lue ou entendue que par les oiseaux ou les anges ». Le secret de cette langue est possédé par les animaux du bois et par l'étang de Walden et « tout le livre parle du recouvrement prestigieux et possible d'une langue adamique, celle d'une profération poétique où les mots seraient adéquats aux choses. Il s'ensuit que l'animal, de par le fait qu'il est plus proche de la nature, détiendrait le secret de ce babil ancien et mimologique parlé à l'aube des temps. » Il existe donc deux langages : l'un maternel et l'autre paternel ; l'homme doit réapprendre à les parler. Proche de ce que sera plus tard la philosophie de Wittgenstein, Thoreau fait de Walden « une éducation à l'âge adulte pour redonner sens aux mots » ; Walden est ainsi « une entreprise de réappropriation du langage, exactement comme le Tractatus-philosophicus, une entreprise de réhabilitation du langage par le silence. »
Plusieurs fois dans le roman, Thoreau écoute les cris animaux, ses « voisins inférieurs », et dont la langue est assimilée aux poèmes humains. Il les imite et tente d'en cerner la signification en laissant libre cours aux associations d'idées. Ses onomatopées et calembours sont la clé de cette langue adamique par laquelle Thoreau souhaite s'affranchir de la littérarité. Par ce travail du sonore, Thoreau entend établir « un protocole de lecture qui a pour fonction d'initier les lecteurs au plaisir du bruit ». La rencontre avec l'écho donne le départ du nouveau langage du narrateur, celui de l'harmonie imitative. Ce dernier lui permet de décrire la nature en donnant à chaque élément de celle-ci un son particulier, en accord avec son essence. Il s'agit d'une initiation car le processus d'acquisition linguistique est progressif. La nature s'humanise et « le meuglement lointain de quelques vaches » semble celui de « certains ménestrels », de même « les whippoorwills chantaient leurs vêpres ». Viennent ensuite les oiseaux qui laissent la place aux chats-huants, comparables à des « pleureuses ». Les animaux semblent articuler de plus en plus leurs langages, et, ce faisant, un sens se forme. Ils ne ressemblent plus à des hommes mais à des poètes : les chats-huants ont ainsi un « cri lugubre véritablement ben-jonsonien », en référence au poète Ben Jonson, contemporain de Shakespeare. En somme, Walden est « la manifestation suprême de cette conscience linguistique exigeante » de Thoreau. () TraiterLa solitude
- La solitude (39) TraiterL'harmonie avec la nature
- L'harmonie avec la nature (1) TraiterThoreau tente de montrer « comment la présence humaine et le paysage interagissent ». Thoreau nous montre que le paysage a la capacité de résister à l'action humaine mais aussi que l'homme doit équilibrer le milieu et aider la nature à faire jouer ses forces homéostasiques. En ce sens, Walden propose une « contre-idéologie du paysage ». Le paysagiste américain Ian McHarg (auteur de Design with Nature) s'inspire de cette idée, dont Thoreau est le pionnier. Cette relation, devenue intime, avec la nature permet à Thoreau de redéfinir jusqu'à l'acte d'écriture : il « définit son idéal littéraire par la capacité de l'écrivain à se soumettre à l'influence de la nature, à transposer la sauvagerie encore si largement présente sur le Nouveau Continent. Il emprunte au nationalisme littéraire américain l'idée selon laquelle les vastes étendues désertiques constituaient une ressource précieuse que l'Europe n'avait plus à sa disposition pour se redonner de l'énergie »
- Thoreau tente de montrer « comment la présence humaine et le paysage interagissent ». Thoreau nous montre que le paysage a la capacité de résister à l'action humaine mais aussi que l'homme doit équilibrer le milieu et aider la nature à faire jouer ses forces homéostasiques. En ce sens, Walden propose une « contre-idéologie du paysage ». Le paysagiste américain Ian McHarg (auteur de Design with Nature) s'inspire de cette idée, dont Thoreau est le pionnier. Cette relation, devenue intime, avec la nature permet à Thoreau de redéfinir jusqu'à l'acte d'écriture : il « définit son idéal littéraire par la capacité de l'écrivain à se soumettre à l'influence de la nature, à transposer la sauvagerie encore si largement présente sur le Nouveau Continent. Il emprunte au nationalisme littéraire américain l'idée selon laquelle les vastes étendues désertiques constituaient une ressource précieuse que l'Europe n'avait plus à sa disposition pour se redonner de l'énergie » (1) TraiterAller au bout de ses rêves
- Aller au bout de ses rêves (1) TraiterPartir seul dans la nature
- Partir seul dans la nature (1) TraiterLa tentation de l'impossible
- La tentation de l'impossible (1) Traiter"N'allez pas où le chemin peut mener. Allez où il n'y a pas de chemin ? et laissez une trace.", Ralph Waldo Emerson
- "N'allez pas où le chemin peut mener. Allez où il n'y a pas de chemin ? et laissez une trace.", Ralph Waldo Emerson (1) TraiterLe projet Mneseek
- Le projet Mneseek (188) TraiterAbolition de la logique
- Abolition de la logique (1) TraiterLa logique
- La logique (9) TraiterAbolition du futur
- Abolition du futur (1) TraiterLe futur
- Le futur (13) TraiterCroyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité
- Croyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité (1) TraiterLa spontanéité
- La spontanéité (1) TraiterRespecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste
- Respecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste (1) TraiterLe moment présent
- Le moment présent (19) TraiterLa folie
- La folie (2) TraiterCracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer, avec la vive satisfaction que c'est tout à fait égal
- Cracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer, avec la vive satisfaction que c'est tout à fait égal (1) TraiterLa non-philosophie
- La non-philosophie (2) TraiterLa poésie
- La poésie (55) TraiterDe la musique avant toute chose
- De la musique avant toute chose (1) TraiterLa musique
- La musique (19) TraiterL"écriture automatique révèle les constantes les plus fondamentales de l"individu
- L"écriture automatique révèle les constantes les plus fondamentales de l"individu (1) TraiterL'écriture
- L'écriture (8) TraiterL'écriture automatique
- L'écriture automatique (4) TraiterAu cours de nos recherches, nous avions constaté en effet que l'esprit, dégagé de toutes les pressions critiques et des habitudes scolaires, offrait des images et non des propositions logiques et que, si nous acceptions d'adopter ce que le psychiatre Pierre Janet appelait l'écriture automatique, nous notions des textes où nous décrivions un univers inexploré jusqu'alors. Nous décidâmes donc de nous donner quinze jours pour écrire en collaboration un ouvrage où nous [sic] interdisions de corriger et de raturer nos élucubrations. Nous n'eûmes aucune peine à respecter ce délai et c'est avec une joie croissante que nous prîmes connaissance des textes
- Au cours de nos recherches, nous avions constaté en effet que l'esprit, dégagé de toutes les pressions critiques et des habitudes scolaires, offrait des images et non des propositions logiques et que, si nous acceptions d'adopter ce que le psychiatre Pierre Janet appelait l'écriture automatique, nous notions des textes où nous décrivions un univers inexploré jusqu'alors. Nous décidâmes donc de nous donner quinze jours pour écrire en collaboration un ouvrage où nous [sic] interdisions de corriger et de raturer nos élucubrations. Nous n'eûmes aucune peine à respecter ce délai et c'est avec une joie croissante que nous prîmes connaissance des textes (1) TraiterLe délire poétique de Lautréamont
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- Les "grandes chasses intérieures" (Aragon) (1) TraiterCes expériences les amenaient à considérer la poésie, non plus comme un système à la façon de Mallarmé, mais comme une libération, comme une possibilité d'accorder à l'esprit une liberté qu'ils n'avaient jusqu'alors à leurs yeux, jamais connue et à constater qu'elle les délivrait de l'appareil logique.
- Ces expériences les amenaient à considérer la poésie, non plus comme un système à la façon de Mallarmé, mais comme une libération, comme une possibilité d'accorder à l'esprit une liberté qu'ils n'avaient jusqu'alors à leurs yeux, jamais connue et à constater qu'elle les délivrait de l'appareil logique. (1) TraiterEcriture automatique : dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale
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