[Les maîtres anciens étaient] "simples comme du bois que personne n'a sculpté" (Tao Te King). Un bois nu, c'est à dire non travaillé (je m'intéresse en ce moment à l'ébénisterie) représente pour moi l'ouverture au possible, une ouverture radicale. Cette idée est à rapprocher de la notion de "non-confectionné" dans le Shôbôgenzô. (JG)