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Type de la page :
Interview
Attribut : Personne interviewée
Valeur : Marie Romanens
Attribut : Enoncé
Valeur : L'écopsychologie s'intéresse aux relations que l'homme entretient avec la nature
Sous-attribut : Courant des sciences humaines
Valeur : Ecopsychologie
Sous-attribut : Type d'énoncé
Valeur : Documentaire
Sous-attribut : Catégorie d'énoncés
Valeur : La Nature
Attribut : Enoncé
Valeur : L'écopsychologie s'inscrit dans le courant de la psychologie systémique
Sous-attribut : Courant des sciences humaines
Valeur : Psychologie systémique
Sous-attribut : Type d'énoncé
Valeur : Documentaire
Attribut : Enoncé
Valeur : Relation au vivant
Attribut : Enoncé
Valeur : Rester sauvage
Sous-attribut : Contextualisation
Valeur : Nous ne pouvons nier notre part animale
Sous-attribut : Commentaire
Valeur : La part animale comme part noble
Il a été longtemps traditionnel pour la philosophie de traiter la part animale de l'homme, sa part sauvage, de manière péjorative. Dédain et condescendance pour l'animalité de l'homme, estime, voire adoration pour la pensée, pour la raison humaine, pour ce qui différencie l'homme de l'animal. On pourrait opérer un retournement et au contraire considérer notre part animale comme une part noble, en tout cas digne d'égards. Autrement dit, il y a une décision philosophique qui qualifie péjorativement notre part animale. Prenons-en l'inverse : traiter la part animale de l'homme comme quelque chose de noble. Dans ces deux considérations, il y a un rapport haut/bas ou encore noble/vil typiquement philosophique. Il me semble que notre société est partiellement en train d'inverser ce rapport. A lire : "L'animal que donc je suis", livre de Jacques Derrida
(Julien Guerraz)